•  

    La Parole rafraîchissante de Dieu

     

     

    La Parole rafraîchissante de Dieu

     

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 55.8-11

     

    [Ma] parole [...] ne retourne point à moi sans effet.  Ésaïe 55.11

     

    Lorsque j’étais un jeune garçon, il arrivait occasionnellement que notre famille traverse le Nevada. Les orages du désert nous plaisaient beaucoup. Accompagnés d’éclairs et de coups de tonnerre, d’immenses rideaux de pluie couvraient les sables brûlants jusqu’à perte de vue. Cette eau rafraîchissait la terre, et nous.

     

    L’eau produit de merveilleux changements dans les régions arides. Par exemple, la mamillaire vivipare est entièrement dormante durant la saison sèche. Par contre, après les premières pluies de l’été, ce cactus se met à fleurir, déployant ses pétales roses, dorés et blancs.

     

    De même, après un orage en Terre sainte, la végétation semble sortir du sol aride du jour au lendemain. Ésaïe s’est servi du renouveau que produit la pluie pour illustrer la Parole rafraîchissante de Dieu: «Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n’y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche: elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins» (És 55.10,11).

     

    La Bible procure la vitalité spirituelle. Voilà pourquoi elle ne retourne pas à Dieu sans effet. Chaque fois qu’elle croise un cœur ouvert, elle apporte à ce dernier un rafraîchissement, une nourriture et une nouvelle vie.

     

     

    La Bible est à l’âme assoiffée ce que l’eau est à la terre aride.

     

     

     

    Dennis Fisher
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Lumière de Dieu

     

     

    Lumière de Dieu

     

    Merci à Toi, mon Dieu, 
    Pour la lumière à l’horizon de mes soucis 
    Qui force le gris de mes ennuis, 
    Et pour ce bout de ciel bleu 
    Aux fenêtres de mes angoisses. 

    Merci à Toi, mon Dieu, 
    Pour la lumière du printemps 
    Qui ouvre les bourgeons 
    En dépit des frimas. 
    Par toi ils sont la promesse des fleurs 
    Et déjà la saveur des fruits. 

    Merci à Toi, mon Dieu, 
    Pour ces lumières intérieures 
    Qui transforment mon regard, 
    Et qui disent déjà 
    Les splendeurs du lendemain. 

    Merci à Toi, mon Dieu, 
    Pour la lumière dans les yeux d’un enfant, 
    Pour ces rêves et ces éclats de rire 
    Qui résonnent de vie, 
    Pour la tendresse du vieillard 
    Qui annonce l’aurore au cœur du crépuscule.

     

    Père Robert Riber 

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Sa main sera là pour te saisir

     

     

    Sa main sera là pour te saisir


    Pendant une période sombre de ma vie,
    j'ai passé beaucoup de temps à prier, mais le ciel paraissait d'airain.

    Il me semblait que Dieu avait disparu,
    me laissant seul avec mes épreuves et mon fardeau.

    C'était la nuit obscur pour mon âme.

    J'écrivis alors à ma mère pour lui exposer mon problème.



    Jamais je n'oublierai sa réponse :


    Mon fils, bien souvent Dieu se retire pour mettre notre foi à l'épreuve.
    Il veut que tu lui fasses confiance même dans l'obscurité.
    Maintenant, mon fils, étends ta main dans le brouillard
    et tu verras que sa main sera là, pour te saisir.

     

     

    (Billy Graham) 

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La prospérité de l'être intérieur : le pardon

     

     

    La prospérité de l'être intérieur : le pardon

     

     -Si le document ne s'affiche pas correctement : actualisez la page-

     

    (Le document a deux pages. Il suffit de cliquer sur le document et d'y faire glisser la souris pour lire la suite)

     

     

    Source : Appel Espérance - Res. l'Ile Verte, Bât. A - 2 allée des Amandiers - 13090 Aix en Provence - Tél : 09 51 76 83 45

    Copyright ©  Appel Espérance - Tous droits réservés -

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    L’aigle et le rongeur

     

     

    L’aigle et le rongeur

     

     

     

     

    Un aigle vole très haut dans le ciel. Il repère une proie, il pique vers le sol, saisit le rongeur puis reprend de l’altitude.

    Et tout à coup, il pique à nouveau vers le sol et s’écrase, mort.

     

    Mais que s’est-il passé ?

     

    En fait, pendant que l’aigle remontait avec sa proie, le rongeur lui a mangé l’estomac.
    Mais l’aigle n’a pas voulu lâcher sa proie ; et il en est mort.

     

    Es-tu comme cet aigle ?
    T’accroches-tu à une offense, à une blessure, à un échec, une trahison ?
    Peut-être en es-tu malade ? As-tu des problèmes de santé, de sommeil, même des brûlures d’estomac ?

     

    Aujourd’hui, le Seigneur te dit « lâches, décides de pardonner avec l’aide de Dieu.
    Il veut cicatriser ton cœur blessé

     

    Dans Galates 5 v. 1,
    C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis.
    Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude

     

    Aujourd’hui décide de lâcher prise et retrouve la vraie liberté.

     

     

     

     

     

    L'histoire de l'aigle et le rongeur nous enseigne à lâcher nos blessures, nos échecs, nos offenses pour nous rendre libre. Le Christ nous a rendu libre afin que nous connaissons la vraie liberté.


     

     

    Le pasteur Luc Dumont a partagé cette image dans l’un de ses messages.
    (
    Source : boostetajournee.com)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Guérison intérieure et pardon

     

     

    Guérison intérieure et pardon

     

     

     

    « Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. » (Jacques 5.16)

    Reconnaître nos erreurs, les confesser à ceux que nous avons blessés, et recevoir leur pardon, ouvre la porte à une merveilleuse libération intérieure.

    Nelson Mandela, après avoir passé près de 30 ans en prison, pour avoir lutté contre l’apartheid, a renoncé à toute vengeance. A l’occasion de son discours lors de la remise du prix Nobel de la paix en 1993, il a dit : « Le pardon libère l’âme, il fait disparaître la peur. C’est pourquoi le pardon est une arme si puissante ».

    Bien avant Nelson Mandela, Jésus lui-même nous a invités à le suivre sur cette voie royale du pardon : « Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n’agissent-ils pas de même ? » (Matthieu 5.44/46) Mais, le gros problème avec le pardon, c’est qu’il n’est pas facile de le mettre en œuvre. Demander pardon et pardonner, ce n’est pas aussi simple qu’il y paraît. Notre orgueil, notre fierté sont autant d’obstacles à surmonter ; et pourtant, quelle puissance de libération et de guérison intérieure se vivent dans cette démarche.

    Je ne vais pas entrer dans les divers aspects de la puissance qu’il y a dans le pardon, mais simplement rappeler que le pardon appartient à toute cette panoplie de moyens que Dieu met à notre disposition pour trouver la voie de la guérison intérieure. La médecine reconnaît le lien existant entre certaines maladies, et les divers sentiments destructeurs comme la culpabilité, la honte. Le refus de demander pardon, ou de pardonner, blesse la volonté, et génère l’incapacité d’aimer. Beaucoup de personnes, blessées dans leur enfance, en sont les victimes. De même certains couples vivent dans l’aigreur, et l’agressivité permanente parce qu’ils refusent de vivre le pardon mutuel.

    Le pardon est le fruit d’un acte volontaire. Voilà pourquoi l’Ecriture emploie l’impératif : « Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi. » (Colossiens 3.13) Le pardon libère le blessé de ses blessures intérieures, mais il libère aussi le fautif de sa honte et de sa culpabilité. Cela fonctionne dans les deux sens.

    Un conseil pour ce jour :
    Reconnaissez vos erreurs, confessez-les à ceux qui en ont été victimes. Si vous avez été victimes, et que l’on vous demande pardon, n’accusez pas. Dans les deux cas, pardonnez-vous réciproquement, et vos âmes bénéficieront d’un profond apaisement.

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Ronde Versets du coeur 135

     

    Ronde Versets du coeur 135

     

    Ronde Versets du coeur 135

     

    Ronde Versets du coeur 135

     

    Ronde Versets du coeur 135

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Gérer le stress (1 à 5)

     

     

    Gérer le stress (1)

     

     

    “Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres.” Jn 8. 32

    Afirmer que la parole de Dieu apporte la réponse à toutes les questions de la vie ne vous apportera pas beaucoup de réconfort si vous ne la mettez pas en pratique. On trouve beaucoup de biographies d’hommes et de femmes dans la Bible. Dieu veut nous montrer ainsi comment Ses principes de vie se traduisent dans la vie d’êtres humains comme chacun d’entre nous (Jc 5. 17). DL Moody a dit un jour : “La Bible ne nous a pas été donnée pour accroître notre connaissance, mais pour changer notre vie.” Comment la Bible peut-elle nous aider à gérer le stress de notre quotidien ? En nous donnant un exemple à suivre : Jésus Lui-même. Pendant trois ans Il vécut chaque jour sous la pression des autres. Mais Il décida toujours de Son emploi du temps, sans jamais se presser. Il prit le temps de faire une halte près d’un puits de Samarie pour engager conversation avec une femme, puis resta plusieurs jours dans cette ville pour toucher ses habitants. Il savait s’éloigner des foules au moment opportun, et choisir Ses priorités. Il s’arrêta pour interpeller Zachée et s’inviter chez lui. Quel était Son secret ? Quelques principes que nous ferions bien de suivre nous aussi. Tout d’abord, aucune question d’identité ne Le rongeait. Il savait qui Il était et quelle était Sa mission. Notez toutes les fois où Il s’écria “Je suis”. Par exemple : “Je suis la lumière du monde” (Jn 8. 12) ; “Je suis la porte” (Jn 10. 9) ; “Je suis le bon berger” (Jn 10. 11) ; “Je suis le chemin, la vérité et la vie” (JN 14. 6). Savoir qui vous êtes vraiment est le premier principe. Ne vous laissez pas dicter quoi que ce soit par personne. Vous êtes important parce que vous êtes “en Christ” car “celui qui s’unit au Seigneur devient spirituellement un avec Lui” (1 Co 6. 15). Sa Parole pour vous est : Reconnaissez que votre identité est celle de Christ, vous êtes enfant de Dieu !

     

     

    Gérer le stress (2)

     

     

    “Je ne cherche pas Ma volonté, mais la volonté de Celui qui M’a envoyé.” Jn 5. 30 

    Jésus savait aussi à qui Il voulait plaire. Il déclare : “ Je juge d’après ce que Dieu Me dit, et Mon jugement est juste parce que Je ne cherche pas à faire ce que Je veux, mais ce que veut Celui qui M’a envoyé”. Il ne cherchait à plaire ni aux foules, ni aux chefs religieux, ni à Ses disciples. Essayer de plaire à tout le monde est une folie. Si Jésus n’essayait pas de le faire, croyez-vous en être capable ? Jésus avait fait un choix très simple : plaire à Dieu qui L’avait envoyé et qui Lui répondit ainsi : “ Celui-ci est Mon Fils bien-aimé ; c’est en Lui que J’ai pris plaisir” (Mt 3. 17). Sage est celui qui suit son exemple ! Sachez à qui vous voulez plaire. Plaire à Dieu devrait être votre seule obligation. Si vous tergiversez, vous demandant à qui plaire en priorité, vous devenez sensible aux critiques, vous avez peur de l’opinion des autres, vous êtes tenté de vous comparer aux eux, vous avez peur que d’autres réussissent mieux que vous ou encore vous risquez d’entrer en conflit avec eux car vous vous sentez menacé par leur désaveu. Jésus donne la vraie solution : “Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus” (Mt 6. 33). Si vous voulez simplifier votre vie et vous libérer du stress qui vous limite, adoptez ce deuxième principe : choisissez de plaire à Dieu seul et ne vous préoccupez plus des autres. Après tout vous n’avez aucune obligation envers quiconque, excepté Dieu et votre famille. Ne rejetez pas le blâme de vos choix sur les autres. Quand vous dites : “Je suis obligé de faire ceci ou cela”, en réalité vous devriez dire : “C’est mon choix de faire ceci ou cela…” Vous n’êtes la victime de personne, sauf de vous-même ! Cessez de vous sentir “obligés” de suivre un chemin que vous n’avez pas choisi. Si vous choisissez de suivre celui que Dieu a prévu pour vous, tout le reste est de peu d’importance. 

     

     

     

     

     

    Gérer le stress (3)

     

     

    “Je sais d’où Je suis venu et où Je vais.” Jn 8. 14 

     

    Jésus savait aussi quelle était Sa mission et le but de Sa venue ici-bas. Ecoutez-Le lire la vision que Lui avait octroyée le prophète Esaïe : “L’Esprit du Seigneur est sur Moi, il M’a consacré pour apporter la Bonne Nouvelle aux pauvres. Il M’a envoyé pour proclamer la délivrance aux prisonniers et le don de la vue aux aveugles, pour libérer les opprimés, pour annoncer l’année où le Seigneur manifestera Sa faveur” (Lc 4. 18). Connaître votre rôle ici-bas vous donnera une vision claire de votre avenir. Vous n’existez pas pour errer à travers les saisons de votre vie, sans le moindre but à l’horizon. Votre vie a un sens, Dieu l’a défini bien avant votre naissance. Il a prévu pour vous un rôle bien précis. Avec Son aide vous le découvrirez et choisirez de le jouer le mieux possible. Jésus ne gaspilla jamais Son temps à poursuivre d’autres buts que celui que Dieu Lui avait confié. Son ministère a été ponctué par les moments de prière qui Lui permettaient de découvrir auprès de Son Père quelle serait Sa prochaine étape. Avant de choisir Ses disciples, que fit-Il ? Il passa “toute la nuit à prier Dieu. Quand le jour parut, Il appela ses disciples et en choisit douze, à qui Il donna aussi le nom d’apôtres” (Lc 6.12). Aucun de Ses choix n’était fait au hasard. Imitez-Le. Priez avant de prendre votre décision. Etablissez vos buts et préparez-vous avec soin. Etre efficace n’est pas l’équivalent d’être super-actif ! Focalisez seulement votre esprit sur la mission que Dieu vous a confiée et sachez mettre de côté les choses moins importantes. Ne vous laissez pas distraire de votre but. Beaucoup de personnes tentèrent de détourner Jésus de Sa mission (Lc 4. 42). Comment leur répondit-Il ? En leur disant : “Je dois annoncer la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu aux autres villes aussi, car c’est pour cela que Dieu M’a envoyé” (v. 43). Le troisième principe : connaître votre mission et concentrer vos efforts pour l’accomplir vous épargneront bien du stress ! 

     

     

     

     

    Gérer le stress (4)

     

     

    “Il en choisit douze, à qui Il donna aussi le nom d’apôtres…” Mc 3. 14 

    Jésus évita le piège dans lequel Moïse tomba, alors qu’il conduisait le peuple à travers le désert (Lisez Ex 18. 13-27). Le vieux prophète essayait de tout gérer dans le camp des Israélites, au point de risquer le “burn-out” ! Jethro lui suggéra de déléguer à d’autres certains de ses devoirs. Jésus décida au début de Son ministère de former un groupe d’hommes fidèles qui L’accompagneraient et prêcheraient aussi la Bonne Nouvelle. Jésus n’était-Il pas capable d’assumer seul Sa mission ? Jusqu’à la croix, peut-être, mais Il savait qu’ensuite ce serait leur responsabilité de poursuivre l’expansion du Royaume de Dieu ici-bas. Aussi choisit-Il dès le début de les associer à Son travail. Et nous ferions tous bien de suivre Son exemple. Encore faudrait-il que nous acceptions les défaillances des autres. Jésus était conscient des manquements de Ses disciples. Malgré tout Il les envoya, prêcher et chasser les démons, sachant qu’ils échoueraient parfois ! (Mt 17. 19). Une leçon importante pour chacun d’entre nous : ne soyons pas perfectionnistes au point d’empêcher les autres de faire leurs propres expériences. Ils apprendront de leurs erreurs tout comme nous. Souvenez-vous de l’apôtre Pierre et de son reniement. Après son retour à Jésus, comme Celui-ci le lui avait annoncé, il fut à même d’encourager ses frères en la foi (Lc 22. 32). Apprenez à vous détendre et à accepter avec le sourire les erreurs de ceux à qui vous avez confié un rôle à vos côtés. Ne les considérez pas comme des rivaux, mais comme des ouvriers engagés dans la même mission que vous. Le quatrième principe : Savoir contrôler votre stress passe par une saine gestion de vos collaborateurs et de votre entourage. 

     

     

     

    Gérer le stress (5)

     

     

    “Il s’en alla hors de la ville, dans un endroit isolé ; là, Il se mit à prier.“ Mc 1. 35 

    Jésus avait l’habitude de prier seul à seul avec Son Père : “Très tôt le lendemain, alors qu’il faisait encore nuit noire, Jésus se leva et sortit de la maison. Il s’en alla hors de la ville, dans un endroit isolé ; là, Il se mit à prier.” Au-delà des réponses à Ses questions, Jésus appréciait la possibilité d’exprimer Ses sentiments à Son Père. Vous aussi disposez du même privilège. Nous avons la Parole de Dieu pour trouver les réponses à nos questions, mais cela ne remplace pas le plaisir de venir quotidiennement dans la présence de notre Père pour épancher devant Lui notre coeur. Lui dire nos peurs et nos doutes, abandonner au pied de Son trône nos soucis sont un puissant catalyseur pour rejeter le stresse de notre vie. Beaucoup d’entre nous trouvent difficile de rester tranquilles ne serait-ce que quelques minutes. Aussi devons-nous nous discipliner afin de demeurer calmes devant Dieu pour Lui dévoiler avec lucidité ce que nous avons sur le coeur. Dieu a affirmé : “Demeurez tranquille et reconnaissez que Je suis Dieu” (Ps 46. 10). Ne soyez jamais trop affairé au point de négliger de passer du temps seul avec Dieu. Trop de gens traversent la vie à une vitesse effrénée sans savoir où ils vont. Ce cinquième principe est : prenez le temps de prier chaque matin. Et cela nous amène au principe suivant : prenez également le temps de vous reposer ! Jésus savait s’isoler des foules pour apprécier la compagnie de Ses disciples. Il leur dit un jour : “ Venez avec Moi dans un endroit isolé pour vous reposer un moment” (Mc 6. 31). Avez-vous remarqué que le dixième commandement, concernant le Sabbat, est le plus long, comme si Dieu voulait nous faire comprendre combien importante est la valeur du repos hebdomadaire (Dt 5. 12-15). Jésus savait gérer le stress de Sa vie, aussi, non seulement nous a-t-Il laissé Son exemple, mais aussi une invitation : “Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués de porter un lourd fardeau et Je vous donnerai le repos…” (Mt 11. 28-30). N’hésitez pas à l’accepter !

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

    Gérer le stress (1 à 5)

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Le Seigneur est dans la barque avec nous

     

     

    Le Seigneur est dans la barque avec nous

     

     

    "Il s'éleva sur la mer une grande tempête... et Lui, Il dormait." Matthieu 8:24

    Le Seigneur vient de conduire Ses disciples dans la barque; ils sont sous Sa direction et sous Sa protection. Mais voici que Jésus S'est endormi au milieu de la tempête. Nous venons de lire que le Fils de l'homme "n'a pas où reposer Sa tête", et maintenant Il dort "à la poupe, sur le coussin". Quel tableau de la divinité, de l'humiliation volontaire et de l'humanité parfaite de Celui qui est le Même hier, aujourd'hui et éternellement!

    Si la tempête s'élève pour nous, qui sommes sous la direction d'une telle main et qui avons été si clairement conduits jusqu'ici, ne nous effrayons pas! N'ayons pas peur même s'Il semble dormir, s'Il n'intervient pas tout de suite, si la barque, où Il a pourtant pris place, est menacée par le vent et les vagues qui augmentent en furie. Pourrions-nous douter, nous qui avons reçu tant de preuves de Sa présence et de Sa fidélité? La pensée qu'Il ne S'inquiète pas que nous périssions, nous a-t-elle effleurés? Avons-nous donc oublié que c'est Lui qui nous a conduits dans cette situation? Elle a été permise par notre Dieu. Oh! ne doutons pas! Il met notre foi à l'épreuve, I1 est là. N'est-il pas écrit: "Il monta dans la barque, et Ses disciples Le suivirent"?

    Notre foi Lui est plus précieuse que l'or périssable. Nous nous sommes donnés à Lui et Il S'est donné à nous. De cette union de Son appel et de notre réponse est née notre vocation. C'est elle qui est mise à l'épreuve. Il ne dort pas, Il attend le moment d'intervenir. Il est sur le point de Se lever, pour menacer les vents et les vagues... et il y aura délivrance. Les vents et les vagues Lui obéissent, Il est dans la barque, ou plutôt, nous y sommes avec Lui. Jamais Il ne nous laissera périr. "Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi?" nous dit-Il.

    Au moment même où Il verra que la tempête a rempli son but éducateur, Il interviendra et il se fera un grand calme.

     

    H.E. Alexander

    (Source : Manne du matin / bible-ouverte.ch)

     

     

    Le Seigneur est dans la barque avec nous

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Ma vie n’est pas en soldes

     

     

    Ma vie n’est pas en soldes

     

     

     

    Notre vie est-elle en soldes ? 

     

    Ta vie est-elle soldée ? A-t-elle perdu de sa valeur ? Son prix est-il déprécié ?

     

    Que de questions et quelle est la réponse la plus appropriée ?

     

    Les soldes d’hiver 2018, c’est maintenant. La valse des étiquettes et des rabais incroyables allant de -30%  à -75 % même jusqu’à 100%  se déroulent du 10 janvier au 20 février. Les six semaines  des bonnes affaires, le vrai du faux,  dirons-nous, mais est-ce vraiment des soldes ?


    Le premier jour acté du lancement des soldes, c’est de la folie, semblable à une ruée « vers l’or » une foule immense, pleine de frénésies, se bousculent aux portes des grands magasins. Certains attendent pendant des heures, dès le matin très tôt. D’autres préfèrent dormir sur place, devant leur enseigne favorite  pour être les premiers à entrer et acheter l’objet de leur convoitise.

    Le stress, l’angoisse, parfois la colère, la méchanceté, montent et grondent dans cette file d’attente. Cette pensée de ne pas pouvoir acheter, posséder, faute d’un stock insuffisant, devient insupportable et aigrit les cœurs par divers sentiments. Beaucoup veulent avoir la même chose et bien peu obtiennent et sont contentés, enchantés. La pression et le climat de tension ambiant animent au plus fort ce public en effervescence qui court, se rue dans les rayons, parfois arrachant à l’autre, l’article de leur libido.

    Que de conflits !  Que de mécontentements !  Que d’animosités ! Que de rancœur !

    Ils n’ont pas eu, ils sont déçus, ils ont dû faire un autre choix et ils font grise mine, étant dépités.

    Il est vrai qu’après cette période de fêtes abondantes ou le trop, c’est trop en tout, des excès de dépenses, la carte bancaire a bien chauffé… Les  uns ont tout dépensé, même au-delà et se trouvent dans les problèmes financiers. Donc, les poches sont bien vides, voire trouées. Ah quoi bon faire les magasins, c’est perdre son temps avec des si et des mais… et la déprime peut pointer le bout de « son nez ».


    D’autres, prévoyants et vigilants, bons gestionnaires, attendent avec patience pour dépenser leurs réserves, amassées dans « leurs bas de laine ». Quel plaisir d’acheter  ce qui me plaît avec mes économies et en bonus, une importante remise sur le prix.

    En référence à cette période, je paraphraserai ce mot « soldes » en  parallèle à notre vie et  celle de la Parole de Dieu.

    Non, notre vie n’est pas en soldes, ni en liquidation. Elle est trop précieuse pour en être le terrain et le jouet favori de notre ennemi, le diable, celui qui voudrait la détruire, l’anéantir et la salir à tout jamais.

    Non, notre vie n’est pas une marchandise à « bazarder », à jeter au détritus, à la poubelle. Hélas, bien souvent, nous nous comportons comme tel et nous infligeons à nos familles, à nos semblables la même chose. N’oublions pas que nous avons de la valeur et du prix aux yeux de Dieu.

    Non, la Parole de Dieu n’est pas à vivre en soldes, au rabais, avec des fluctuations de prix montants et descendants, selon nos humeurs, nos circonstances.

    Non, la Parole de Dieu ne se brade pas, ne se prend pas à la légère, ni ne se « brocante » par nos actions, nos comportements « ras les pâquerettes ». Dieu n’est pas à solder, ni à rabaisser.

    Dieu nous a crée et donné la vie. Et bien plus, Il nous a offert gratuitement le salut en Jésus pour que nous menions une vie équilibrée et épanouie en Sa compagnie. Par Sa Parole, Dieu nous a communiqué  une marche à suivre, un mode d’emploi pour vivre heureux.

    Faut-il prendre le risque de solder sa vie en faisant n’importe quoi ?

    Non, notre cœur n’est pas en soldes, ni à vendre, ni à brader et nous devons veiller sur lui. Laisse Dieu le changer, le transformer et de multitudes couleurs à l’intérieur se refléteront vers l’extérieur.

    « Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui jaillissent les sources de la vie. » Proverbes 4/23

     

    Des problèmes, des difficultés, des conflits se sont accumulés, jour après jour,  tu voudrais t’en sortir et tu ne sais comment faire ?

    Le sentiment d’avoir raté ou gâché ta vie est-il devenu un sujet récurrent pour toi ?

    Dépose, abandonne ta vie et ta situation à Dieu qui va recycler, trier et y apporter une touche spéciale de beauté, de repos et de renouveau avec Ses solutions pratiques et Ses promesses accomplies envers toi.

    Avec Dieu, tout peut devenir nouveau pour toi, dès cet instant et c’est maintenant.

    « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées. Voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » 2 Corinthiens 5/17

     

    Avec Jésus pour ami, il y aura toujours en abondance pour toi. Aucune rupture de stock, la provision est sans cesse renouvelée.


    « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ.» Ephésiens 1/3

     

    Versets à méditer :

    1 Jean 2/6 – 1 Jean 3 – 2 Corinthiens 7/1 – Malachie 3/18 – Ezéchiel 11/19 – 36/25-27 – Apocalypse 3/18 – Proverbes 2 – Romains 8/1-9-10 – 1 Corinthiens 1/30 – Colossiens 3/1-10 

     



    Geneviève

    (Source : vitalradio.fr , reconfort.vitalradio.fr)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire