• Surmonter le découragement (1 à 3)

     

    Surmonter le découragement (1 à 3)

     

     

     

    Surmonter le découragement (1)

     

     

     

    « Ah, Seigneur Dieu […]. Rien n'est trop difficile pour toi » Jérémie 32.1, BFC

     

    Si on est découragé et déprimé par un problème, il faut rapidement l’étudier. Quelqu’un a dit : « Pour chasser le désespoir, il suffit de ruminer ses problèmes. » Bien des gens qui subissent des revers se demandent pourquoi, mais ne vont jamais au-delà de cette question. Certes, ignorer ses problèmes ne les résout pas, mais en faire une fixation et se laisser paralyser par eux non plus. Une fois le problème reconnu et analysé, il faut se concentrer sur la solution, puis examiner les différentes options. Parfois, le problème permet de trouver des solutions innovantes. Lorsque Louis Waterman doit signer un document important, son stylo tombe en panne. Il se consacre alors à mettre au point son fameux stylo plume mondialement connu. Dans son laboratoire de Londres, Alexander Fleming a vu une de ses cultures de bactéries altérée accidentellement par de la moisissure. Voilà comment est née la pénicilline, ce médicament miracle qui sauve encore aujourd’hui des millions de vies. Il est très probable que si on est confronté à quelque chose de négatif aujourd’hui, il y aura une solution, d’une manière ou d’une autre. On ne la découvrira sans doute pas facilement et ne sera pas aussi spectaculaire que celles de Waterman et Fleming. Mais elle le fera, surtout si elle nous amène à nous tourner vers Dieu pour obtenir des réponses. Jérémie a dit : « Ah, Seigneur Dieu, tu as montré ta force et ton savoir-faire en créant les cieux et la terre. Rien n’est trop difficile pour toi ».

     

     

    Surmonter le découragement (2)

     

     

    « S’il croit que ce qu'il dit arrivera, cela lui sera accordé » Marc 11.23, BFC

     

    Voici deux choses à faire pour y arriver. 1) Dire les bons mots. L’une des principales causes du découragement est un discours négatif sur soi. Martyn Lloyd-Jones écrit : « La plupart de nos malheurs sont dus au fait que nous nous écoutons au lieu de nous parler. » Autrement dit, nous laissons les messages négatifs du passé affecter notre pensée au lieu de nous dire de bonnes choses pour nous aider à penser de manière plus positive (voir Ph 4.8). Jésus a dit : « Si quelqu’un dit à cette montagne : ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et qu’il ne doute pas dans son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrivera, cela lui sera accordé » (v.23). Les mots sont puissants. Ils peuvent renforcer nos craintes ou consolider notre foi. À nous de choisir. 2) Avoir les bonnes attentes. Un pasteur a fait remarquer un jour : « La vie de chaque personne est un journal intime dans lequel elle a l’intention d’écrire une histoire et est forcée d’en écrire une autre. » Est-ce votre cas ? Très souvent, la vie ne se déroule pas comme prévu. Heureusement, l’histoire que vous écrivez peut être meilleure que celle que vous aviez imaginée. Vous devez juste avoir les bonnes attentes. Voici les paroles d’un chant chrétien édifiant : « Je m’attends à l’intervention surnaturelle de Dieu. J’attends un miracle ! » À quoi vous attendez-vous ? Avant de répondre à cette question, ouvrez votre Bible et voyez ce que Dieu promet. Puis réclamez-le !

     

     

     

    Surmonter le découragement (3)

     

     

    « Pratiquez la parole et ne l'écoutez pas seulement » Jacques 1.22

     

    Pour identifier la source du découragement, il est utile de parler à quelqu’un susceptible de nous conseiller. Mais parfois, parler de ses problèmes ne les résout pas. C’est pourquoi la Bible dit : « Pratiquez la parole et ne l’écoutez pas seulement, en vous abusant par de faux raisonnements » Pour cela il faut : 1) toujours faire ce qui est juste. Le regret ou la culpabilité augmentent le découragement. Il est difficile de s’excuser, d’admettre ses fautes, de pardonner, de se calmer, de supporter un blâme mérité ou de repartir à zéro. Mais le faire quand il le faut est toujours payant. On doit se regarder tel qu’on est, et accepter la réalité, 2) attendre le bon moment. Souvent, on cherche le secours dans la vallée au lieu d’attendre la clarté qui vient du sommet de la montagne. C’est parce qu’il faut beaucoup d’efforts pour arriver au sommet ! Lorsqu’on a vécu dans l’obscurité de la vallée, il est tentant de changer des choses, ce qui, on l’espère, fera disparaître notre malaise. Robert Schuller dit : « C’est lorsqu’on est au sommet de la montagne qu’il faut prendre une décision car on voit la situation plus clairement. Non seulement on quitte un endroit, mais on se rend ailleurs. On décide en réfléchissant de façon positive. Mieux vaut aller de sommet en sommet que de vallée en vallée. » Par ailleurs, si on persévère pendant qu’on est dans la vallée, non seulement on atteindra les hauteurs, là où on peut prendre des décisions plus sages, mais on aura forgé son caractère, ce qui sera utile toute la vie.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

     

    « Ne vous inquiétiez de rien - Philippiens 4 : 6-7Fausse culpabilité »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :