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    Fortifie-toi et prends courage - Josué 1 : 9

     

    Fortifie-toi et prends courage - Josué 1 : 9

     

     

     

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    J'ai vu ...

     

    J'ai vu tant de souffrance
    Croisé tant de regards désabusés
    J'ai vu des hommes sans espérance
    Sans souvenir de ce que veut dire être aimé
    Des femmes ayant perdu leur innocence
    Tant d'enfants qui veulent juste être cajolés

    J'ai vu les gens passer à côté d'eux
    Sans les voir
    J'ai croisé des gens détournant le regard
    Pour éviter d'avoir pitié d'eux
    Je les ai vus changer de trottoir
    Pour ne pas s'attarder sur les larmes dans leurs yeux…

    Je ne veux pas être ainsi !
    Je veux être attentif à leur vie
    La rendre, ne serait-ce qu'un peu plus jolie
    Les regarder dans les yeux
    Essayer de leur montrer les cieux
    Agir comme le ferait Dieu

    Bien sûr, je n'y arrive pas,
    Mais je ferai de mon mieux.
    Je veux leur apporter un peu de joie,
    Et même si c'est très peu,
    Leur donner le meilleur de moi
    Et peut-être juste voir une étincelle dans leurs yeux…


    Car chaque regard compte,
    Chaque main soulage
    Chaque sourire encourage
    Chaque larme réconforte
    Chaque prière aide
    Chaque geste amène l'espérance.

     

     

     

    Michel Sommer
    (Source : TopChrétien)


     
     

     

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    Le paysan et les trois ânes

     

     

    Un paysan avec trois de ses ânes décide de se rendre au marché pour vendre sa récolte. La ville est loin et il lui faudra plusieurs jours pour l'atteindre.

    Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite. Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde. Si je n'attache pas mon âne se dit-il, demain, il se sera sauvé dans la montagne ! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les deux autres et prend la direction de la maison du vieil ermite.

    Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner. Le vieillard a depuis longtemps fait voeux de pauvreté et n'a pas la moindre corde. Cependant, il s'adresse au paysan et lui dit:

    "Retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."

    Perdu pour perdu, le paysan fait exactement ce que lui a conseillé le vieil homme. Le lendemain dès qu'il se réveille, le premier regard du paysan est pour son âne. Il est toujours là ! Après avoir chargé les trois ânes, il décide de se mettre en route, mais là, il a beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fait. L'âne refuse de bouger.

    Désespéré, le paysan retourne voir l'ermite et lui raconte sa mésaventure.

    "As-tu pensé à enlever la corde ?" lui demande-t-il.

    "Mais il n'y a pas de corde !" répond le paysan.

    "Pour toi oui mais pour l'âne ..."

    Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement mime le geste de retirer la corde. L'âne le suit sans aucune résistance.

    Vous êtes-vous déjà posé cette question : "quelle corde invisible m'empêche d'avancer ?"

     

    Auteur inconnu.

     

    Le Christ nous a libérés pour que nous soyons vraiment libres.

    Alors, résistez ! Ne vous laissez plus attacher avec les chaînes de l’esclavage

    Galates 5 : 1

     

     

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    Déposez le fardeau de la culpabilité

     

     

    Déposez le fardeau de la culpabilité

     

     

    Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici : toutes choses sont devenues nouvelles. 2 Corinthiens 5.17

     

    J'avais un énorme problème avec la culpabilité. Je me souviens combien elle me faisait souffrir. C'était horrible ! Je me levais le matin en souhaitant que ce fût déjà l'heure d'aller au lit parce qu'elle était constamment là, à l'affût, guettant chaque occasion pour me condamner avec des pensées du genre : "Tu n'as pas… Tu aurais dû… Tu n'aurais pas dû… Comment as-tu pu ?… Tu as encore recommencé !... Tu n'y arriveras jamais… De quel droit enseignes-tu les autres ?"


    Cessons de penser à ce que nous ne sommes pas, et considérons plutôt nos progrès dans notre relation avec Dieu.


    La culpabilité provient essentiellement de notre façon de considérer les attentes de Dieu à notre égard, notre péché (nos erreurs) et le remède à notre péché. Elle entre en nous sous la forme d'une pensée, qui crée un sentiment, qui détermine à son tour notre façon de vivre. Mais la bonne nouvelle est que nous ne sommes pas obligés de vivre ou de prendre des décisions en fonction de ce que nous ressentons.


    Si nous sommes intelligents, nous n'accorderons aucune valeur à nos sentiments lorsque nous savons qu'ils ne sont pas en accord avec ce que Dieu nous dit dans sa Parole. Et la Parole de Dieu nous dit que Jésus a payé le prix pour que nos péchés soient pardonnés et qu'il a ôté notre culpabilité.


    Nous lisons dans 2 Corinthiens 5.17 : "Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici : toutes choses sont devenues nouvelles". Nous voyons ici qu'être une nouvelle créature, ou être né de nouveau, signifie que nous sommes en Christ – nous avons une relation personnelle, intime avec lui. Et au travers de cette relation, nous possédons tout ce que Jésus possède et le Saint-Esprit demeure dans notre esprit. Sa justice est désormais la nôtre et nous pouvons avoir sa grâce et sa force pour faire ce qui est juste.


    Nous devons nous voir en Christ et nous identifier à lui comme notre substitut, qui a payé le prix du pardon de notre péché. Notre identité n'est plus celle de "pécheur", mais de "nouvelle créature en Christ" et il y a une différence entre qui nous sommes et ce que nous faisons. J'aime la comparaison suivante : mes enfants ne font pas toujours des choses qui me plaisent ou avec lesquelles je suis d'accord, mais ils sont toujours mes enfants. Il en va de même dans notre relation avec Dieu, notre Père.


    Cessons de penser à ce que nous ne sommes pas, et considérons plutôt nos progrès dans notre relation avec lui. Je n'agis pas toujours à la perfection et je ne suis pas arrivée, mais je ne suis plus où j'étais et, Dieu soit loué, je suis en chemin !

    C'est aussi votre cas, si vous avez donné votre cœur à Jésus et lui avez demandé d'être le Seigneur de votre vie. Et le mieux que vous puissiez faire est de consacrer plus de temps à cultiver votre communion avec Dieu par la prière et l'étude de la Bible, et moins de temps à vous inquiéter de ce que vous avez mal fait. Plus vous vous approchez de Dieu, mieux vous discernerez ce qui est bien et ce qui est mal. Plus vous vous approchez de Dieu, plus vous aurez de force pour faire ce qui est bien.

    Une action pour aujourd'hui:
    Faites davantage confiance à l'amour de Dieu qu'à vos sentiments. Demandez son aide quand vous en avez besoin et jouissez d'une vie de paix et de joie, en ayant déposé le fardeau de la culpabilité et de la condamnation.

     

    Joyce Meyer

     

    Déposez le fardeau de la culpabilité

     

     

     

     

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    Je t'aime d'un amour éternel, je te conserve ma bonté - Jérémie 31 : 3

     

    Je t'aime d'un amour éternel, je te conserve ma bonté - Jérémie 31 : 3

     

    Je t'aime d'un amour éternel, je te conserve ma bonté - Jérémie 31 : 3

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Percevoir la beauté

     

     

    Il y a peu de temps, le "Washington Post" a mené une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'actions des gens. Les questions étaient : dans un environnement public, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté qui nous entoure ? Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ? Pouvons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?

    Pour mener leur étude, ils ont demandé à Joshua Bell, l'un des plus grands violonistes au monde, de se tenir debout dans l'entrée de la station "L'enfant plaza" à Washington. Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston affichait "complet" avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.

    Ainsi, par un froid matin de janvier, Joshua Bell commença donc à jouer du violon pendant quarante-cinq minutes. Il débuta par la chaconne de la 2e partita de Bach, enchaîna avec du Manuel Ponce, du Massenet et à nouveau du Bach. À cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelques mille personnes ont traversé ce couloir. Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un moment. Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en continuant sa marche. Il a récolté en tout et pour tout 32 dollars.

    Quand il eût fini de jouer, personne ne le remarqua. Personne ne l'applaudît. Une seule personne sur plus de milles, le reconnût ! En effet, personne ne se douta que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites, avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars !

    Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être : "si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter l'un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses exceptionnelles passons-nous, chaque jour ?"

    Cette enquête me renvoie à l'attitude des gens, courant, se pressant sans considérer Dieu.

    Chaque jour, des millions d'individus passent à côté de Dieu sans le voir, sans l'entendre comme s'il n'existait pas ! Pour la plupart des hommes, Dieu est uniquement dans un lieu réservé, dans une salle de "concert"... Et pourtant, Dieu est là, dans votre chambre, dans votre voiture, sur votre lieu de travail. Oui, arrêtez et sachez qu'Il est Dieu !

     

    Patrice Martorano

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Les gros cailloux de ma vie

     

     

    Un jour, un vieux professeur fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux professeur n'avait donc qu'une heure pour faire passer sa matière. Debout devant ce groupe d'élites (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux professeur les regarda un par un, lentement, puis leur dit :
    « Nous allons réaliser une expérience. »

    De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux professeur sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa délicatement devant lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y rajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :
    « Est-ce que le pot est plein ? »
    Tous répondirent :
    « Oui. »
    Il attendit quelques secondes et ajouta :
    « Vraiment ? »

    Alors, il se pencha de nouveau et sortit de dessous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux jusqu'au fond du pot. Le vieux professeur leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda :
    « Est-ce que le pot est plein ? »
    Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit :
    « Probablement pas. »
    « Bien », répondit le vieux professeur.

    Il se pencha à nouveau et, cette fois, sortit de dessous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir l'espace entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda :
    « Est-ce que le pot est plein ? »
    Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent :
    « Non ! »
    « Bien », répondit le vieux professeur.

    Et, comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et rempli le pot jusqu'à ras bord. Le vieux professeur leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
    « Quelle grande vérité nous montre cette expérience ? »

    Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit :
    « Cela démontre que, même lorsqu'on croit que notre agenda est rempli, si on le veut vraiment, on peut y rajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire. »
    « Non, répondit le vieux professeur, ce n'est pas cela ! La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne mets pas en premier les gros cailloux dans le pot, on ne pourra jamais tous les faire entrer, ensuite ... »



    Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ses propos. Le vieux professeur leur dit alors :

    « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? Votre santé ? Votre famille ? Vos ami(e)s ? Réaliser vos rêves ? Faire ce que vous aimez ? Apprendre ? Défendre une cause ? Se relaxer ? Prendre le temps ... ou tout autre chose ? Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles, c'est-à-dire le gravier et le sable, on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
    Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : quels sont les gros cailloux dans ma vie ? Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot. »

    D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et, lentement, quitta la salle.
     

     

     

     

     

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    Jésus, la lumière du monde - Jean 8 : 12

     

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    Soyez donc patients, jusqu'au retour du Seigneur - Jacques 5 : 7

     

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    Dieu fait tomber les murs !

     

    Dieu fait tomber les murs !

     

     

    "Il a renversé le mur de séparation." Éphésiens 2.14


    Parfois des murs sont si hauts que vous vous demandez s'ils tomberont un jour. Des personnes vivent avec un lourd secret, véritable rempart de honte. Elles gardent le sourire, font comme si tout allait bien, mais une tristesse remplit leur cœur. Des couples passent par de graves problèmes relationnels, une barrière de séparation s'est dressée au fil des années. Plus le temps passe, et plus la cloison devient haute et épaisse. Pour d'autres c'est une paroi entre eux et leurs enfants qui s'est érigée, vraie clôture de silence et d'éloignement. Toutes ces murailles produisent honte, inquiétude, tristesse et amertume.

    Sachez que pour que vos murs s'écroulent, Dieu n'agira jamais contre sa personnalité.


    Face à ces murs, des gens pratiqueront le déni, comme s'il n'y avait pas de cloison entre eux et leurs époux(se), leurs adolescents ou Dieu. Devez-vous rester insensible devant vos enfants qui s'éloignent de Dieu ? Devant une relation maritale qui bat de l'aile ? Non, refusez le déni ! L'Éternel désire vous secourir, étendre sa main pour renverser les barrières. Oui, son désir est de vous secourir dans vos afflictions.

    Dieu va agir avec sagesse, par conséquent comprenez qu'il ne travaillera pas contre sa loi divine. Vous ne pouvez pas demander des choses au Seigneur qui soient contraires à ses principes pour faire tomber vos murs : "Seigneur, mon patron est pénible ! Pourrais-tu lui donner une crise cardiaque ?" Ou bien : "Jésus, ma femme est si dure dans ses paroles, pourrais-tu lui coudre la bouche ?" Ou encore : "Mon Dieu, j'ai un voisin pénible, pourrais-tu lui envoyer un ange musclé pour l'intimider ?"

    Sachez que pour que vos murs s'écroulent, Dieu n'agira jamais contre sa personnalité, mais il œuvrera avec sagesse pour votre bien. Dans son amour, il inclinera les cœurs et renversera les obstacles.

    Dieu fait tomber les murs !

    Chaque jour, des murailles s'écroulent ! Je ne sais pas quand la vôtre tombera, mais ayez foi en Dieu. Ne vous endurcissez pas, mais restez humble et sensible au dessein de Dieu pour votre vie, car aucun mur n'est trop haut pour lui !

    Une prière pour aujourd'hui :
    Père, je viens devant le trône de grâce en te présentant ces murs de honte, d'inquiétude et d'amertume. Montre-moi la voie que je dois suivre, et dans ton amour fais tomber ces murailles de tristesse. Amen.

     

     

    Patrice Martorano

    (Source : TopChrétien)

     

     

    Dieu fait tomber les murs !

     

     

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    Ronde Versets du coeur 04

     

     

     

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    Que voyez-vous ?

     

    Que voyez-vous ?

    “Décharge-toi de ton fardeau sur le Seigneur...” Psaume 55.22 

    Quand les espions de Josué ont parcouru Canaan, ils ont surtout remarqué que des géants habitaient le pays. Quand un problème ou un souci surgit dans votre vie, que voyez-vous ? L’obstacle qui vous bloque la route ou l’étendue de la campagne qui s’étend de chaque côté de la route ? On raconte qu’un jeune animateur dessina un jour un point noir de moins d’un centimètre sur une grande feuille de papier blanc d’un mètre carré, puis demanda à son groupe de lui dire ce que chacun voyait. Toutes les réponses furent semblables : “une petite tache noire”, ou “un petit point noir”. Personne ne pensa à dire : “Je vois une grande page blanche avec un point noir en son centre.” Tous s’étaient concentrés sur le point noir et avaient ignoré l’immensité du blanc ! Ne faisons-nous pas si souvent de même ? L’obstacle prend davantage d’importance à nos yeux que les moyens de l’éviter ou de le surmonter. Pourtant la solution est simple et à portée de chacun d’entre nous : “Décharge-toi de ton fardeau sur le Seigneur...” 

    Lui nous permettra de trouver un chemin pour le contourner ou un moyen de passer par-dessus. Parfois ce point minuscule prend des proportions démesurées, une fois que nous projetons son image dans notre cerveau. Pourquoi ? Peut-être parce que cet obstacle appartient à un domaine sensible de notre être, de notre amour-propre, de notre réputation, de notre besoin de sécurité, de notre instinct de survie même. Nous avons l’impression que si nous l’éliminons nous nous retrouverons en porte-à-faux, ou nous perdrons notre équilibre. Un souvenir du passé que nous refusons de pardonner, une parole blessante que nous ne pouvons oublier, un rêve sur lequel nous avons maintenant mis une croix... Tout notre esprit semble se focaliser sur cette tache noire et nous sentons que nous ne pourrons pas progresser tant que nous ne serons pas parvenus à l’effacer. C’est le moment de demander à Jésus de venir vous délivrer de ce fardeau. Mais soyez prêt à attendre un certain temps avant de vous en sentir libéré. Tout ne se fait pas instantanément ! Dieu préfère parfois prendre du temps pour restaurer en profondeur. Surtout si le petit point noir est solidement ancré en vous !

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

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