• Planer au-dessus des soucis (1 et 2)

     

    Planer au-dessus des soucis (1 et 2)

     

     

     

    Planer au-dessus des soucis (1)

     

    « Tout cela vous sera donné par surcroît » Matthieu 6.33, NBS

     

    Gladys Aylward a dit : « L’aigle qui plane dans les airs ne s’inquiète pas comment traverser les rivières. » On ne peut pas échapper aux soucis qui nous assaillent de toutes parts et de différentes manières. Mais comme l’aigle, on peut s’élever au-dessus d’eux. Jésus a dit : « Ne vous inquiétez pas, pour votre vie, de ce que vous mangerez ou de ce que vous boirez, ni pour votre corps, de ce dont vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment pas, ils ne moissonnent pas, ils ne recueillent rien dans des granges, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous peut, par ses inquiétudes, rallonger tant soit peu la durée de sa vie ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas ; et pourtant je vous dis que pas même Salomon, dans toute sa gloire, n’a été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu habille ainsi l’herbe des champs qui est là aujourd’hui et demain sera jetée au four, ne le fera-t-il pas à bien plus forte raison pour vous, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc pas, en disant : “Qu’allons-nous manger ?” Ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” Ou bien : “De quoi allons-nous nous vêtir ?” […] Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez d’abord le règne de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît. […] Le lendemain s’inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine » (25–34, NBS).

     

     

    Planer au-dessus des soucis (2)

     

    « Mets ta confiance dans le Seigneur » Proverbes 3.5, PDV

     

    Lorsque j’analyse mes inquiétudes avec sincérité, je suis face à trois écueils. 1) J’oublie que Dieu est mon ami. Le Psalmiste a dit : « Le Seigneur confie son secret à ses fidèles » (Ps 25.14, BFC). L’amitié avec Dieu se construit lorsque je partage avec lui mes expériences de vie : mes activités, mes conversations, mes problèmes, mes pensées. Si je ne le fais pas, je vais finir par l’ignorer, ne plus entendre sa voix, refuser sa correction et ne plus être en phase avec son plan. Et inévitablement, je vivrai dans l’inquiétude ! 2) J’accepte ce que je ne devrais pas. Peter Marshall a prié : « Père je te prie de réfréner ma tendance à me disperser au point d’être exposé à la peur et au doute, à la lassitude et à l’impatience, ce qui me fait perdre mon sang-froid, me prive de la paix de l’esprit, rend gris le ciel bleu, prive mon cœur de joie. » Je perds la paix du cœur lorsque je m’efforce de montrer une bonne image de moi, essaye d’imiter les autres, veux arranger tout le monde et répondre à leurs attentes. 3) Je fais une différence entre le profane et le sacré. Soit Jésus est le Seigneur de tous les domaines de ma vie, soit il ne l’est d’aucun. Je pense que certains aspects de ma vie sont du ressort de Dieu, d’autres non. Mais la Bible dit : « Ne t’appuie pas sur ton intelligence, mais de tout ton cœur, mets ta confiance dans le Seigneur. Reconnais-le dans tout ce que tu fais, et lui, il guidera tes pas » (Pr 3.5–6, PDV). Dans le cas contraire, je vivrai dans l’inquiétude !

     

    Bob Gass

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