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    L’entrave de la peur

     

     

     

     

    L’entrave de la peur

     

     

    Nul besoin de craindre, car le Tout-Puissant nous accompagne et promet de nous aider.

     

     

     

     

     

    PSAUME 27.1-4 

     

    Depuis la chute, la crainte s’est intégrée à nos émotions. Quand Adam et Ève se sont rebellés contre Dieu, ils se sont cachés de lui, car ils le redoutaient (Genèse 3.10). Les choses n’ont pas beaucoup changé. Nous sommes souvent motivés ou influencés par une peur qui nous empêche de nous aventurer en territoire inconnu. Utilisons la vérité pour vaincre la peur. Souvenons-nous que Dieu :

     

    • est tout-puissant. Jésus nous a libérés de l’esclavage du péché; le diable ne domine plus sur notre vie. En outre, nous n’avons plus à redouter une séparation éternelle d’avec Dieu. La mort de Jésus nous ouvre la porte du ciel, où nous vivrons éternellement avec lui.
    • est sans cesse avec nous. En envoyant Josué dans la Terre promise, l’Éternel lui a promis de toujours l’accompagner (Josué 1.5,9). Jésus nous procure le même genre d’assurance (Matthieu 28.20). Non seulement Dieu se tient près de nous, mais par son Saint-Esprit, il vit en nous.
    • s’implique dans notre vie. Dieu a promis de nous aider, et il tient toujours parole (Nombres 23.19).

     

    Dieu lui-même est la raison pour laquelle nous ne devrions pas craindre. Armés des vérités ci-dessus – sa toute-puissance, sa présence et son implication –, libérons-nous de la peur.

     

     

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     


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    Une porte étanche

     

     

     

    Une porte étanche

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Genèse 7, versets 1 à 10.

     

    Il en entra (dans l’arche), mâle et femelle, de toute espèce, comme Dieu l’avait ordonné à Noé. Puis l’Éternel ferma la porte sur lui. Genèse 7.16

     

    Sur un navire de guerre, les portes étanches sont une nécessité. Quand l’appel au poste de combat retentit, le service sécurité doit veiller à ce que les portes et panneaux étanches soient tous fermés et verrouillés. J’ai eu ce rôle sur un porte-avions. L’une de nos questions était : « Que ferions-nous si nous recevions l’ordre de fermer l’une de ces portes en sachant qu’il reste encore des hommes dans la partie inondée du navire ? »

     

    Noé n’a pas eu à s’en soucier : il avertit ses contemporains du prochain déluge, sans que personne ne le prenne au sérieux1, puis Dieu ferma la porte sur lui pour le sauver du déluge.

     

    De la même manière, Jésus nous avertit que notre monde va sombrer, et il nous invite à franchir une porte avant qu’il ne soit trop tard. Jésus dit en effet : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé.2

     

    Le monde actuel est aussi corrompu que celui du temps de Noé, et Dieu annonce qu’il va mettre fin à tout cela. Il nous invite à entrer dans le royaume des cieux avant la fin de ce monde. La porte de ce royaume est Jésus. Allons à lui, franchissons ce qui nous sépare de lui et entrons dans le salut qu’il nous offre.

     

    Alain Monclair 

     

    1 Luc 17.26-27, 2 Pierre 2.5
    2 Jean 10.7 et 9

     

    (Source : vivre aujourd’hui / éditions.caef.net)

     


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    A propos de priorités (1 et 2)

     

     

     

    A propos de priorités (1)

     

     

    “Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée”. Jc 1. 5

     

    Tant de choix se présentent à nous chaque jour qu’il est difficile de s’y retrouver. Etablir des priorités s’avère donc essentiel, malgré les difficultés que cela nous pose. Comment choisir lorsque deux activités de la même importance s’offrent à vous ? Un écrivain américain bien connu a confessé qu’un jour il a dû faire un choix très difficile : il a reçu une invitation à accompagner plusieurs leaders chrétiens à la Maison Blanche pour y rencontrer le Président. Mais le même jour son fils devait jouer une finale régionale dans l’équipe de baseball de son école. Pour son fils c’était une occasion d’une très grande importance et il avait demandé à son père d’y assister et de l’encourager. Cet auteur a résolu ce dilemme en choisissant d’accompagner son fils. Il écrivit ensuite dans son blog : “Mon absence à la Maison Blanche n’a pas été remarquée, le Président a continué son travail sans mon aide, les affaires de l’état n’ont pas été affectées par mon absence, mais par contre mon fils était aux anges parce que son papa était dans les gradins et s’époumonait pour l’encourager. En rentrant il m’a assuré que cela avait été le plus beau jour de sa vie et qu’il ne l’oublierait jamais…” Si vous vous trouvez devant ce genre de choix “cornélien” que devez-vous faire ? Les questions suivantes pourraient vous aider à faire le bon choix : 1- Lequel des choix qui se présentent à vous contribue le plus au bien-être de votre famille, ou, si vous êtes célibataire, correspond le mieux aux buts de votre vie. Suivre la volonté de Dieu ne doit pas créer de conflits. Quelle est la plus importante chose dans votre vie à ce moment précis ? 2- Mon choix risque-t-il de causer du mal à ma famille ou à quelqu’un que j’aime ? La personne qui n’écoute que ses intérêts personnels est simplement égoïste. Pasteur ou autrse leaders spirituels, ne sacrifiez pas votre famille et son bien-être à vos responsabilités d’église. Trop d’enfants de missionnaires se sont plaints d’avoir été délaissés par leurs parents. L’un d’eux a dit un jour : “Je sais que mes parents aimaient les indigènes parmi lesquels ils œuvraient, mais je ne suis pas sûr qu’ils m’aimaient.” Voyons demain quelques autres questions vitales.

     

     

     

    A propos de priorités (2)

     

     

    “Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée”. Jc 1. 5

     

    Voyons aujourd’hui trois autres questions que nous devrions nous poser à nous-mêmes avant de faire un choix : 1- Si je choisis de ne pas faire telle ou telle chose, est-ce que cela aura de l’importance, sachant que nous ne pouvons pas tout faire. Jésus n’a pas guéri tous les gens qui étaient près de Lui à un moment donné, mais certains. Par exemple, parmi “une multitude de malades, d’aveugles, d’infirmes et d’estropiés”, Il ne guérit qu’un seul homme allongé près du bassin depuis 38 ans (Jn 5. 2-9). A plusieurs occasions Il renvoya les foules afin de s’isoler, soit avec ses disciples, soit tout seul pour communiquer avec Son Père. Sa priorité alors était d’être au calme, loin des pressions des autres. Si vous faites la même chose, ne vous sentez pas coupable ensuite, puisque vous imitez votre maître ! 2- Quel est le meilleur usage de mon temps et de mon énergie ? Nous ne sommes qu’humains, et nos ressources ne sont pas illimitées. Vous devez faire vos choix en fonction aussi de votre énergie et de vos ressources à un moment donné. 3- Suis-je prêt à mettre quelque tâche de côté afin de poursuivre un but qui m’intéresse davantage ? Devrais-je ensuite payer un coût élevé pour ce choix que j’ai fait ? Nous avons tous des préférences, certaines tâches étant plus excitantes que d’autres. Réfléchissez, avant de faire le moindre choix à ce qu’il vous en coûtera de l’assumer. La vie est faite de beaucoup de routines, concernant votre famille, votre emploi, votre rôle dans l’église. Choisir l’aventure peut s’avérer très amusant et faire battre votre cœur un certain temps, mais ensuite, regretterez-vous ce choix ? 4- Avez-vous prié pour être rempli de sagesse ? Jacques a écrit : “Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement.. et elle lui sera donnée.” Paul a écrit : “Rachetez le temps, car les jours sont mauvais” (Ep 5. 16). Les jours ne sont pas meilleurs aujourd’hui !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     


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    Un berger face au pharaon

     

     

     

    Un berger face au pharaon

     

     

     

     

    L’Ange de l’Éternel apparut [à Moïse] dans une flamme de feu, du milieu d’un buisson à épines ; il regarda : le buisson était tout ardent de feu, mais le buisson n’était pas consumé. Exode 3. 2

     

    Moïse, né en Égypte, adopté par la fille du Pharaon, se retrouve finalement berger pendant de longues années dans le désert, s’occupant du bétail de Jéthro, son beau-père. On peut penser que dans ce désert, ce faible berger n’a plus, aux yeux des hommes, aucune puissance, aucune position dans le monde. Et pourtant, c’est ce berger sans ressources que Dieu va choisir pour mener son troupeau à Lui jusqu’à la terre promise.

     

    À Horeb, la montagne de Dieu, appelée aussi le Sinaï, Dieu se révèle à Moïse en attirant son attention par une “grande vision” (v. 3) : un buisson en flamme qui ne se consume pas. Alors qu’il va le renvoyer en Égypte pour arracher le peuple d’Israël au pouvoir du Pharaon, l’Éternel encourage Moïse par cette vision : le buisson représente Israël, et le feu la persécution que les Israélites subissaient de la part des Égyptiens. Mais Dieu ne permettrait pas qu’Israël soit consumé par l’opposition de ses ennemis. Il permet au feu de brûler, mais il limite son action. Dieu dit alors à Moïse qu’il est là sur une terre sainte : cette vision nous présente aussi la croix de Christ, quand le terrible feu du jugement de Dieu est tombé sur lui à cause de nos péchés. Ce feu ne l’a pas consumé. Le Seigneur Jésus a subi tout le feu du jugement de Dieu, et il en est sorti victorieux par sa résurrection.

     

    Pendant 40 longues années de formation dans le désert de Madian, Dieu avait employé différentes circonstances pour préparer Moïse à ce moment où il l’enverrait en Égypte, pour délivrer les Israélites de leur esclavage (v. 10). Peut-être Moïse, alors âgé de 80 ans, pensait-il qu’il avait dépassé l’âge d’être employé par Dieu ? Mais Dieu savait que, 40 ans plus tôt, Moïse n’était pas prêt, et que désormais il l’était.

     

    Dieu n’emploie pas quelqu’un pour sa force, mais plutôt, sans aucun doute, à cause de sa faiblesse. “Dieu a choisi les choses faibles du monde” (1 Corinthiens 1. 27). “Car lorsque je suis faible, alors je suis fort” (2 Corinthiens 12. 10).

     

     

    L.M. Grant
    (Source : Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)

     

     


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    Jésus enlève nos étiquettes

     

     

    Jésus enlève nos étiquettes

     

    Bon nombre de personnes ont reçu des étiquettes dans leurs vies pour les décrire.
    Souvent, cette étiquette peut devenir une prison qui nous garde captif.
    Au travers du témoignage de l’apôtre Thomas, nous allons voir d’où est venue
    cette étiquette et comment Jésus est venu l’enlever. Mais nous verrons également le rôle
    de l‘Église et de chacun de nous pour aider son prochain dans ce processus de restauration.

     

    Introduction : 00:00 Message de bienvenue : 00:39 Mon témoignage (Elevation Worship) : 01:37 Amour Parfait (Momentum Musique) : 08:00 Message : 14:38 Caché dans ta lumière (Momentum Musique) : 53:13 Message de fin : 58:07

     

     

     

     

     

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    La force de l’espérance en ses promesses

     

     

     

    La force de l’espérance en ses promesses

     

     

     

    Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu. Hébreux 12.2 

     

    Certaines situations sont parfois tellement douloureuses que, sur le coup, nous n’avons aucune solution, comme si nous ne comprenions pas ce qui est en train de nous arriver. La pression peut être si intense que nous ne savons pas quoi faire. Pourtant, quelle que soit la situation, nous devons garder en vue l’espoir. Jésus lui-même n’a jamais abandonné et s’est accroché à l’espoir au moment le plus sombre de sa vie sur terre.

     

    Lorsque nous lisons Hébreux 12.2, nous voyons que son espérance était la "joie qui lui était réservée". Cette joie future était l’espérance sur laquelle il s’appuyait ; elle lui donnait la force suffisante pour traverser les difficultés du moment présent.

     

    Peut-être pleurez-vous aujourd’hui, mais gardez espoir. Comme pour Jésus, une joie vous est réservée.

     

    L’espérance est indispensable à la vie et à notre équilibre intérieur. Le désespoir est un signe de l’incomplétude humaine. J’ai entendu quelqu’un dire que "tous les domaines de notre vie dépourvus d’espérance sont sous l’influence d’un mensonge du diable".

     

    J’aimerais vous rappeler que ses promesses pour vous sont toutes vraies. N’abandonnez pas votre espérance. Gardez espoir en ses promesses, même si elles ne sont pas encore réalisées ; elles vous donneront la force d’endurer l’adversité d’aujourd’hui. Ne laissez pas les circonstances voler votre espérance, mais laissez ses promesses affermir votre espérance.

     

    Jésus-Christ est notre espérance. Cette espérance en lui est comme un refuge qui met votre âme à l’abri dans les tempêtes d’aujourd’hui !

     

     

    Stève Rivière
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     


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    Ronde Versets du coeur 489

     

    Ronde Versets du coeur 489

     

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    La vue depuis la montagne de la grâce

     

     

     

    La vue depuis la montagne de la grâce

     

     

     

     

    Je bénirai l’Éternel en tout temps ; sa louange sera continuellement dans ma bouche. Psaume 34. 2

     

    Le Psaume 34 est un témoignage exceptionnel de la profonde relation qu’avait David avec Dieu. Considérez les circonstances concernant ce psaume, telles qu’elles sont données dans le premier verset : “De David, quand il dissimula sa raison devant Abimélec, qui le chassa, et David s’en alla”.

     

    Par crainte de Saül, David avait emmené ses hommes et leurs familles dans le pays des Philistins. À cause de sa fausse position, sa vie était menacée. Alors, pour sauver sa vie et celle de ses hommes, il n’a pas d’autre solution que de se faire passer pour fou !

     

    Mais ce qui est extraordinaire, c’est qu’en repensant à cet incident, il ne voit que la main de Dieu qui le délivre et agit en grâce pour lui. Il ne rappelle pas du tout sa propre folie, mais il célèbre la bonté de Dieu : “Goûtez et voyez que l’Éternel est bon !” (v. 9). Mais de lui-même, il dit simplement : “J’ai cherché l’Éternel et il m’a répondu, il m’a délivré de toutes mes frayeurs” (v. 5). “Cet affligé a crié, et l’Éternel l’a entendu, il l’a sauvé de toutes ses détresses” (v. 7).

     

    Certainement, dans sa confession personnelle devant l’Éternel, David avait dû dire, comme Asaph : “Il s’en est fallu de peu que je ne perde pied, d’un rien que mes pas ne glissent” (Psaume 73. 2) ; mais il a dû aussi comprendre : “Si j’avais dit : Je parlerai ainsi, voici, j’aurais été infidèle à la génération de tes fils” (v. 15).

     

    Il y a “un temps de se lamenter, et un temps de sauter de joie” (Ecclésiaste 3. 4). Et il y a un temps et une manière de parler de chacune de ses expériences de cœur. Mais la bonne nouvelle est qu’avec Dieu, “le soir les pleurs viennent loger avec nous, et le matin il y a un chant de joie” (Psaume 30. 6). Dans ce Psaume 34, David semble danser de joie et en chercher d’autres pour danser avec lui ! “Magnifiez l’Éternel avec moi, et exaltons ensemble son nom” (v. 4).

     

    Au premier verset, lorsque David a regardé la vallée des manquements, il a pleuré. Mais quand sa vision s’ouvre sur la haute montagne, il voit la grâce de Dieu ! C’est cette vue-là qui remplit son cœur. Et c’est depuis là-haut qu’il chante !

     

     

     

    L. Reeves
    (Source : Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)

     

     

     

     


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