Attendre le moment de Dieu

Lamentations 3.19‑26

 

Nous nous attendons à ce que les choses se déroulent rapidement dans notre vie spirituelle, tout comme dans la vie. Rappelons‑nous cependant que Dieu agit pour celui qui s’attend à lui (És 64.3, La Colombe). Examinons trois des raisons pour lesquelles les croyants doivent attendre le moment de Dieu.

• Dieu peut nous préparer à recevoir ses bénédictions. Nous avons peut‑être besoin de nouvelles compétences, de maturité ou de discernement avant d’être prêts à accomplir le plan de Dieu. David a attendu bien des années avant de devenir roi. Lorsqu’il a accédé au trône, il avait gagné en force et en sagesse.

• Dieu nous enseigne à compter sur lui. Comment apprendrions‑nous la foi s’il exauçait immédiatement toutes nos requêtes? J’ai souvent entendu le Seigneur me dire : « Fais‑moi confiance », et il a toujours répondu à temps à mes besoins.

• Dieu retient parfois la bénédiction pour nous protéger. Nous pourrions ne jamais découvrir ses raisons, mais soyons assurés que Dieu sait quoi nous donner.

Attendre est difficile, mais devancer Dieu pourrait faire échouer son plan. Dans ce cas, le croyant en retire peu de joie, parce qu’il doit vivre avec les conséquences de sa précipitation. Usons de patience, car Dieu veut nous accorder le meilleur.

(Source : encontact.org)

Rien ne nous séparera de l'amour de Dieu

C’est lui qui a fait la terre par sa puissance, qui a fondé le monde par sa sagesse, qui a étendu les cieux par son intelligence. Au son de sa voix, les eaux s’amassent dans les cieux; il fait monter les vapeurs du bout de la terre, il produit les éclairs et la pluie; il tire le vent de ses trésors. Jérémie 51.15-16

Certes, nous ne pouvons sonder l’intelligence de notre Dieu, pas plus que nous ne pouvons mesurer Sa puissance. Toutefois, nous pouvons en avoir une idée, lorsque nous considérons le Seigneur dans Ses ouvrages. Il a créé l’univers tout entier. Le Seigneur a créé les mondes. Il soutient toutes choses par Sa parole puissante et rien ne chancelle! N’est-ce pas vertigineux? Nous pourrions encore ajouter que c’est Lui qui a réglé la course des étoiles. C’est Lui qui ordonne à la pluie de se déverser sur la terre et au vent de la caresser! Bien entendu, nous pourrions multiplier les exemples à l’infini!

Une question s’impose alors naturellement à nous. Si Dieu est capable de toutes ces choses grandes et merveilleuses, ne saura-t-il pas aussi prendre soin d’une créature aussi insignifiante que l’homme? Si nous croyons que le Seigneur est capable de l’infiniment grand, soyons convaincus qu’Il peut également veiller sur nous qui sommes une poussière de poussière dans l’univers. Cette pensée n’est-elle pas d’une grande consolation? Si nous considérons la puissance de Dieu, ne pouvons-nous pas marcher en paix? Notre Dieu peut tout et rien ne peut contrarier Ses desseins.

Par conséquent, ne craignons plus! Ne laissons plus les circonstances de la vie nous dominer! Ne laissons plus les bruits du monde nous troubler! C’est une certitude, toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon Son dessein. Assurons-nous seulement de toujours demeurer dans l’Amour de Jésus-Christ. Là, nous sommes en sécurité. Véritablement, rien ni personne ne pourra nous déloger de cette position bienheureuse! Ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. Gardons précieusement cette pensée dans notre cœur!

(Source : unmessagedamour.fr)

Des craintes irrationnelles

Lecture proposée : Ésaïe 49.14-19

Moi je ne t’oublierai point. V. 15

Je sais que c’est illogique, mais quand mes parents sont morts à trois mois d’intervalle, j’ai craint qu’ils m’oublient. Bien entendu, ils n’étaient plus ici-bas, mais leur départ m’a laissé avec une grande incertitude. J’étais alors un jeune adulte célibataire et j’ignorais comment bien m’en sortir dans la vie sans eux. Me sentant fin seule, j’ai cherché Dieu.

Un certain matin, je lui ai confié ma crainte irrationnelle et la tristesse qu’elle m’occasionnait (même s’il la connaissait déjà). Dieu a utilisé Ésaïe 49, qui accompagnait la méditation que je lisais ce matin-là, pour me consoler : « Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? […] Quand elle l’oublierait, moi je ne t’oublierai point » (V. 15). Par l’intermédiaire d’Ésaïe, Dieu a rassuré son peuple quant au fait qu’il ne l’avait pas oublié et lui a promis de le ramener ultérieurement à lui en envoyant son Fils Jésus. Or, ces paroles m’ont aussi touchée. Il est rare qu’une mère ou un père oublie son enfant, bien que cela soit possible. Mais Dieu ? Jamais de la vie ! Puisqu’il a dit : « Voici, je t’ai gravée sur mes mains » (V. 16). 

Père, il arrive que mes émotions et mes craintes me troublent.
Merci de m'aider à leur résister

La réponse que Dieu m’a donnée aurait pu accroître ma crainte, mais la paix qu’il m’a procurée en se souvenant de moi répondait précisément à mes besoins. J’ai ainsi commencé à comprendre que Dieu est encore plus près de moi qu’un parent ou que n’importe qui d’autre. Par ailleurs, il sait comment nous aider en tout – même apaiser nos craintes irrationnelles.

En tant que chrétiens, nous n’avons rien à craindre,
car nous avons Dieu pour aide et pour protecteur.

Anne Cetas
(Source : Notre Pain Quotidien)

Comment combattre et vaincre

« Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé » 1 Timothée 6.12 

Voici six stratégies bibliques éprouvées pour vaincre les attaques de l’Ennemi.

1) Penser de façon volontaire. « Combats le bon combat de la foi ». Planifiez et calculez comme un général se préparant au combat. Étudiez votre stratégie contre Satan.

2) Prier avec détermination. On doit s’approcher du trône de Dieu avec assurance (voir Hé 4.16), c’est-à-dire avec conviction ! Ne soyez pas timide avec Dieu. Il est votre « Abba », ce qui signifie « Père ». Vous êtes son enfant racheté, alors approchez-vous de lui avec confiance et demandez ce dont vous avez besoin.

3) Parler sans crainte. Pierre écrit : « Si quelqu’un parle, que ce soit selon les oracles de Dieu » (1P 4.11). En d’autres termes, ayez un ton autoritaire pour résister au Malin. « Fortifiez-vous dans le Seigneur » (Ep 6.10).

4) Donner généreusement. Vous recevez dans la mesure où vous donnez. « Tel, qui fait des largesses, devient plus riche ; et tel, qui épargne à l’excès, ne fait que s’appauvrir. Celui qui répand la bénédiction sera dans l’abondance, et celui qui arrose sera lui-même arrosé » (Pr 11.24–25). Aucun sacrifice n’est trop petit ou trop grand.

5) Travailler intensément. La Bible dit que quoi que vous fassiez, faites-le de tout votre cœur (voir Ec 9:1). N’abordez pas vos tâches avec crainte et envie de fuir. Ravivez le Saint-Esprit et accomplissez votre travail (voir 2Ti 1.6).

6) Aimer sans condition. En tant que disciple de Christ, vous devez vous efforcer d’aimer les autres comme lui les aime : sans condition et dans un esprit de sacrifice.

Bob Gass

Ne crains rien, Dieu est avec toi

Récemment, lors d'une de mes lectures, l'auteur du livre en est venu à poser la question suivante : « Connaissons-nous le commandement le plus souvent donné par Jésus ? ». Brûlant d'envie de connaître la réponse, je prenais le temps de réfléchir un instant avant de lire la réponse, car je ne m'étais jamais posé à la question. Je songeais à un commandement concernant l'amour tel que : « aime le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur », ou bien encore « aime ton prochain comme toi-même ». Mais la réponse n'était pas celle-ci. Le Seigneur donna de nombreux commandements mais il répéta celui-ci plus souvent qu'aucun autre : « Ne crains point ».

Ma première réaction fut de me rappeler que l'expression « Ne crains point » est un commandement que Jésus nous donne. Et comme tous les autres commandements, il n'est pas facultatif ou optionnel. 

La peur est l'une des premières conséquences de la chute. Dans Genèse 3v10, seulement 3 versets après que l'homme et la femme aient mangé du fruit de l'arbre et transgressé l'ordre de Dieu, Adam exprime à Dieu un sentiment qu'il ressent pour la première fois de son existence : « J'ai entendu ta voix dans le jardin et j'ai eu peur ». Nous sommes, pour notre part, familier avec ce sentiment qui fait partie intégrante de la vie de tout homme et de toute femme et qui affecte tous les domaines de nos vies : scolaire, professionnel, relationnel, sentimental, familial, et même parfois aussi le domaine spirituel. Assurément la volonté de Dieu en créant l'homme et la femme n'était pas qu'ils connaissent un tel sentiment de peur qui, s'il n'est pas canalisé, peut entraîner des effets inhibiteurs voire dévastateurs.

La peur, l'anxiété sont parmi les conséquences émotionnelles néfastes de la chute. C'est pour cela que le Seigneur Jésus nous a tant de fois donné cette parole pleine de tendresse et d'amour, « ne crains point », et qui a été le sujet d'un grand réconfort pour tant de personnes de son époque mais également à travers les siècles. Si Jésus a tant de fois prononcé ces mots, c'est parce qu'Il sait à quel point nous sommes de nature anxieuse. Mais sa Parole nous rassure et nous apaise.

Bien plus, cette parole nous rassure, non pas uniquement parce que nous ne devons pas craindre, mais parce que nous pouvons avoir une pleine confiance en celui qui nous dit de ne pas craindre. En effet, si Jésus nous a ordonné de ne pas craindre, il nous a également demandé de croire, Marc 6v36 : « Ne crains pas, crois seulement ». Si la peur domine notre vie, la foi ne la domine pas. Mais si la foi domine notre vie, alors la peur ne la dominera pas et son emprise sur notre vie cessera.

La Bible nous dit également : « Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaître vos besoin à Dieu par des prières et des supplications, dans une attitude de reconnaissance. Et la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l'on peut comprendre, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ » Philippiens 4v6-7. Voici le remède de Dieu face à nos craintes et nos peurs : les lui faire connaître. 

Quand avons-nous pris le temps pour la dernière fois de faire véritablement connaître à Dieu nos besoins, nos craintes ? Quand avons-nous pour la dernière fois déversé nos cœurs devant Lui pour telle ou telle situation ? Quand l'avons-nous supplié pour une situation qui nous semblait impossible ? Si nous prenons le temps de le faire aujourd'hui, la promesse de Dieu est là pour chacun de nous : la paix de Dieu gardera nos cœurs et nos pensées en Jésus-Christ. Quelle promesse. Quel calme alors dans nos pensées. Et quel repos pour notre âme. 

Une prière pour aujourd'hui :
Seigneur, tu vois cette situation, cette difficulté qui depuis trop longtemps créé en moi cette crainte et cette anxiété. La peur a trop longtemps dominé sur moi. Je désire ton repos Seigneur. Je te donne ce qui me rend captif, ce qui envahit mes pensées, et je veux à présent recevoir ce qui m'est dû car tu me l'as promis dans ton amour : ta paix, la paix de Dieu qui garde mon cœur et mes pensées. Amen.

David
(Source : adoredieu.com)

Vivre l'épreuve avec Jésus

(Jésus dit à ses disciples : ) Mais vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves.
Luc 22 : 28
Bienheureux l’homme qui endure l’épreuve ; car, lorsque, mis à l’épreuve, il aura été manifesté fidèle,
il recevra la couronne de vie, que Dieu a promise à ceux qui l’aiment. Jacques 1 : 12

 « Vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ». C’est la parole réconfortante et pleine de grâce adressée par Jésus à ses disciples, la nuit où il a été livré par un traître. Même s’ils « étaient frappés de stupeur et le suivaient avec crainte » (Marc 10. 32), toutefois, ils avaient suivi le Seigneur et ne l’avaient pas abandonné comme d’autres (Jean 6. 67, 68).

Le Seigneur est maintenant au ciel et désire accompagner les siens dans leurs épreuves. Amis chrétiens, est-ce que, dans nos épreuves, nous nous tournons vers Jésus ? Il fait siennes nos épreuves, de sorte qu’elles peuvent être traversées avec lui (Ésaïe 63. 9). Ne vivons pas l’épreuve comme quelque chose d’extérieur, un peu comme une averse qui tomberait sur nous. Associons-y le Seigneur. Il nous invite à l’« endurer », très étroitement liés à lui et en nous confiant en lui. Souvent nous nous sentons fatigués, frustrés, accablés par un malaise imprécis. N’essayons pas de nous débattre seuls avec nos difficultés, mais adressons-nous à Jésus, racontons-lui tout pour qu’il nous enseigne et nous encourage. Il est notre sagesse.

Dans la peine, si nous nous replions sur nous-mêmes, nous n’aurons aucune force, et le diable aura le dessus. Mais si nous vivons nos épreuves avec Jésus, nous éprouverons qu’elles ont été un chemin pour nous faire découvrir l’amour du Seigneur d’une manière nouvelle. Ce sera peut-être aussi une école pour nous rendre plus disponibles et plus sensibles aux peines des autres.

(Source : chretien.news)

De façons inattendues

Lecture proposée : Jean 19.1-12 

Celui qui m’a vu a le Père.  Jean 14.9

En 1986, le petit Levan Merritt de cinq ans a chuté de 6 m dans l’enclos des gorilles au zoo Jersey, Angleterre. Tandis que ses parents et les témoins de la scène criaient à l’aide, un gorille mâle adulte, Jambo, est allé se placer entre l’enfant inanimé et plusieurs autres gorilles. Et il s’est mis à lui caresser doucement le dos. Quand Levan s’est mis à pleurer, Jambo a conduit les autres gorilles dans leur propre enclos, tandis que les gardiens du zoo accouraient et qu’un conducteur d’ambulance venait secourir l’enfant. Plus de trente ans après, Levan parle encore de Jambo, le gentil géant - son ange gardien qui a agi de manière si inattendue, changeant ainsi à jamais sa perception des gorilles.

Il se peut qu’Élie se soit attendu à ce que Dieu agisse de certaines façons, mais le Dieu des dieux s’est servi d’un vent fort qui brisait les rochers, d’un terrible tremblement de terre et d’un feu violent afin de montrer à son prophète comment ne pas le percevoir. Il a ensuite utilisé un doux murmure pour démontrer son affection et exprimer sa présence (1 R 19.11,12).

Élie avait déjà vu se déployer la puissance de Dieu auparavant (18.38,39), mais il ne comprenait pas pleinement celui qui tient à ne pas se faire réduire au statut de plus grand et de plus redoutable des dieux (19.10,14).

Le doux murmure a fini par prendre tout son sens dans la puissante douceur de Jésus, qui a dit: « Celui qui m’a vu a vu le Père » (Jn 14.9). Puis Jésus a permis sans rien dire qu’on le crucifie - un geste inattendu et compatissant de la part du grand Dieu qui nous aime.

Dieu ne criera pas si nous n’avons besoin que d’un murmure.

Mart Dehaan

(Source : Notre Pain Quotidien)

Unique à ses yeux

L’Éternel est bon, un lieu fort au jour de la détresse, et il connaît ceux qui se confient en lui. Nahum 1. 7

Le Seigneur connaît ceux qui sont à lui. 2 Timothée 2. 19

La reine d’Angleterre inaugurait une nouvelle école devant une importante délégation des futurs élèves en uniforme. La cérémonie terminée, une petite fille pleurait à chaudes larmes.

– Qu’est-ce qui t’arrive ? demande l’institutrice, tu n’as pas vu la reine ?

– Si, répond l’enfant, mais la reine ne m’a pas vue !

La reine, évidemment, n’a pas pu remarquer chaque enfant dans la foule. Et la fillette n’était pas d’âge à le comprendre.

À l’époque du numérique, il nous arrive souvent de nous sentir comme un simple numéro, anonyme, dans un fichier. De là on a vite fait de penser que nous n’existons pour personne, car personne ne semble s’intéresser à nous. C’est une erreur. Quelqu’un sait qui je suis, connaît mon nom, et entend le moindre de mes soupirs. C’est Dieu, celui qui nous a créés. Le roi David, qui le savait très bien, a dit : “Tu connais quand je m’assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée… Tu es au fait de toutes mes voies. Car la parole n’est pas encore sur ma langue, que voilà, ô Éternel ! tu la connais tout entière” (Psaume 139. 2-4).

Le Seigneur Jésus, le bon Berger, appelle ses brebis, chacune par son nom (Jean 10. 3). Chacune est unique à ses yeux. Écoutons sa voix qui nous dit : “Je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi… Tu ne seras pas oublié de moi. Reviens à moi, car je t’ai racheté” (Ésaïe 43. 1 ; 44. 21, 22).

(Source : labonnesemence.com)

Trouvez dans la Parole la puissance dont vous avez besoin

« Vivante, en effet, est la Parole de Dieu, énergique et plus tranchante qu'aucun glaive à double tranchant. Elle pénètre jusqu'à diviser âme et esprit, articulations et moelles. Elle passe au crible les mouvements et les pensées du cœur. » Hébreux 4.12

Lorsque les gens me demandent par où commencer à lire la Bible, je leur réponds qu’il n’y a aucun mauvais endroit pour démarrer. Tout ce qui peut vous aider est bon à étudier. A l’époque où j’ai commencé à étudier la Parole, mes relations avec les autres n’étaient pas très bonnes parce que je n’avais pas encore vraiment compris ce qu’était l’amour. J’ai donc décidé d’étudier ce sujet: celui de l’amour. Et j’ai découvert qu’il était bien plus qu’un sentiment superficiel. L’amour est une décision que vous prenez au sujet de la manière dont vous allez traiter les gens.

En étudiant ce que la Bible dit concernant l’amour, j’ai appris à aimer. Puis ma vie a commencé à changer. Quelles que soient vos luttes actuelles, vous pouvez trouver des versets qui en parlent en utilisant une concordance. Si par exemple, vous avez des problèmes avec la colère ou la peur, consultez la concordance qui se trouve à la fin de votre Bible et cherchez ces termes pour trouver les passages abordant ces thèmes.

Si vous ne pensez à rien de précis dans l’immédiat, parcourez la concordance et choisissez un sujet qui attire votre attention. Commencez à regarder tous les versets qui contiennent ce mot et lisez-les. Demandez au Saint-Esprit de vous conduire et de vous révéler la vérité. Peu importe par où vous commencez, souvenez-vous que la Parole est vivante et a quelque chose à vous transmettre aujourd’hui-même !

Ma prière pour aujourd’hui :
Seigneur, je sais que Ta Parole a quelque chose en réserve pour moi aujourd’hui. Peu importe ce que je traverse en ce moment, je vais trouver ce que Ta Parole a à me dire à ce sujet.

Joyce Meyer

La question d'Anne

Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le Juste ; et lui est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres mais aussi pour le monde entier. 1 Jean 2 : 1, 2

Anne vient d’être mise en contact avec l’évangile. Elle est bien disposée, mais une question la trouble : « Comment le Christ a-t-il pu expier mes péchés sur la croix alors que je ne les avais pas encore commis ? »

Supposons que la cour d’une école en montagne soit installée au bord d’un ravin. Comme les enfants perdent le ballon en le faisant passer par-dessus le grillage, l’instituteur interdit de jouer de ce côté de la cour. De plus, il exige que l’enfant qui aura perdu un ballon en achète un nouveau. Or les parents sont plutôt pauvres. Mais voilà qu’un ami du maître apprend l’affaire et lui donne une bonne somme d’argent pour payer tous les ballons perdus, à la condition, bien sûr, que l’enfant qui a perdu le ballon vienne le dire au maître.

Ainsi l’ami du maître a donné une provision d’argent pour tous les ballons qu’on perdrait, mais seuls les ballons reconnus perdus par l’un ou l’autre des enfants seront remplacés.

De même le sacrifice du Christ concerne tous les péchés du monde, péchés commis avant ou après sa venue. Mais seuls sont pardonnés les péchés des personnes qui sont venues vers Dieu en se reconnaissant perdues.

L’ami du maître ne savait pas à l’avance quels enfants bénéficieraient de sa générosité, alors que le Seigneur Jésus, parce qu’il est Dieu, connaît tout à l’avance. Avant la crucifixion, il a confié à son Père ses disciples dans une prière, en précisant qu’il priait aussi pour ceux qui viendraient à croire (Jean 17 : 20). Ensuite, Jésus « s’est donné lui-même en rançon pour tous » (1 Timothée 2 : 6).

(Source : La Bonne Semence / chretien.news)

Ne vous épuisez pas

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. » Matthieu 11:28-30

Supposons que vous fassiez des travaux dans votre maison et qu’un élastique cède entre vos mains alors que vous essayez d’attacher quelque chose avec. N’en trouvant pas d’autre, vous tentez alors de le réparer en attachant les deux bouts ensemble. C’est ce qui se passe parfois dans notre quotidien : nous essayons de nous étirer au-delà de nos capacités, et nous cédons comme un élastique trop tendu. Nous croyons avoir réglé le problème une fois que nous avons joint les deux bouts, mais peu de temps après, nous refaisons l’erreur qui nous avait amené à « craquer » la première fois.

Avec le temps et les expositions répétées au stress, nos vies commencent à ressembler à ce bout de caoutchouc usé. Cela peut nous éreinter jusqu’à l’épuisement. Ignorer les lois de Dieu et les limites attachées à notre vie engendrent inévitablement un burn-out.

Vous ne pouvez pas continuer à pousser à bout votre intellect, vos émotions et votre corps, sans en payer le prix à un moment ou un autre. Ce n’est pas ainsi que Dieu désire que vous gériez votre vie. Ajustez votre manière de faire à celle que Dieu recommande. Recherchez Sa paix et Son rythme pour votre vie. Respectez votre corps. Considérez la santé comme un don précieux. Ne gaspillez pas l’énergie que Dieu vous a donnée en étant stressé. Gardez-la pour vivre et profiter pleinement de votre vie !

Ma prière pour aujourd’hui :
Seigneur, je veux trouver ma paix en Toi. Au lieu de sans cesse craquer sous la pression, montre-moi comment m’ajuster à Ton rythme.

Joyce Meyer