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    Dieu demeure-t-il près ou loin de nous ?

     

     

     

    Dieu demeure-t-il près ou loin de nous ?

     

     

     

     

    “Oui, comme une mère qui console son enfant, Moi aussi, Je vous consolerai…” Es 66. 13

    Dieu, s’adressant à Israël par la voix d’Esaïe déclare : “Je prendrai soin de vous comme une mère le fait pour l’enfant qu’elle allaite ; Je vous porterai sur la hanche et Je vous cajolerai sur Mes genoux. Oui, comme une mère qui console son enfant, Moi aussi, Je vous consolerai’ (Es 66. 12-13). Imaginez-vous qu’une mère puisse consoler son enfant tout en demeurant à des milliers de kilomètres de celui-ci ! Ainsi Dieu veut nous montrer qu’Il est proche de nous à tout moment de notre existence. David ne s’est-il pas écrié :“Et où fuirais-je loin deTa face ? Si je monte aux cieux,Tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, T’y voilà. Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille demeurer au-delà de la mer, là aussi Ta main me conduira, etTa droite me saisira…”(Ps 139. 7-10).

    Beaucoup de gens, y compris des chrétiens, s’imaginent que Dieu, étant le Créateur d’un univers infini, doit demeurer dans des régions bien éloignées de notre terre. Ils se sentent un peu perdus, écrasés par l’immensité de la création. Un pilote dont l’avion volait à près de onze kilomètres d’altitude se souvient, en regardant des villes de 10 millions d’habitants ou plus disparaître de son champ de vision en quelques minutes, avoir pensé : “Comment Dieu, caché quelque part là-haut, peut-Il contempler toutes ces minuscules créatures sur terre et savoir en même temps ce qui est en train de se passer dans leur vie ? Ou même se soucier de leurs problèmes individuels ?” Erreur classique !

    1- Dieu n’est pas un homme. Il n’est pas limité par les lois de l’espace et du temps, lois qu’Il a établies Lui-même.

    2- L’espace, aussi infini soit-il, ne peut se comparer à la valeur que Dieu accorde à Ses créatures et tout particulièrement à Ses enfants en Christ.


    3- Dieu est sans limites et nous ne pouvons comprendre ni Ses plans ni Ses pensées (Es 55. 8-9). La foi seule nous permet de suivre la démarche divine, pas notre intelligence.

    4- Nous avons une grande valeur à Ses yeux. Son amour et Sa grâce nous sont assurés pour toujours. Dieu n’est jamais loin de notre cœur quand celui-ci crie à Lui.

    Harold Sala a écrit : “c’est seulement notre manque de foi qui risque de l’éloigner loin de nous !” Prions : “Que les paroles de ma bouche et le murmure de mon cœur soient agréés enTa présence, Seigneur…”(Ps 19. 15).

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Mon crédo quotidien (1 et 2)

     

     

     

     

     

    Mon crédo quotidien (1)

     

    « Jésus leur dit […] cela lui sera accordé » Marc 11.22-23, NBS

    Jésus enseigne que si je proclame sa Parole avec foi, il m’accorde ce que je demande. C’est une foi puissante ! Lorsque j’affirme la Parole vivante de Dieu et l’applique à ma situation, c’est comme si j’appuyais sur un interrupteur : sa lumière s’allume et ses promesses s’accomplissent.

    Chaque matin, je proclamerai ces versets de la Bible. 1) « Voici le jour que le Seigneur a fait : qu’il soit notre allégresse et notre joie ! » (
    Ps 118.24). Ce qui veut dire : « Seigneur, merci pour ce que tu me donnes aujourd’hui. Je célébrerai ta bonté et j’en savourerai chaque instant. » 2) « Les bontés du Seigneur ne sont pas épuisées. Sa bonté se renouvelle chaque matin. Que ta fidélité est grande, Seigneur ! » (La 3.22–23, BFC). En d’autres termes : « Seigneur, aujourd’hui je chercherai à t’honorer dans tout ce que je fais. Et si j’échoue, je marcherai toujours dans ta miséricorde et ta grâce. » 3) « Le Seigneur m’a enseigné ce que je dois dire, pour que je sache avec quels mots je soutiendrai celui qui faiblit. » (Esa 50.4, BFC). Ce qui signifie : « Seigneur, je saurai quoi dire parce que tu m’as enseigné et donné les mots qu’il faut pour convaincre. » 4) « Voici le jour où l’Éternel livre […] entre tes mains. L’Éternel se met en campagne devant toi » (Jug 4.14). Ce qui veut dire : « Seigneur, peu importe ce qui m’arrive aujourd’hui, tu me défends, me protèges et me justifies. Je marcherai dans ta joie, ta grâce, ta miséricorde, ta direction, ta protection et ta bénédiction. »

     

     

     

    Mon crédo quotidien (2)

     

    « Oui, je veux remercier le Seigneur sans oublier aucun de ses bienfaits » Psaumes 103.2, BFC

    Jésus enseigne que si je proclame sa Parole avec foi, il m’accorde ce que je demande (voir Mr 11.23). David appelle bienfaits les bénédictions dont Dieu nous comble chaque jour. Le verbe « combler », signifie remplir une remorque, et pas juste une tasse à café ! Dieu veut faire toutes ces choses pour moi. C’est pourquoi le Psalmiste écrit : « Oui, je veux remercier le Seigneur sans oublier aucun de ses bienfaits. C’est lui qui pardonne toutes mes fautes, guérit toutes mes maladies, m’arrache à la tombe, me comble de tendresse et de bonté. Il remplit ma vie de bonheur, il me donne une nouvelle jeunesse ; je suis comme l’aigle qui prend son vol. Le Seigneur intervient pour redresser les torts, il rend justice à tous ceux qu’on opprime. Le Seigneur est compatissant et bienveillant, patient et d’une immense bonté. Il ne nous punit pas comme nous l’aurions mérité. Sa bonté pour ses fidèles monte aussi haut que le ciel au-dessus de la terre. Il met entre nous et nos mauvaises actions autant de distance qu’entre l’est et l’ouest. Le Seigneur aime ses fidèles comme un père aime ses enfants. Il sait bien, lui, de quoi nous sommes faits : d’un peu de poussière, il ne l’oublie pas. Mais la bonté du Seigneur pour ses fidèles dure depuis toujours et durera toujours. Et sa loyauté reste acquise aux enfants de ses enfants » (Ps 103.2–6, 8, 10–14, 17, BFC). Comprenez bien ceci : la puissance de la Parole de Dieu se déclenche lorsque vous la confessez autour de vous.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    L’avenir est imprévisible mais

     

     

    L’avenir est imprévisible mais

     

     

     

     

    “Le Seigneur est mon roc, ma forteresse et mon libérateur. Il est mon Dieu, le rocher où je me réfugie, mon bouclier, l’arme de ma victoire, ma citadelle”. Ps 18. 3 

    Tout dans notre vie peut changer soudain, avec brutalité : un métier que vous croyez stable, une famille qui paraissait soudée, une santé de fer ; rien de ce qui arrivera demain n’est prévisible. Et malgré toute cette incertitude, nous pouvons faire preuve de grande confiance, car Dieu est notre roc, notre sauveur et ne nous abandonnera jamais.

     1- L’avenir est imprévisible, mais l’amour de Dieu à notre égard ne change pas. “Seigneur, Ton amour est immense, aussi vaste que les cieux et Ta fidélité monte jusqu’aux nuages” (Ps 36. 6). Si nous péchons gravement, il est bon de se rappeler que Son amour est plus grand que nos manquements. S’Il a pardonné à David, ne vous pardonnera-t-Il pas vous aussi ?

    2- L’avenir est imprévisible, mais la protection que nous assure “l’Eternel des Armées” est sans faille. Si le psalmiste L’appelait le rocher où je me réfugie, à l’évidence il savait qu’il allait devoir affronter des tempêtes et des batailles tout au long de sa vie. Quand les orages de la vie s’abattent sur nous, mieux vaut savoir où nous réfugier pour les surmonter victorieusement. Même si nos meilleurs amis, notre famille nous abandonnent, Lui demeurera à nos côtés pour nous protéger.

    3- L’avenir est imprévisible, mais Ses provisions ne manquent jamais. Pendant toutes leurs années d’errance, les Israélites ne furent jamais à court de nourriture et d’eau. En fait même leurs sandales ne s’usèrent pas (Dt 29. 5) !

    Voilà pourquoi Il nous invite à ne pas nous faire de souci pour quoi que ce soit : “votre Père sait ce dont vous avez besoin, avant que vous le Lui demandiez” (Mt 6. 8). Avec Lui nous ne manquerons de rien physiquement et spirituellement. Il, nous procurera la paix et la joie dont nous avons besoin chaque jour. Ses compassions sont renouvelés chaque jour n’est-ce pas ? Ses promesses ne sont jamais rompues, car Dieu est digne de toute notre confiance. Si le monde autour de nous est imprévisible, Lui demeure notre salut, notre protection, notre refuge, la source de notre victoire. Soyons en reconnaissants !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Les vallées du chrétien

     

     

    Les vallées du chrétien

     

     

    Comme notre Père bon et puissant nous accompagne toujours,
    nous n’avons pas à craindre dans les jours difficiles.

     

     

     

    PSAUME 23 

    Dans la nature, des vallées se creusent entre les montagnes, et il en est de même de la vie spirituelle. Les chrétiens doivent parfois traverser « la vallée de l’ombre de la mort » (Psaume 23.4).

    Il est merveilleux de se reposer sur le sommet d’une montagne, mais ce sont les vallées qui nous font découvrir nos faiblesses, ainsi que la nature de Dieu et la véracité de ses promesses. Les vallées révèlent ce sur quoi nous avons pris appui et nous forcent à plutôt compter sur Dieu, nous permettant de reconnaître du même coup que la foi, le courage et la sagesse se trouvent auprès de lui.

    Si les vallées sombres sont incontournables, Dieu n’y prive pas les croyants de consolation. Nous lisons au verset 5 : « Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires; tu oins d’huile ma tête, et ma coupe déborde. » Ce verset nous montre que Dieu comble les besoins, y compris celui d’être apaisé. Cette image du berger qui verse doucement de l’huile sur la blessure de sa brebis rappelle la sécurité et le soulagement que Dieu procure dans l’épreuve.

    Il est difficile et apeurant de traverser d’épaisses ténèbres, mais quand nous nous soumettons au Seigneur, nous pouvons nous appuyer sur sa puissance et y puiser du réconfort.

     

    (Source : encontat.org)

     

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     La vengeance appartient à Dieu

     

     

     

    La vengeance appartient à Dieu

     

     

     

     

    Mes amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit : C'est à moi qu'il appartient de faire justice ; c'est moi qui rendrai à chacun son dû. Romains 12.19

     

    Lorsque quelqu’un nous met en colère, Satan aime nous attaquer et faire en sorte que nous restions énervés. Réagir de façon positive est à l’opposé de ce que Satan aimerait nous voir faire car cela détruit tout ce qu’il avait mis en place pour que vous soyez en colère. Cela ne vient pas naturellement et ce n’est pas toujours très facile, mais lorsque nous faisons ce que nous pouvons faire, Dieu fait toujours ce que nous ne pouvons pas faire.

     
    Lorsque quelqu’un vous offense et vous met en colère, la réponse naturelle pour la plupart d’entre nous est de tenter de nous venger. Mais si vous le faites réellement, que gagnerez vous ? Ces personnes seront encore plus en colère et elles risqueront de vouloir se venger à leur tour. Cela devient un cercle sans fin. Nous sommes réellement insensés si nous souhaitons nous accrocher à notre colère ; Nous devons confier à Dieu ces personnes et la colère que nous ressentons et le laisser s’occuper de la situation.

     

    Faites confiance à Dieu et il s’occupera de vous et vous protègera. Vous ne pouvez changer ce qui s’est passé, mais lorsque vous donnez vos circonstances à Dieu, il s’en sert pour vous accorder un avenir meilleur.

     

    Ma prière pour aujourd'hui : Seigneur, je crois que la vengeance t’appartient et que d’essayer de faire payer les gens au moyen de la colère n’est pas ce que tu désires de moi. Je te donne ma colère et crois que tu vas prendre soin de moi.

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

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    L’exigence du pardon

     

     

     

    L’exigence du pardon

     

     

     

     

     

    « Oubliant ce qui est en arrière, et tendant vers ce qui est en avant » Philippiens 3.13

     

    Pardonner à quelqu’un qui nous a profondément blessé n’est pas chose facile. Pourtant, c’est nécessaire, car nourrir une rancune, c’est comme allaiter un enfant : l’amertume réclame et grandit sans cesse quand on l’alimente. Pardonner ne se fait pas sur le coup d’une émotion mais résulte d’un choix. Si on attend d’en avoir envie, on restera prisonnier du ressentiment. Quand Pierre a demandé à Jésus combien de fois il fallait pardonner à un offenseur, Jésus a répondu : « Soixante-dix fois sept fois » (Mt 18.22). Autrement dit, pardonner encore et encore, autant que possible !

    Toutefois, il y a quatre choses à prendre en compte.

    1) Le pardon n’oblige pas à reprendre la relation avec l’offenseur, surtout s’il refuse de se repentir et de changer.

    2) Pardonner ne signifie pas approuver ou fermer les yeux sur l’offense.

    3) Le pardon ne dédouane pas l’offenseur de ses responsabilités. En revanche, il permet à la victime de se libérer et de reprendre le cours de sa vie.

    4) Pardonner, ce n’est pas forcément oublier ; c’est essayer d’y penser différemment, avec bienveillance et sans rancœur.


    Certes, Satan pourrait chercher à nous convaincre qu’on n’a pas vraiment pardonné, pour la simple raison qu’on se souviendrait encore de l’offense. C’est un mensonge. De plus, le pardon s’apprend avec le temps. Plus on le pratique, plus on s’améliore ! Chercher à comprendre l’offenseur en trouvant des raisons d’avoir de la compassion : voilà un bon début.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Criez à Jésus

     

     

     

    Criez à Jésus

     

     

     

    Plusieurs lui faisaient des reproches pour le faire taire ; mais il criait d’autant plus Marc 10.48

     

    Imaginez que vous soyez aveugle de naissance, qu’un jour vous retrouviez miraculeusement la vue et que le premier visage que vous voyiez soit celui de Jésus ! 

     

    C’est ce qui est arrivé à Bartimée. Jésus passait près de l’endroit où il était assis tous les jours pour mendier. Conscient que c’était la chance de sa vie, il s’est mis à crier à l’aide jusqu’à en perdre haleine. Alors, Jésus s’est arrêté (Marc 10.49). Parfois, une belle prière ne suffit pas. Aux grands maux les grands remèdes ! Parfois, il faut crier à Dieu du plus profond de notre âme, pour attirer son attention.

     

    David dit dans le Psaume 30.3 : "J’ai crié à toi, et tu m’as guéri." N’hésitons pas, ayons confiance. "Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, en vue d’un secours opportun." (Hébreux 4.16)

     

    Voici la fin de l’histoire : "L’aveugle jeta son manteau, se leva d’un bond et vint vers Jésus." (Marc 10.50). Il l’a fait pour deux raisons : d’abord, un manteau trop long aurait pu le faire trébucher. Ensuite, il portait des vêtements de mendiant. 

     

    Pour s’approcher de Jésus, il faut être prêt à se débarrasser de tout ce qui nous encombre : la honte, l’échec dans le passé, les défauts, nos anciennes limites et les étiquettes que les autres nous ont collées.

     

     

     

    Bob Gass
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

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    L’obéissance et l’orage

     

     

     

    L’obéissance et l’orage

     

     

     

     

    “C’est dans le retour à Moi et le repos que sera votre salut, c’est dans le calme et la confiance que sera votre force” Es 30. 15 

    Est-ce que vous avez cru faire la volonté de Dieu et maintenant vous vous retrouvez au cœur d’une tempête ? Les disciples vécurent deux fois des situations troublantes de cette sorte. Jésus“obligea”Ses disciples à monter dans une barque et à passer avant Lui de l’autre côté (Mc 6. 45). Au milieu de la mer la barque rencontra des difficultés, en particulier un vent contraire. Jésus, Lui, priait (v. 46) à des kilomètres de là ! Mais au moment propice Il vient miraculeusement marchant sur l’eau. Les disciples étaient terrifiés car “ils poussèrent des cris”. Jésus leur dit :”Rassurez-vous”(v. 50), autrement dit“soyez confiants, courageux”.

    Dans ce premier incident les disciples doivent attendre l’intervention miraculeuse de Jésus ; Il vient marchant sur les eaux. Ils doivent Le reconnaître et réussir à se calmer malgré la situation totalement inattendue. Ils ont obéi à l’ordre de Jésus, et pourtant ils rencontrent des difficultés quand ils sont au milieu du lac. Heureusement Jésus est venu au bon moment les secourir!

    Une autre fois Jésus les invita à monter dans une barque avec Lui (Mc 4. 35-38). Ils obéirent et se retrouvèrent dans “un grand tourbillon”. Les disciples paniquèrent mais que fait Jésus pendant ce temps? Il est calme, ou plutôt endormi! Parfois nous sommes là où Dieu nous veut et Jésus est avec nous, mais nous traversons une tempête. Les disciples doivent réveiller Jésus pour que la tempête s’arrête.

    Nous pouvons écouter prédication après prédication mais si nous n’activons pas la Parole de Dieu dans notre vie, la Parole reste dormante. L’épée de l’Esprit est la Parole de Dieu (Ep 6. 17). Une épée peut être utilisée de manière défensive pour repousser les attaques de Satan ou offensive pour contrecarrer les plans de l’ennemi. Remarquez que Jésus “menace” le vent mais Il“parle”à la mer. Il est offensif avec ce que nous ne voyons pas, comme les puissances invisibles du monde spirituel mais dans le monde physique Jésus parle et demande le “silence”.

    Yahvé Shalom, le Dieu de notre paix a déjà acquis la victoire pour nous et nous pouvons Lui faire confiance en ce qui concerne les événements présents et futurs. Ce qu’Il nous demande c’est l’obéissance en prouvant notre foi dans les promesses de notre Seigneur tout en restant dans le calme et la confiance dont parle Esaïe.

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Dieu contrôle

     

     

    Dieu contrôle

     

     

     

     

    « C'est toi que j'attends » Psaumes 39.8, NBS

     

    La vie se déroule rarement comme prévu. Lorsque Job perd tout, il dit : « Mais je n’ai plus la force d’attendre : à quoi me sert de vivre ? En moi, je n’ai plus rien pour m’aider, je manque du plus petit secours » (Job 6.11, 13, PDV). Pourtant, à la fin, Job récupère deux fois plus que ce qu’il avait perdu. Les expériences et les adversités qu’il a dû affronter ont profondément changé son attitude envers Dieu. Il dit : « Je sais que tu peux tout, et qu’aucune pensée ne t’échappe. Mon oreille avait entendu parler de toi ; maintenant mon œil t’a vu ». (42.2,5 NBS).

    Qu’a‑t-il découvert ? Que Dieu est souverain ! Il n’est pas mon serviteur, je suis le sien. Je dois obéir à sa Parole afin de jouir de sa bénédiction, mais le résultat final est entre ses mains et non les miennes. Beaucoup luttent pour être au contrôle de leurs situations, leurs objectifs, leurs projets, leurs relations et tout ce qui les concerne. Une telle crainte est souvent le signe d’un désir inconscient d’être indépendant de Dieu, d’être maître de son propre destin. Parfois, c’est le résultat d’une enfance chaotique ou de la volonté de ne pas répéter les erreurs du passé. On pense peut-être contrôler sa vie grâce à la réussite scolaire, financière ou autre. Ce n’est pas le cas. Tout ce que l’on a réalisé, c’est Dieu qui l’a permis. Paul écrit : « Par la grâce de Dieu je suis ce que je suis » (
    1Co 15.10). Aujourd’hui, c’est Dieu qui contrôle la situation, faites-lui confiance !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Seigneur, ta grâce nous suffit

     

     

     

     

    Seigneur, ta grâce nous suffit

     

     

     

     

     

    Regardant à Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, méprisant l’ignominie, à cause de la joie qui lui était proposée, a souffert la croix, et s’est assis à la droite du trône de Dieu. Hébreux 12.2

     

    Sans doute, tout semble parfois sombre et désespéré. Parfois, las et fatigué, la joie s’enfuit, et il ne nous reste, parait-il, plus aucune force pour avancer. Néanmoins, dans ces moments sombres, ne baissons pas les bras. N’abandonnons pas, nul ne peut nous y contraindre! N’oublions jamais dans le noir ce que nous avons appris dans la lumière. Souvenons-nous de Jésus-Christ. Regardons à Lui, Il est le Chef et le Consommateur de la foi. Souvenons-nous que, bien avant nous, Il a souffert et qu’Il a vaincu le monde. Désormais, Il nous engage à Le suivre sur cette voie et à prendre courage.

     

    Ne perdons pas de vue l’objectif, la finalité, de la course à laquelle nous avons pris part. Nous obtiendrons le salut de nos âmes pour prix de notre foi. Quelle glorieuse espérance, n’est-ce pas? C’est pourquoi, lorsque la chair fait la guerre à l’âme, lorsque la fatigue s’appesantit sur nous, lorsque le monde entier s’oppose à nous, souvenons-nous de Jésus-Christ. Sur terre, Il n’avait nul endroit où reposer Sa tête. Pareillement, nous ne pouvons trouver aucun repos ici-bas non plus. Harassés par le combat, par les épreuves de la vie, écoutons encore le Sauveur nous dire: « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai. » Auprès de Lui, nous trouverons de nouvelles forces.

     

    C’est une évidence, le Seigneur ne nous abandonne pas, jamais. Nous le savons, Sa puissance s’accomplit dans l’infirmité. Veillons seulement à garder précieusement Son témoignage dans nos cœurs. Veillons seulement à garder foi en Lui. Alors, tenons ceci pour certain, nous ne marcherons jamais dans les ténèbres. Oui, dans la joie comme dans la peine, nous pouvons le proclamer avec bonheur: « Seigneur, Ta grâce nous suffit! »

     

     

     

    (Source : unmessagedamour.fr)

     

     

     

     

     

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    Ne pas craindre l’échec

     

     

     

     

    Ne pas craindre l’échec

     

     

     

     

    « Je suis avec toi » Josué 1.5

    Bien conscient de mes limites, j’ai tendance à réduire mes activités dans ma zone de confort. Du coup ma vie peut devenir médiocre et mes rêves inachevés. Mes efforts ne reposent pas uniquement sur mes épaules, mais sur celles de Dieu. Oui, tout le monde a un rôle à jouer. Mais quand on a fait de son mieux, on doit faire confiance à Dieu pour faire le reste. Au seuil de la Terre promise, Dieu a dit à Josué : « Je suis avec toi comme je l’ai été avec Moïse ; je ne te délaisserai pas, je ne t’abandonnerai pas. Fortifie-toi et prends courage » (v.5–6).

    Si mes capacités sont réduites, celles de Dieu sont illimitées. Ma route vers le succès peut être parsemée d’embûches, mais Dieu m’assure qu’il ne m’abandonnera pas Ma peur de l’échec est souvent basée sur la croyance erronée que le succès repose uniquement sur mes capacités. Je me sais imparfait(e), donc je ne m’attaque pas aux géants de la Terre promise. Et je finis par dire : « Ah si j’avais su ! » Frustrant, non ? Si mes désirs correspondent à la volonté de Dieu, je me montre audacieux car je sais que je finirai par réussir.

    La Bible dit : « Voici l’assurance que nous avons auprès de lui : si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous possédons ce que nous lui avons demandé » (
    1Jn 5.14–15). Si je lui fais confiance, ma réussite est assurée. Il suffit que ma volonté s’accorde à la sienne pour avancer sans crainte de l’échec.

     

     

    Bob Gass

     

     

    Ne pas craindre l’échec

     

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