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    A la maison pour Noël

     

     

     

    A la maison pour Noël

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Genèse 28.10-17 

     

    Voici, je suis avec toi, je te garderai partout où tu iras, et je te ramènerai dans ce pays.
    Genèse 28.15

     

    Un certain Noël, on m’a envoyé dans un endroit que de nombreux amis ne parvenaient pas à situer sur la carte. Me rendant d’un pas lourd de mon lieu de travail à ma chambre, je me protégeais du vent froid soufflant depuis la sombre mer Noire. J’avais le mal du pays.

     

    À mon arrivée à ma chambre, j’ai ouvert la porte sur un événement magique. Mon compagnon de chambre, un artiste, avait achevé son plus récent projet : un arbre de Noël en céramique haut de 48 cm illuminait maintenant de points de couleurs scintillants notre chambre plongée dans l’obscurité. Si seulement pour un instant je m’étais trouvé à la maison !

     

    Quand Jacob a fui son frère Ésaü, il s’est retrouvé lui aussi tout seul en milieu étranger. Endormi à même le sol dur, il a rencontré Dieu dans un songe. Et Dieu lui a promis de lui donner une demeure: «La terre sur laquelle tu es couché, je la donnerai à toi et à ta postérité [...] et toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta postérité» (Ge 28.13-14).

     

    De Jacob allait venir, bien entendu, le Messie promis, celui qui a quitté sa demeure pour nous attirer à lui. «[Je] vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi», a dit Jésus à ses disciples (Jn 14.3).

     

    Par cette soirée de décembre, je suis resté assis dans la pénombre de ma chambre à contempler cet arbre de Noël. Je n’ai pu alors que réfléchir à la Lumière qui était entrée dans le monde pour nous montrer le chemin vers la maison.

     

     

     

    La maison est le lieu d’appartenance que Dieu nous donne.

     

     

     

    Tim Gustafson 

    (Source : Notre Pain Quotidien / bible-ouverte.ch)

     

     

     

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    Quel Don !

     

     

     

    Quel Don !

     

     

     

    Si tu connaissais le don de Dieu… Jean 4. 10

    Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Jean 3. 16

     

    Il y a plus de 2000 ans, des étrangers venus de l’Est sont arrivés à Jérusalem. Ils ont posé une question qui a consterné les habitants : “Où est le roi des Juifs qui a été mis au monde ?” (Matthieu 2. 2).

     

    On se serait bien passé d’un tel événement. Le roi Hérode en est troublé, et toute la ville avec lui. En effet la vie économique, culturelle et sociale suivait son cours, et à Jérusalem les habitants n’étaient pas prêts à changer grand-chose à leur manière de vivre.

     

    N’en est-il pas de même encore aujourd’hui ? La vie s’écoule au rythme des saisons, des circonstances bonnes ou mauvaises. Noël est là, avec ses sapins, ses crèches et sa profusion de cadeaux. Noël, c’est pourtant bien la naissance de Jésus qui est commémorée par beaucoup de gens ? Mais cet événement n’est-il pas souvent vidé de son sens profond ? Au milieu de la fête, qui pense encore au cadeau que Dieu nous a fait en nous donnant Jésus Christ ? Et quel don ! Il n’est comparable à aucun autre.

     

    Refuser un cadeau est une insulte pour celui qui l’offre. Quelle responsabilité de refuser Jésus Christ que Dieu offre comme Sauveur à chacun ! Un cadeau est une marque d’affection. On offre des cadeaux à ceux que l’on aime. Dieu, en nous donnant Jésus, nous a donné la plus grande preuve de son amour.

     

    Parmi les cadeaux qui vous seront offerts pour Noël, ne négligez pas le don de Dieu : Jésus Christ comme Sauveur. Lui peut transformer votre vie et vous donner un nouveau départ.

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Le pianiste

     

     

     

    Le pianiste

     

     

     

     

    Nous ne savons ce que nous devons faire, mais nos yeux sont sur toi. 2 Chroniques 20 : 12

    Nos yeux regardent à... notre Dieu, jusqu’à ce qu’il use de grâce envers nous. Psaume 123 : 2

     

     

    La chorale est sur scène le chef d’orchestre lève les mains, prêt à donner le signal. Le pianiste, caché derrière le couvercle grand ouvert de son piano à queue, joue les premières notes. Et puis, tout à coup, d’un geste impératif, le chef interrompt la musique. Il se dirige vers le piano et baisse d’un cran le couvercle de l’instrument. A cause de ce couvercle trop ouvert, le pianiste ne pouvait voir suffisamment le chef. Il lui était donc difficile d’accompagner correctement le choeur.

     

    N’en est-il pas ainsi dans notre vie spirituelle ? Si nos regards ne sont pas constamment fixés sur Jésus, nous ne pourrons pas répondre à ce qu’il attend de nous. D’où l’exhortation : « Courons avec patience la course qui est devant nous, fixant les yeux sur Jésus » (Hébreux 12 : 2).

     

    Prenons garde. Le piano est magnifique, les touches sont brillantes, le couvercle largement ouvert, le pianiste habile, mais l’harmonie peut être absente si le pianiste ne voit pas bien le chef. De même, dans notre vie de chrétiens, il peut y avoir beaucoup d’activités, une grande connaissance de l’Ecriture et pourtant pas de résultats. Quelque chose s’est glissé entre Christ et nous, alors nous ne le voyons plus.

     

     

    (Source : La Bonne Semence / chretien.news)

     

     

     

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    A propos de petits renards

     

     

     

    A propos de petits renards

     

     

     

     

    “Qu’on attrape ces renards, ces petites bêtes qui font des dégâts dans les vignes…” Ct 2.15 

    Un jour, Michel-Ange sculptait une statue de marbre pendant qu’un de ses amis le regardait. Ce dernier partit en voyage d’affaires, et lorsqu’il revint, il remarqua : “Je vois que tu n’as pas travaillé sur ta statue”. Le grand artiste lui répondit : “J’y ai constamment travaillé depuis que tu es parti”. Son ami continua : “Comment est-ce possible ?” Michel-Angel répliqua : “J’ai adouci la ligne ici, j’ai redressé la lèvre là, défini les muscles avec davantage de précision, poli ici et accentué les traits là”. Son ami s’exclama : “Mais ce ne sont que des bagatelles”. Michel-Ange répondit : “C’est exact, ce ne sont que des détails infimes, mais ceux-ci sont la base de la perfection, et la perfection n’est pas une bagatelle !”

    Salomon a écrit : “Qu’on attrape ces renards, ces petites bêtes qui font des dégâts dans les vignes alors que les raisins de notre vigne sont encore tendres” (LM).

    Un enseignant de la Bible commente ce verset ainsi : “Les petites choses qui peuvent sembler sans importance peuvent ravager des raisins tendres comme des relations en train de s’épanouir, une carrière qui débute ou une vie qui vient de se consacrer à Christ.

    Combien de mariages sont brisés parce que les conjoints ne portent aucune attention aux petits détails. Combien d’athlètes perdent des compétitions à cause de petites erreurs. Beaucoup d’entre nous ont une vision globale de leur relation avec Dieu, mais négligent les petits détails qui sont nécessaires pour la mettre en évidence.

    Pour cela, nous devons nous occuper des “bagatelles” si nous voulons réussir. Si nous sommes fidèles dans les petites choses, Dieu nous bénira avec des opportunités plus grandes. Notre fidélité et notre obéissance se développeront et nous permettront de résoudre les problèmes les plus sérieux de notre vie. “C’est bien, bon et fidèle serviteur ; tu as été fidèle en peu de choses, Je te confierai beaucoup” (Mt 25. 21).

    Quels sont les “petits renards” que vous devez attraper aujourd’hui ? Un peu de rancune, une mauvaise habitude sans conséquence, un peu de malhonnêteté ici ou là ? Tuez-les avant qu’ils ne prennent de l’ampleur !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Personne ne m'aime

     

     

     

    Personne ne m'aime

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 142 

     

     [Personne] ne me reconnaît, tout refuge est perdu pour moi, nul ne prend souci de mon âme.
    Psaume 142.5

     

    Enfant, quand je me sentais seule ou rejetée, ou encore je me prenais en pitié, ma mère essayait parfois de me remonter le moral en me chantant: «Personne ne m’aime, tout le monde me déteste. le crois que je vais aller manger des vers.» Après qu’un sourire s’était dessiné sur mon visage, elle m’aidait à voir les nombreuses relations spéciales et raisons d’être reconnaissante que j’avais.

     

    Quand je lis que David avait le sentiment que personne ne se souciait de lui, cette chansonnette me revient en tête. Reste qu’il n’exagérait en rien sa souffrance. Alors que je me sentais seule, ce qui était typique des enfants de mon âge, David avait de bonnes raisons de se sentir abandonné. Il a écrit cette parole au fond d’une sombre grotte où il s’était réfugié pour échapper à Saül, qui cherchait à le tuer (1 S 22.1 , 24.3-10). David, qui avait été oint en tant que futur roi d’Israël (16.13), avait passé des années au service de Saül, mais il vivait maintenant «en constants déplacements», craignant toujours pour sa vie. Au cœur de sa solitude, David a crié à Dieu en tant que son «refuge» et son «partage sur la terre des vivants» (Ps 142.6).

     

    Comme David, nous pouvons crier à Dieu lorsque nous nous sentons seuls, exprimant ainsi nos sentiments dans le cadre sécuritaire de son amour. Dieu ne banalise jamais notre solitude. Il veut être notre compagnon dans les sombres grottes de notre vie. Même lorsque nous nous disons que personne ne se soucie de notre vie, Dieu s’en soucie !

     

     

     

    Dans nos moments de solitude, Dieu est notre ami.

     

     

     

    Kirsten Holmberg 

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Le meilleur des pères

     

     

     

    Le meilleur des pères

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Luc 15. 11-24

     

    Le plus jeune dit à son père : Père, donne-moi la part du bien qui me revient. Alors il leur partagea son bien. Luc 15. 11, 12

    Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion ; il courut à lui, se jeta à son cou et le couvrit de baisers. Luc 15. 20

     

      

    Dans la parabole biblique dite “du fils prodigue”, ce fils exigeant réclame “la part du bien qui lui revient”. Il veut hériter tout de suite, comme si pour lui son père était déjà mort. Il veut vivre sa vie tout seul, être indépendant. Son père ne discute pas, même s’il est en souci pour son fils. Il le laisse partir, mais ne l’abandonne pas ; il ne l’oublie pas, il l’attend avec amour.

     

    Et ce qui devait arriver, arrive… Le fils gaspille tous ses biens et se retrouve sans ressources, loin de sa famille, affamé, perdu et malheureux. Il ne lui reste que deux possibilités : persister dans son désir d’être indépendant de son père, ou revenir à la maison en reconnaissant ses erreurs… Qu’auriez-vous fait, vous-même ?

     

    Dieu laisse les hommes libres de leurs choix, il les laisse faire leurs expériences. Il nous aime, nous invite à l’écouter… et attend notre réponse.

     

    Mais voyez la suite de la parabole : le fils est revenu ! Et le plus incroyable, c’est l’accueil du père et sa joie au retour de son fils : il court à sa rencontre, se jette à son cou, l’embrasse, et fait un festin, car son fils “était perdu et il est retrouvé”.

     

    Dieu accueille de la même manière celui qui vient vers lui tel qu’il est, reconnaissant qu’il s’est trompé, regrettant ses désobéissances à Dieu et sa conduite indigne.

     

    Dieu est vraiment un Père extraordinaire ! À chacun de nous de le reconnaître, et d’accepter d’être son enfant par Jésus Christ.

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Vos trois meilleures armes

     

     

     

    Vos trois meilleures armes

     

     

     

     

    « Tout homme que nous sommes, nous ne combattons pas de façon purement humaine. »
    2 Corinthiens 10.3

     

    Par une stratégie rusée et une tromperie habile, Satan mène une guerre contre vous et essaie de vous maintenir dans une mentalité de défaite. Mais Dieu vous a donné des armes spirituelles à utiliser contre lui.

     

    Voici les trois armes spirituelles principales à utiliser contre l’ennemi : 1. La Parole de Dieu : Recevez-la au travers des prédications, des enseignements, de la lecture et de l’étude personnelle de la Bible. Demeurez dans la Parole jusqu’à ce qu’elle devienne une révélation communiquée par l’inspiration du Saint-Esprit. 2. La louange : Elle met l’ennemi à terre plus vite et plus efficacement que tous les autres plans de bataille. Mais elle doit venir d’un cœur sincère et ne pas être uniquement un rite religieux ou une louange des lèvres. 3. La prière : La prière, c’est être en relation avec Dieu, communiquer avec Lui. C’est Lui demander de l’aide ou parler avec Lui de ce qu’il y a sur votre cœur. Pour avoir une vie de prière efficace, nous devons développer une relation intime et personnelle avec le Père. Sachez qu’Il vous aime et qu’Il désire vous aider. C’est la guerre, mais Dieu se bat à vos côtés et vous a donné les armes dont vous avez besoin. Utilisez-les pour faire fuir Satan !

     

    Ma prière pour aujourd’hui : Seigneur, merci de me donner les armes spirituelles dont j’ai besoin pour combattre l’ennemi. Avec Ton aide, je sais que je peux gagner la bataille aujourd’hui!

     

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : joycemeyer.fr)

     

     

     

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    Le Père parfait

     

     

     

     

    Le Père parfait

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 27 

     

    Car mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Éternel me recueillera. Psaume 27.10

     

    Dans l’allée bondée du magasin, je m’efforçais de trouver la carte parfaite pour la fête des Pères. Même si nous nous étions réconciliés après plusieurs années, je ne me sentais toujours pas proche de mon père. D’un geste brusque, la femme qui se tenait à côté de moi a remis dans l’étalage la carte qu’elle venait de lire. «Pourquoi est-ce qu’ils ne font jamais de cartes pour les gens qui n’ont pas de bonne relation avec leur père, mais qui essaient de faire la bonne chose ?»

     

    Comme elle est repartie en coup de vent avant que je puisse lui répondre, j’ai prié pour elle. J’ai remercié Dieu de m’avoir rappelé que lui seul peut être un Père parfait et je lui ai demandé d’affermir ma relation avec mon père.

     

    J’aspire aussi à une plus grande intimité avec mon Père céleste. Je veux avoir la même assurance que David avait de la présence constante de Dieu, de sa puissance et de sa protection (Ps 27.1-6).

     

    Quand David l’a appelé à l’aide, il s’est attendu à ce que Dieu lui réponde (v. 7-9). Même si des parents terrestres rejettent, abandonnent ou négligent leurs enfants, David s’est dit inconditionnellement accepté par Dieu (v. 10). Il croyait à sa bonté (v. 11-13). Comme nous tous, David a eu ses combats, mais l’Esprit l’a aidé à croire en Dieu et à dépendre de lui
    (v. 14).

     

    Comme la dame du magasin, nous aurons notre lot de relations difficiles. Même si l’on nous trahit, nous déçoit ou nous blesse, le seul Père parfait continuera de nous aimer et de nous protéger entièrement.

     

     

    Dieu, notre Père parfait, ne nous fera jamais défaut.

     

     

     

    Xochitl Dixon 

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Une ancre solide

     

     

     

     

    Une ancre solide

     

     

     

     

    Nous avons un puissant encouragement, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l’espérance proposée : nous l’avons comme une ancre de l’âme, sûre et ferme, et qui pénètre jusqu’à l’intérieur du voile où Jésus est entré comme précurseur pour nous, étant devenu souverain sacrificateur pour l’éternité. Hébreux 6 : 18-20

     

     Dans l’antiquité, l’ancre était devenue symbole d’espérance. Lorsqu’un navire était aux prises avec la tempête, l’équipage jetait une ancre et même plusieurs. Tandis que la chaîne se déroulait, les marins attendaient anxieusement pour voir si l’ancre allait s’accrocher solidement dans les fonds.

     

    Tel est le rôle de l’espérance dans la vie du chrétien. Pour lui, l’ancre est jetée, non vers le fond d’une mer déchaînée, mais vers le ciel où elle est fermement liée à Jésus, que Dieu a fait asseoir à sa droite après son triomphe sur tous nos ennemis.

     

    Un précurseur est quelqu’un qui prépare la venue d’un groupe dans des contrées inexplorées. Il ouvre la voie, il écarte les obstacles. Il est le premier à parvenir au but. Jésus nous a ouvert l’accès au ciel, la présence même de Dieu, il nous y a précédés et nous y introduira bientôt. Sa présence auprès du Père constitue le fondement inébranlable qui tient fermement l’ancre.

     

    Là, dans le ciel, Jésus, établi en vainqueur, exerce une activité incessante pour délivrer, encourager ceux qu’il a sauvés et qui le suivent sur la terre. Il prie pour chacun de ceux qu’il appelle ses frères, c’est-à-dire ceux qui croient en lui. Ses soins fidèles, ses grâces journalières, ses communications particulières par sa Parole et dans la prière nous aident à tenir ferme dans la foi. Sa grâce, qui suffit à tout, nous protège dans les moments difficiles, nous relève quand nous sommes découragés, nous donne aussi d’être actifs pour le Seigneur, et de l’attendre. -

     

     

    (Source : La Bonne Semence / chretiens.news)

     

     

     

     

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    Parlez à vos montagnes

     

     

     

    Parlez à vos montagnes

     

     

     

     

     

    « En vérité, je vous le déclare, si quelqu'un dit à cette montagne : "Ote-toi de là et jette-toi dans la mer", et s'il ne doute pas en son cœur, mais croit que ce qu'il dit arrivera, cela lui sera accordé. » Marc 11.23

     

    Lorsque Jésus a dit que nous devions parler à la montagne, et lui ordonner de  » s’ôter de là et de se jeter dans la mer « , c’était une injonction radicale.

     

    Voyez-vous, nous parlons en général des  » montagnes  » ou des défis dans nos vies, mais Dieu nous dit que nous devons parler directement à ces montagnes et leur répondre par la Parole de Dieu.

     

    Dans Luc 4, lorsque Satan a essayé de tenter Jésus dans le désert, le Seigneur a répondu à chaque tentation par des versets. Il a cité inlassablement les écritures qui contrecarraient directement les mensonges et les tromperies du diable. Lorsque nous traversons des épreuves, beaucoup d’entre nous essayent de faire de même pendant un temps, mais nous nous décourageons lorsque nous ne voyons pas de résultats rapides. Nous arrêtons alors de proclamer la Parole et nous recommençons à parler d’après nos émotions.

     

    La persévérance est une clef essentielle dans l’obtention de la victoire. Proclamer sans cesse la parole de Dieu est puissant et absolument nécessaire pour vaincre les problèmes et surmonter les situations difficiles. Sachez ce en quoi vous croyez et soyez déterminé à y rester attaché jusqu’à la fin.

     

     

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : joycemeyer.fr)

     

     

     

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    Un bouclier défectueux

     

     

     

    Un bouclier défectueux

     

     

     

    Prenez l’armure complète de Dieu afin qu’au mauvais jour vous puissiez résister…, prenez le bouclier de la foi grâce auquel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du Méchant. Éphésiens 6. 13-16

     

    “Un bouclier qui laisse passer une flèche n’est pas un bouclier”, a dit un jour un homme politique. Cette réflexion d’ordre général prend tout son sens pour le bouclier de la foi dont parle l’épître aux Éphésiens. Pièce essentielle de l’armure du chrétien, il sert à “éteindre les flèches enflammées du Méchant”. Une “flèche enflammée”, si elle réussit à atteindre son but, est susceptible de produire à elle seule un grand incendie.

     

    Ces “flèches enflammées”, ce sont les doutes et l’incrédulité par lesquels Satan essaie sans relâche de troubler nos relations avec Dieu. Par exemple, il cherche à insinuer que Dieu est injuste, arbitraire, indifférent à nos malheurs, sourd à nos prières…

     

    Chrétiens, soyons sur nos gardes, car Satan connaît le défaut de la cuirasse. Si une seule de ses flèches nous atteint, elle nous conduira au doute, à la méfiance, à la révolte ou à l’amertume envers Dieu, notre Père. Nous perdrons notre confiance simple et sans réserve dans sa bonté et sa fidélité envers nous. Nos relations avec Dieu, notre paix et notre bonheur en seront affectés.

     

    Les arguments que Satan utilise paraissent parfois justes, mais ils cachent toujours des mensonges. Veillons donc à manier le bouclier de la foi de manière à ne laisser passer aucune flèche. Refusons énergiquement et immédiatement tout ce qui remet en question la bonté, la sagesse, l’amour, la fidélité ou la souveraineté de Dieu. Ne discutons pas, répondons comme Jésus : “Il est écrit…” (Luc 4. 1-13). Voilà le seul bouclier efficace !

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

    Un bouclier défectueux

     

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