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    Le don du célibat

     

     

     

    Le don du célibat

     

     

     

     

    « Chacun tient de Dieu un don particulier » 1 Corinthiens 7.7 

     

    Il n’y a rien de mal à être célibataire. Quand on croise une belle femme ou un bel homme non marié, on s’interroge : « Qu’est-ce ce qui cloche ? » Rien du tout ! Sans doute leur situation pourrait être pire s’ils étaient mariés. Ils ont peut-être suivi ce bon conseil : « Il vaut mieux être seul que mal accompagné. »

     

    Deux amis se rencontrent. L’un d’eux remarque que l’autre porte une alliance à l’index de la main droite. Il lui dit : « C’est bizarre. C’est ton alliance ? » Son ami acquiesce. Alors, le premier reprend : « Pourquoi la portes-tu au mauvais doigt de la mauvaise main ? » Et l’autre répond : « Parce que je suis marié avec la mauvaise personne. » C’est drôle non ?

     

    Mais la Bible enseigne que la vie de célibataire est non seulement une vie épanouie, mais que c’est aussi un don. Paul écrit : « Je voudrais que tous les hommes soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l’un d’une manière, l’autre d’une autre ».

     

    Ça ne veut pas dire que vous êtes plus spirituel célibataire que marié. Mais le fait est que certains ont été choisis et bénis par le Seigneur pour vivre seul. Paul était dans ce cas. Il ajoute : « À ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu’il leur est bon de rester comme moi » (v.8).

     

    Hormis une période de sept ans, Paul a passé presque tout son ministère en prison où il a écrit ses Épîtres. La mission que Dieu lui avait confiée convenait au célibat. En fait, jamais personne ne devrait avoir honte ou être gêné de sa condition de célibataire.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Cœurs inquiets

     

     

     

    Cœurs inquiets

     

     

     

     

    L’inquiétude dans le cœur d’un homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit.  Proverbes 12. 25

    Rejetez sur Dieu tout votre souci, car il prend soin de vous. 1 Pierre 5. 7
     

    Les occupations de la vie actuelle produisent beaucoup de stress, et nous font souvent perdre notre sérénité. Notre société occidentale recherche une bonne qualité de vie et lutte pour améliorer le bien-être et la sécurité, mais cela n’empêche pas l’inquiétude générale de grandir. Pour la plupart, nous vivons plus aisément que nos parents, pourtant nous sommes facilement agités et anxieux, toujours en quête de sécurité et de confiance. Avoir l’esprit en paix est le plus grand bienfait que nous puissions souhaiter. Peut-on trouver cela dans un monde troublé ? Bien des personnes essayent d’atteindre cette paix de l’âme et de l’esprit par leurs propres moyens, en vain : rien de ce monde ne remplit le vide de l’âme. “Notre cœur est inquiet tant qu’il ne repose pas en Dieu”, écrit Saint Augustin.

     

    Jésus seul apporte la réponse efficace à l’inquiétude : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28). Venir à Jésus Christ, c’est recevoir cette invitation pour moi-même, croire qu’il est puissant pour me délivrer du vide, des interrogations et des tourments de mon âme. Le laisser prendre les commandes de ma vie, voilà le véritable antidote à l’inquiétude.

     

    “Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif” (Jean 14. 27).

     

     

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

    Cœurs inquiets

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    A travers la croix

     

     

     

    A travers la croix

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : 2 Corinthiens 4.8-18 

     

     [Rien] ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
    Romains 8.39

     

    Mon collègue Tom garde une croix de verre qu’un autre survivant du cancer lui a donnée pour l’aider à tout regarder «à travers la croix». Cette croix de verre est un rappel constant de l’amour et des desseins bienveillants de Dieu envers lui.

     

    Voilà une idée stimulante pour tous les croyants en Jésus, surtout durant les périodes difficiles. Il est alors bien plus facile de nous concentrer sur nos problèmes que sur l’amour de Dieu.
    La vie de l’apôtre Paul a certainement servi d’exemple de cette perspective façonnée selon la croix. Il s’est dit persécuté, mais non abandonné; abattu, mais non perdu (voir 2 Co 4.9).

     

    Selon lui, «nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire, parce que nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles» (v. 17,18).

     

    Le fait que «nous regardons [...] à celles qui sont invisibles» ne revient pas à nier nos problèmes. Par son commentaire sur ce passage, Paul Barnett nous l’explique: «Nous devons user d’assurance, fondée sur la certitude des desseins de Dieu pour [nous]. [...] Par contre, nous devons reconnaître en tout état de cause que nous gémissons avec espoir et douleur.»

     

    Jésus a donné sa vie pour nous. Son amour est profond et sacrificiel. En contemplant la vie «à travers la croix», nous voyons son amour et sa fidélité. Et notre foi en lui s’en trouve grandie.

     

    Contemplez tout à travers la croix.

     

     

    Anne Cetas 

    (Source : Notre Pain Quotidien / bible-ouverte.ch)

     

     

     

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    La beauté cachée

     

     

     

    La beauté cachée

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : 1 Samuel 16.1-7 

     

     [L’homme] regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au coeur. 1 Samuel 16.7

     

    Nous avons dû pousser nos enfants à mettre leur équipement de plongée pour leur faire voir le paysage sous-marin aux abords de l’ile de Tobago. Ils sont revenus à la surface conquis. «Il y a des milliers de poissons de différentes sortes ! C’est tellement beau ! Je n’avais jamais vu de poissons aussi colorés !»

     

    Comme la surface de l’eau ressemblait à celle des lacs d’eau douce à proximité de la maison, nos enfants risquaient de ne pas voir la beauté qui se cachait tout juste sous la surface.

     

    Lorsque le prophète Samuel s’est rendu à Bethléhem pour y oindre l’un des fils d’Isaï en vue de son sacre, Samuel a été impressionné en voyant Éliab, l’aîné. Le prophète a alors cru avoir trouvé l’élu de Dieu, mais celui-ci a rejeté Éliab. Le Seigneur a rappelé à Samuel que l’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais [que] l’Éternel regarde au cœur» (1 S 16.7).

     

    Samuel a donc demandé à Isaï s’il avait d’autres fils. Le cadet était absent, en train de faire paître les moutons de la famille. On a alors fait venir ce fils, David, et Dieu a ordonné à Samuel de l’oindre.

     

    Il nous arrive souvent de ne retenir des gens que ce qui saute aux yeux, sans toujours prendre le temps de voir en eux leur beauté intérieure, parfois cachée. Nous ne valorisons pas forcément ce que Dieu valorise. Par contre, si nous prenons la peine de regarder sous la surface, il se peut que nous y trouvions de grands trésors.

     

    Dieu peut m’aider à voir la beauté intérieure chez autrui.

     

     

     Lisa Samra 

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Œufs de prière

     

     

     

    Œufs de prière

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Habakuk 2.1-3 

      

    [Si] elle tarde, attends-la, car elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement. V. 3 

     

    Juste hors de ma fenêtre de cuisine, une femelle rouge-gorge construisait son nid sous le toit du patio. Je me plaisais à la regarder tisser des brindilles d’herbe pour en faire un abri sûr puis s’y installer pour couver ses œufs. Chaque matin, je vérifiais en vain sa progression. Les œufs de rouge-gorge mettent deux semaines à éclore.

     

    Une telle impatience chez moi ne tient pas d’hier. J’ai toujours peiné à patienter, surtout dans la prière. Mon mari et moi avons attendu presque cinq ans pour adopter notre premier enfant. Des décennies plus tard, l’auteure Catherine Marshall a écrit : « Comme les œufs, les prières n’éclosent pas dès qu’on les pond. »

     

    Précieux Seigneur, aide-moi à croire que tu es à l'œuvre durant mon attente

     

    Le prophète Habakuk a peiné à attendre l’exaucement de ses prières. Contrarié par le silence de Dieu devant la cruauté des Babyloniens envers Juda, il lui a dit : « [Je] me tenais sur la tour ; je veillais, pour voir ce que l’Éternel me dirait » (HA 2.1). Dieu a alors demandé à Habakuk d’attendre « le temps […] déjà fixé » (V. 3) et : « Écris la prophétie » pour qu’elle se répande dès lors (V. 2).

     

    Ce que Dieu a tu, c’est que « le temps […] déjà fixé » pour la chute de Babylone ne viendrait que six décennies plus tard, créant ainsi un long écart entre la promesse et son accomplissement. Comme les œufs, les prières n’éclosent pas souvent dans l’immédiat, mais restent plutôt en incubation dans les desseins parfaits de Dieu pour notre monde et notre vie.

     

    Soumettez tout à Dieu dans la prière.

     

     

     

    Elisa Morgan

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Une tour forte

     

     

     

    Une tour forte

     

     

     

     

     

     

     

    Du bout de la terre je crierai à toi, dans l’accablement de mon cœur ; tu me conduiras sur un rocher qui est trop haut pour moi. Car tu m’as été un refuge, une forte tour, devant l’ennemi… Je me réfugierai sous l’abri de tes ailes. Psaume 61. 2-4

     

    Martin Niemöller était pasteur en Allemagne après la première guerre mondiale. Dans les années qui ont suivi l’avènement du nazisme, Niemöller, de plus en plus inquiet, a résisté au régime, ce qui lui a valu d’être arrêté en 1937. Le matin de son procès, le 7 février 1938, un garde l’a escorté depuis sa cellule jusqu’à la salle d’audience. Niemöller était terrassé par la peur : Qu’allait-il devenir ? Qu’allait-il arriver à sa famille ? à ses frères et soeurs dans la foi ? Quelles tortures les attendaient tous ?

     

    Le visage du garde était impassible, mais alors qu’ils sortaient d’un tunnel, Niemöller entendit un léger murmure. Au début, il ne savait pas d’où il venait, car la voix était douce comme un soupir. Puis il se rendit compte que le garde lui soufflait à l’oreille les paroles de Proverbes 18. 10 : “Le nom du Seigneur est une tour forte ; les justes courent vers elle et sont en sécurité”.

     

    Nous ne traversons sans doute pas des circonstances aussi dramatiques mais il peut nous arriver d’être envahis par la peur ou de nous sentir mal, lorsque des pensées mauvaises s’agitent au-dedans de nous.

     

    Que devons-nous faire alors ? N’essayons pas de nous en sortir tout seuls. Courons nous réfugier dans le nom du Seigneur, c’est-à-dire en sa présence. Faisons-le avec un cœur sincère, sans faux-semblant. Ne lui cachons rien… et nous serons surpris de l’immensité de sa grâce. Sa douceur, son amour nous réconforteront et nous protègeront. “Le Dieu de toute grâce… vous affermira, vous fortifiera, et vous établira sur un fondement inébranlable” (lire 1 Pierre 5. 10).

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Mon âme, attends-toi à l'Eternel

     

     

     

    Mon âme, attends-toi à l'Eternel,

    demeure ferme et il fortifiera ton cœur

     

     

     

    "Je t'aiderai. Ésaïe 41.14"

     

    Le Seigneur dit : « Je t'aiderai. » La force intérieure est complétée par le secours extérieur. Dieu peut, s'il le juge à propos, nous fournir des aides pour les luttes que nous avons à soutenir. Mais s'il nous en prive, lui-même se tiendra à notre côté, et cette assistance là est préférable à celle de légions d'êtres humains.

    Ce secours vient au temps voulu. Il est efficace et sage tout à la fois, il est approprié aux circonstances de celui auquel il s'adresse. C'est même plus qu'un simple secours, car le Seigneur se charge de notre fardeau tout entier et subvient complètement à nos besoins. « L'Éternel notre Dieu est avec nous pour nous aider et pour nous conduire dans les combats. »

    Parce qu'il nous a déjà secourus, nous pouvons nous confier en lui pour le présent et pour l'avenir. Notre prière est : « Seigneur, sois mon secours ; » — ; notre expérience : « L'Esprit nous soulage dans nos infirmités ; » — ; notre attente : « Mon secours vient de l'Éternel ; » — ; notre chant sera bientôt : « Mon coeur a eu confiance en lui, et il m'a secouru. »

    « Ainsi, mon âme, attends-toi à l'Éternel et demeure ferme, et il fortifiera ton coeur. Attends-toi, dis-je, à l'Éternel.»

     

     

    Charles Spurgeon

    (Source : adoredieur.com)

     

     

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    Trouver sa destinée au quotidien (1 et 2)

     

     

     

    Trouver sa destinée au quotidien (1)

     

     

     

    « Samuel prit une fiole d'huile qu'il répandit sur la tête de Saül » 1 Samuel 10.1 

     

    Voici comment Saül devient le premier roi d’Israël. Il parcourt le pays à la recherche des ânes de son père lorsqu’il rencontre le prophète Samuel : « Samuel dit à Saül : dis à ton serviteur de passer devant nous. Celui-ci passa devant. Arrête-toi maintenant reprit Samuel, et je te ferai entendre la parole de Dieu. Samuel prit une fiole d’huile qu’il répandit sur la tête de Saül. Il l’embrassa et dit : l’Éternel t’a donné l’onction pour que tu sois le conducteur de son héritage » (1S 9.27–10.1). Notez que Saül part à la recherche des ânes et trouve son destin ! Ça peut vous arriver aussi ! Dieu a l’habitude d’appeler des gens occupés à d’autres choses. Jacques et Jean réparaient leurs filets de pêche. Matthieu était collecteur d’impôts, Élisée cultivateur et Saül parti à la recherche des ânes égarés de son père. C’était juste un jour de travail ordinaire pour subvenir à ses besoins. Mais lorsque Dieu a une destinée pour vous et a inscrit votre nom sur une page de son agenda, il viendra vous chercher. Vous dites : « Mais je n’ai rien de spécial ! » C’est ce que Saül a dit également. « Ne suis-je pas Benjaminite, de l’une des plus petites tribus d’Israël ? Mon clan n’est-il pas le plus petit de tous les clans des tribus de Benjamin ? » (1S 9.21). Votre statut social n’arrête pas Dieu. Quand il a un projet en vue pour vous, il vous sortira de l’ombre pour vous mettre au premier plan. Alors restez fidèle, continuez à le servir et votre temps viendra !

     

     

     

    Trouver sa destinée au quotidien (2)

     

     

    « Ils le méprisèrent » 1 Samuel 10.27 

     

    Si Dieu vous appelle à un destin précis, ça ne va pas plaire à tout le monde. « Il y eut toutefois des vauriens, qui disaient : Quoi ! c’est celui-ci qui nous sauvera ! Ils le méprisèrent et ne lui apportèrent aucun présent, mais Saül garda le silence ». Saül reste imperméable à ces critiques. En clair, ce n’est pas à vous de convaincre les autres de votre appel ; c’est à eux de le discerner. La Bible dit : « Les cadeaux d’un homme lui élargissent la voie » (Pr 18.16). Ce sont vos talents et ce qu’ils produisent qui valident votre appel : « Samuel dit à Saül : […]. Arrête-toi maintenant […] et je te ferai entendre la parole de Dieu » (1S 9.27). Après avoir entendu la voix de Dieu, vous ignorez les critiques. Sa présence vous rassure, sa Parole dirige vos pas et sa paix calme votre tempête intérieure. Les paroles flatteuses ne vous enflent pas d’orgueil car vous avez les pieds bien sur terre et les directives de Dieu sont claires. Nul besoin de la louange des autres car votre confiance en lui vous comble entièrement. Après avoir entendu la voix de Dieu, votre attitude change tout de suite. Vous abordez l’avenir avec calme, assurance et sérénité. Dieu a parlé, ses paroles ont répondu à toutes les questions. L’avenir vous le prouvera. Voici un verset important à retenir : « Il ne faut pas mépriser la petitesse des premiers travaux » (Za 4.10, BFC). Ne vous comparez pas aux autres et ne vous dévalorisez pas à vos propres yeux, mais réjouissez-vous de chaque pas de foi sur le chemin de la destinée que Dieu a prévue pour vous.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Dieu aime les perdus et il veut les sauver

     

     

     

    Dieu aime les perdus et il veut les sauver


     

    Voici un magnifique aspect d’une histoire que nous connaissons bien, une histoire que nous appelons habituellement, « Le fils prodigue »..

     

    Le mot ‘prodigue’ signifie : « gaspilleur, irréfléchi, extravagant, donner ou céder à profusion, avec panache et en abondance ». Nous disons que l’histoire est celle du fils prodigue parce que nous sommes concentrés sur la façon dont le fils a gaspillé son argent imprudemment. Mais Jésus a voulu aussi attirer notre attention sur le père, qui librement, avec extravagance et oui, même imprudemment, a déversé son amour et sa grâce sur son fils très indigne ! Je suppose que l’on pourrait dire que c’est l’histoire du « père rempli en amour ». Autrement dit, c’est l’histoire de « l’amour sans limites » d’un père.


     

    L’Amour illimité de Dieu ! 

     

    Peut-être que quand nous pensons à notre vie, nous pensons à toutes les façons dont nous avons autrefois été gaspilleurs et insensés. Nous voyons tous nos défauts, nos échecs et nos lacunes. Mais comprenons bien ceci : Il ne s’agit pas de vous, ni de moi. Il ne s’agit pas de savoir jusqu’où vous avez dérivé et combien vous vous êtes égaré. Il s’agit d’un Père aimant qui nous aime tellement qu’Il a tout donné pour nous. Il s’agit d’un Amour sans bornes qui ferait n’importe quoi pour nous atteindre ! Il ne s’agit pas de votre vie imprudente – il s’agit de l’Amour sans limites de Dieu !

     

    Un de mes passages préférés des Écritures est Romains 8. 32 qui dit : « Lui, qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? ». Dieu a donné son Fils Jésus sachant que beaucoup de gens Lui cracheraient au visage, Le rejetteraient et se moqueraient même de Son don d’Amour. Pourtant, Dieu a donné librement, généreusement et avec abnégation le meilleur qu’Il avait pour nous. C’est de l’Amour sans bornes. Si Dieu a donné Son propre Fils pour nous, nous pouvons être sûr qu’Il est prêt à nous donner tout ce dont nous avons besoin.

     

    La croix était bien plus qu’un symbole : 

     

    Ce verset montre que la croix est la preuve ultime de l’Amour sans limite de Dieu. Sur la croix, Jésus a accepté le pire que l’humanité avait à offrir : l’injustice, la haine, les préjugés, l’orgueil, la violence, la trahison et le meurtre. Sans se battre, Il a pris sur Lui les péchés du monde. Et en retour, Il a donné le meilleur que Dieu a à offrir – le pardon, l’humilité, la douceur, la générosité, la fidélité, la vérité, le salut et l’amour. Mais la croix était plus qu’un symbole ; c’est le moyen même par lequel Dieu est capable d’exprimer la miséricorde et la justice tout en restant pleinement Juste. Vous voyez, si Dieu avait simplement ignoré notre péché, cela aurait été injuste. Mais, si nous avions tous reçu la justice que nous méritons, nous serions tous damnés. Au lieu de cela, Jésus a pris notre punition sur Lui (acte de justice) et nous offre le pardon et la paix avec Dieu sur Son compte (acte de miséricorde).

     

    Ma prière est pour que vous soyez conquis, bouleversés, emportés par la révélation de l’amour sans limite du Père. Que vous puissiez vous voir comme Il vous voit – digne du meilleur qu’Il a donné ; Son unique, précieux Fils.

     


    (Source : l.evangile.sauve.overblog.com)

     

     

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    De la prison de l'épreuve à l'école de la foi

     

     

     

    De la prison de l'épreuve à l'école de la foi

     

     

    Il m’est arrivé récemment de vivre une épreuve à l’image d’un missile que me tombe dessus, de manière incroyablement soudaine et imprévue. La réaction est alors difficile puisqu’on n’est pas préparé. Et pourtant… L’épreuve a surgi de « nulle part » et on se demande ce qui vient de se passer et où et quand cela va s’arrêter ! L’épreuve touche, déstabilise par le fait que souvent elle ne fournit aucune explication, ne donne aucune raison. 1 Pi 1.6-7 Vous êtes maintenant, pour un peu de temps, puisqu’il le faut, affligés par diverses épreuves afin que votre foi éprouvée se trouve être un sujet de louange

    Pour un peu de temps… puisqu’il le faut… d’accord mais quand même… Arrêtons-nous un instant sans nous prendre la tête : Pierre, dans ce texte -et dans toute sa lettre- ne s’attarde pas sur le POURQUOI de la souffrance, mais sur son POUR QUOI, sur son but, son objectif. Que l’épreuve soit le résultat de l’attaque de l’ennemi, d’une injustice, de la méchanceté des gens ou de toute autre raison, Dieu est capable de changer le mal en bien. Il en a la puissance. L’apôtre rappelle premièrement qu’il faut s’armer de la pensée suivante : l’épreuve et la souffrance font partie de la vie et la souffrance dans la chair est une réalité quotidienne dans notre monde (1 Pi 4.1, 12). Bien-aimés, ne soyez pas surpris, comme d’une chose étrange qui vous arrive, de la fournaise qui est au milieu de vous pour vous éprouver. 

    Ensuite, il est écrit entre autres que la souffrance ne dure pas toujours, elle est présente pour « un peu de temps » (1 Pi 1.6, 5.10). Cette expression parait irréaliste et semble sous-estimer certaines souffrances innommables qui existent autour de nous et qui nous touchent. Croyez-le, la perspective que donne la Parole de Dieu élève la foi du chrétien au-dessus des tristesses terrestres. Ses yeux, embuées par les larmes, se lèvent vers le ciel, vers l’éternité et vers les promesses du Père. Patience : la souffrance prendra fin un jour, le lieu de la parfaite consolation existe ! Notre attitude face à l’épreuve compte beaucoup, comme le rappelait Ziglar : notre attitude détermine notre altitude ! Si l’huitre perlière se forme à la base à partir d’un grain de sable qui, en entrant dans le coquillage, l’a fait souffrir, elle entourera « sa souffrance » de la nacre et deviendra une perle magnifique. De même, les leçons apprises dans la souffrance sont des perles conservées dans l’écrin de notre expérience humaine. 

    La souffrance peut rapidement ressembler à une prison qui fait résonner des questions telles que : « Pourquoi Seigneur ? » ou encore « Pourquoi moi ? Je ne mérite pas cela ». Malheureusement les prisons de l’incompréhension, de l’amertume, de la culpabilité retiennent trop de gens captifs. Il est temps de quitter ces lieux fermés pour entrer dans le temps du changement radical. Quittez la prison de la pitié de soi qui fait de vous un captif, sortez et entrez à l’école de Dieu, celle où l’on grandit en maturité.

    Rappelons pour finir une des grandes promesses : le Seigneur déclare toujours être avec les siens, surtout dans la vallée de la solitude et de la souffrance. Que cette promesse devienne notre force. Notre équipe pastorale est avec vous et nous prions pour vous. N’hésitez pas à prendre contact. 

     

     

    Walter Zanzen

    (Source : adoredieu.com)

     

     

     

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    Mon Dieu pourvoira à quelques-uns de vos besoins

     

     

     

    Mon Dieu pourvoira à quelques-uns de vos besoins

     

     

     

     

    Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ. Philippiens 4.19 

     

    Oui, je sais. Ce n’est pas le bon verset. Ce n’est pas : "à quelques-uns de vos besoins" mais plutôt : "Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins."
    Mais, entre nous, nos vies, nos paroles, nos pensées et nos actions ne reflètent-elles pas parfois un Dieu incapable de pourvoir ?

     

    Si vous étiez multimillionnaire et saviez à l’avance que votre enfant aurait un besoin financier urgent et ceci, un jour précis de l’année, je suppose que votre cœur de père, ému de compassion, vous pousserait à mettre l’argent nécessaire de côté pour répondre à ce besoin. Ensuite, vous attendriez la requête de votre enfant pour pouvoir y répondre avec joie !

     

    Tout ce que tu as déjà écrit dans le ciel, écris-le sur la terre maintenant. Surprends-moi !

     

    Dans ce verset, l’auteur parle de la "gloire" et de la "richesse" de notre Père céleste. Il n’a jamais connu le manque et il a déjà provisionné chacune des solutions aux besoins auxquels nous ferons face jusqu’à notre mort : finances, guérisons, joie, relations, etc.

     

    "À chaque jour suffit sa peine", disait Jésus dans Matthieu 6.34. C’est pourquoi je prie ainsi chaque matin : "Papa, aujourd’hui nous sommes le jour/mois/année et tu as déjà écrit dans le ciel pour ce jour la réponse à mes prières. Je déclare que tu vas pourvoir à tous mes besoins selon ta richesse, avec gloire, en Jésus-Christ ton Fils. Je m’attends à voir aujourd’hui : 

     

    • Des provisions divines
    • Des connexions divines
    • Des inspirations divines
    • Des solutions divines
    • Des directions divines 

     

    Tout ce que tu as déjà écrit dans le ciel, écris-le sur la terre maintenant. Surprends-moi !"

     

    Et Dieu me surprend souvent ! J’ai écrit trois livres et récemment, j’étais en rupture de stock de mon livre Les meilleures citations du monde. Deux milles copies ont été vendues et je me demandais comment j’allais bien trouver l’argent pour commander les 1000 copies suivantes.
    Je reçois alors l’appel d’un chef d’entreprise chrétien qui, au courant de ma rupture de stocks, me propose de commander et de payer les 1000 exemplaires, d’en garder 200 pour ses collaborateurs et de m’envoyer le reste. Incroyable, non ?

     

    Oui, Dieu est notre Père, il règne dans le ciel, et il pourvoira toujours aux besoins de ses enfants avec sa créativité infinie !

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Je t’aime, Père. Je te fais confiance à 100% et je crois que tu vas me surprendre aujourd’hui et me donner ceci (citez vos besoins). Selon ta promesse en
    Marc 11.24, tout ce que j’ai demandé par la foi m’a été accordé. Je le verrai donc s’accomplir ! Amen.



    David Nolent
    (Source : TopChrétien)
     

     

     

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