•  

    L'Eternel pourvoira

     

     

     

    L'Eternel pourvoira

     

     

     

    Lecture proposée: Genèse 22.2-14

    Abraham donna à ce lieu le nom de Yahvé-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : À la montagne de l’Éternel il sera pourvu. V. 14

    Mon anxiété s’est accrue au fil de l’été entre mes programmes de premier et de deuxième cycle. J’aime tout planifier, et l’idée de quitter l’État pour amorcer mon deuxième cycle sans emploi m’insécurisait. Par contre, deux jours avant de laisser mon emploi d’été, l’entreprise m’a demandé de continuer de travailler pour elle à distance. J’ai accepté et, en constatant que Dieu prenait un tel soin de moi, la paix m’est revenue.

    Dieu a pourvu à mes besoins, mais en son temps et non le mien. Or, Abraham a affronté une situation bien pire avec son fils Isaac. Dieu lui a demandé de prendre ce fils et d’aller le sacrifier au sommet d’une montagne (GE 22.1,2). Sans hésiter, Abraham lui a obéi en y emmenant Isaac. Ce trajet de trois jours a accordé à Abraham tout le temps nécessaire pour changer d’avis, ce qu’il n’a toutefois pas fait (V. 3,4). 

     

    Père, aide-moi à compter sur toi,
    même s'il me semble que j'attends depuis très longtemps

     

    Lorsque Isaac a interrogé son père, Abraham lui a répondu : « Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste » (V. 8). Je me demande si l’anxiété d’Abraham s’est accrue au fil des nœuds qu’il faisait pour lier Isaac à l’autel et à chaque centimètre qu’il levait plus haut son couteau (V. 9,10). Quel soulagement immense il a dû éprouver lorsque l’ange l’a arrêté net ! (V. 11,12.) Dieu s’est effectivement procuré un sacrifice, un bélier retenu dans un buisson (V. 13). Dieu a testé la foi d’Abraham, qui lui a prouvé sa fidélité. Et au bon moment, à la dernière minute, Dieu a pourvu à son besoin (V. 14).

     

     

     

    Dieu pourvoira en son temps.

     

     

     

    Julie Schwab
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Se consumer

     

     

    Se consumer

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 32 

     

    Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée. V. 3 

     

    Dans son livre intitulé The Call (L’appel), Os Guinness décrit un instant où Winston Churchill, en visite chez des amis dans le sud de la France, s’est assis près du foyer pour se réchauffer par une soirée froide. Le regard fixé sur les flammes, l’ancien premier ministre a vu des bûches de pin « crépiter, siffler et cracher des étincelles en se consumant. Soudain, de sa voix bien connue, il a grommelé : “Je sais pourquoi les bûches crachent. Je sais ce que c’est que de se consumer.” »

     

    Difficultés, désespoir, dangers, détresse et conséquences de nos propres fautes peuvent nous donner à tous l’impression de nous consumer. Il y a des situations qui nous volent notre joie et notre paix. Subissant le contrecoup dévastateur de ses choix impies, David a écrit : « Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée […] ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été » (PS 32.3,4). 

     

    Père céleste, donne-moi aujourd'hui la force de supporter mes difficultés

     

    En ces temps pénibles, vers qui se tourner pour obtenir de l’aide ou de l’espoir ? En réponse à cette question, Paul, dont le ministère était chargé de fardeaux et d’épreuves, a écrit : « Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l’extrémité ; dans la détresse, mais non dans le désespoir ; persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non perdus » (2 CO 4.8,9). 

     

    C’est que, quand nous nous reposons en Jésus, le bon Berger restaure notre âme (PS 23.3) et affermit nos pas. Il promet d’ailleurs de cheminer avec nous jusqu’à la fin (HÉ 13.5).  

     

     

     

    Durant les périodes éprouvantes, Dieu restaure notre âme.

     

     

    Bill Crowder
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Psaumes de camping

     

     

     

    Psaumes de camping

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 8.1-10 

     

    Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Psaume 8.2

     

    Lorsque mon mari et moi allons marcher dans la nature, nous emportons nos appareils photo pour photographier de près les plantes à nos pieds, qui sont comme des microcosmes du monde. Quel trésor de variété et de beauté s’offre à notre vue, même dans la mousse qui fait son apparition du jour au lendemain et qui vient parsemer le sol de touches d’orange, de rouge et de jaune vifs !

     

    Les instantanés de vie qui nous entourent me poussent à lever les yeux vers le Créateur, qui a fait non seulement les champignons, mais aussi les astres célestes. Il a conçu un monde d’une portée et d’une variété infinies. Et il nous a créés, vous et moi, et nous a placés au cœur même de toute cette beauté afin que nous en jouissions et que nous régnions sur elle
    (Ge 1.27-28; Ps 8.6-8).

     

    Ces pensées me ramènent à l’un des «psaumes de camping» préférés de ma famille, à savoir des psaumes que nous lisons ensemble assis autour d’un feu de camp. «Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux. [...] Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créées: Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ?» (Ps 8.1-4.)

     

    Quel bonheur que de savoir que le grand Dieu qui a créé le monde dans toute sa splendeur se préoccupe de vous et moi !

     

     

    Un Dieu capable de tout créer peut veiller sur moi.
    P.Yancey

     

     

    Alyson Kieda
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

    Croyez-vous aux miracles

     

     

     

    Croyez-vous aux miracles

     

     

     

    "Il y avait là, une femme habitée par un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Il posa les mains sur elle ; immédiatement, elle se redressa et se mit à célébrer la gloire de Dieu." Luc 13.11-13

     

    Avez-vous déjà essayé de compter tous les miracles relatés dans la Bible ? Les quatre évangiles en racontent à eux seuls plus de trente différents. Jésus-Christ intervenait de manière particulière pour mettre fin à des situations chaotiques là où humainement, il n’y avait plus rien à faire.

     

    Cela est bien le cas pour cette pauvre femme de notre introduction, qui vit dans la souffrance depuis dix-huit longues années, pliée en deux, incapable de se redresser. Nul doute que cette infirmité l'avait profondément usée et fragilisée sur le plan psychologique. Mais Jésus croise son chemin et s’arrête. Il ne faut rien de moins qu'un miracle pour relever cette femme et il va l’accomplir. En un instant, il la remet debout, et une nouvelle vie commence pour elle. Toute heureuse, elle se met à célébrer la gloire de Dieu !

     

    David a écrit : "Que de merveilles tu as réalisées, Seigneur mon Dieu ! Tu n’as pas ton pareil. Et que de projets en notre faveur ! Il y en a trop pour que je puisse tout raconter, tout dire." (Psaume 40.6)

     

    Croyez-vous aux miracles ? Êtes-vous dans une situation qui vous semble irréversible ? Un homme qui est né sans bras ni jambes a dit : "Je garde toujours une paire de souliers dans mon placard, car je crois au miracle !" 

     

    Un miracle ne s’explique pas, il se vit et seul Dieu sait quand et comment le déclencher. La bonne nouvelle du jour, c’est que Dieu ne fait pas de favoritisme. (Romains 2.11) Alors, je crois qu’il n’est pas insensible à votre besoin et qu’il vous réserve un miracle particulier ! Aussi, ne désespérez pas ! Gardez dans le coin de votre cœur une dimension de foi pour le miraculeux !  

     

    Une proclamation pour aujourd'hui :
    Père, merci pour le miracle que tu vas accomplir dans ma vie !  Amen.

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    De la valeur pour Dieu (1 et 2)

     

     

     

    De la valeur pour Dieu (1)

     

     

    Depuis que tu es devenu précieux à mes yeux, tu as été glorieux, et moi, je t'ai aimé. Ésaïe 43. 4

    Que le méchant abandonne sa voie, et l'homme inique, ses pensées, et qu'il retourne à l'Éternel, et il aura compassion de lui, – et à notre Dieu, car il pardonne abondamment. Ésaïe 55. 7

     

    Notre société nous pousse en permanence à faire nos preuves ; nous sommes sans cesse évalués, à l'école, au travail. On vante la performance, qu'elle soit sportive, artistique, industrielle… Une vie “réussie” se mesure souvent à la carrière professionnelle ou au statut social. Selon cette échelle de valeurs, nous serons considérés comme “étant quelqu'un” ou non. Mais alors, si nous sommes confrontés aux déchirements de la vie – chômage, maladie, divorce… – nous ne sommes “plus personne” ?

     

    La bonne nouvelle de l'évangile, c'est que nous n'avons pas à faire quoi que ce soit pour “être quelqu'un”, mais simplement à croire. Dieu nous aime sans aucune condition. Il dit à chacun : “Tu as de la valeur à mes yeux ! ” L'amour de Dieu n'est pas du même ordre que nos sentiments humains, qui peuvent s'affaiblir, s'éteindre, voire se changer en haine. Il s'agit au contraire d'un accueil, d'une fidélité inébranlables.

     

    Dans l'évangile, Jésus raconte l'histoire d'un jeune homme qui demande à son père sa part d'héritage et s'en va dans un pays lointain où il gaspille tout, en vivant dans la débauche. Puis il regrette son choix et retourne chez son père. Avant même qu'il ait pu dire quoi que soit, celui-ci se précipite vers lui et le serre dans ses bras : pas un reproche, pas une punition (Luc 15. 11-32).

     

    Ce récit illustre l'amour de Dieu pour nous : un amour qui ne dépend pas de ce que nous faisons ou ne faisons pas. Dieu est ainsi : il aime et il pardonne, sans relâche.

     

     

     

     

     

    De la valeur pour Dieu (2)

     

     

    Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis ; et sa grâce envers moi n'a pas été vaine ; au contraire, j'ai travaillé beaucoup plus qu'eux tous, non pas moi toutefois, mais la grâce de Dieu qui est avec moi. 1 Corinthiens 15. 10

     

    Nous avons vu hier comment l'amour de Dieu confère à celui qui croit une valeur inestimable. À cause de cet amour de Dieu, nous n'avons pas à craindre le regard des autres. Nous n'avons pas non plus à désespérer de nos échecs ; nous pouvons nous relever, repartir, parce que Dieu est fidèle. Parce que l'amour de Dieu est premier, nous n'avons pas à chercher à le gagner par des actes religieux ou de bonnes actions. C'est cela le salut par “la grâce seule”.

     

    En conséquence, lorsque nous recevons cet amour inouï, non mérité, celui-ci nous conduit à aimer à notre tour : nous aimons Dieu et notre prochain parce qu'il nous a aimés le premier (1 Jean 4. 19).

     

    Ainsi la grâce de Dieu nous pousse et nous donne une vie nouvelle. Nous surmontons nos peurs, et nous faisons l'expérience de la véritable liberté, celle d'être libérés… de l'obsession de faire nos preuves, de l'angoisse de ne pas être à la hauteur, de cette surenchère qui nous oblige sans cesse à la performance… Croire Dieu, c'est se laisser envahir par la dynamique de la grâce.

     

    Et aussi, parce que nous savons que nous sommes aimés, nous pouvons “rendre grâces”, c'est-à-dire remercier et louer Dieu pour sa grâce envers nous, en particulier par le culte. Nous ne rendrons évidemment jamais à la mesure de ce que nous avons reçu, mais nous serons toujours plus reconnaissants envers Dieu qui nous conduit et nous accompagne sur le chemin de la vie.

     

     

    Frédéric Rognon

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

    De la valeur pour Dieu (1 et 2)

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Du fond de la fosse

     

     

     

    Du fond de la fosse

     

     

    1 SAMUEL 30.1‑6

    Les psaumes de David nous révèlent qu’il a vécu des moments de solitude intense. Ces périodes ne se comparent toutefois pas au désespoir qu’il a connu quand il s’est trouvé devant Tsiklag, sa ville, en ruines. Cette situation n’était cependant que le point culminant d’une décision qu’il avait prise beaucoup plus tôt.

    Après avoir tenté d’échapper durant des années aux efforts meurtriers de Saül, David s’est lassé. Il avait cru en la promesse divine selon laquelle il deviendrait roi, mais il commençait à en douter. Il a donc suivi le sentier que nous sommes nombreux à emprunter : il s’est mis à raisonner. Sa meilleure option semblait être de chercher refuge chez les Philistins, des ennemis d’Israël (1 S 27.1). Anéanti, David a voulu se soustraire aux griffes de Saül en désobéissant à Dieu. Sa faute était temporaire, mais importante, car il avait cessé de croire que Dieu pouvait lui faire traverser « la vallée de l’ombre de la mort » (Ps 23.4).

    Quelques mois plus tard, quand le futur monarque d’Israël est rentré chez lui, à Tsiklag, la ville avait été incendiée, et les coupables en avaient emmené les femmes et les enfants. Ses hommes, atterrés et furieux, se sont apprêtés à se défouler sur lui. David a alors fait appel à Dieu et a trouvé sa force en lui; sa foi en a été renouvelée (1 S 30.6).

    Au bout du rouleau, nous pouvons être tentés de ne plus nous attendre au Seigneur et de prendre les choses en main. Cependant, notre initiative mène souvent au désastre. Revenons alors à Dieu; il nous indiquera sa volonté, ainsi que la voie à suivre pour nous sortir d’embarras.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Reconnaître son talent, connaître son objectif

     

     

     

    Reconnaître son talent, connaître son objectif

     

     

     

     

    « Ne vous en écartez pas ; sinon, vous vous rallierez à du néant, qui n'apporte ni profit ni délivrance » 1S 12.21 

     

    Pour connaître la réussite dans ce que Dieu vous demande de réaliser, vous devez connaître votre talent et votre objectif. Quand vous êtes au clair et convaincu de ces deux choses, il vous faut ensuite montrer deux qualités : la discipline et la détermination.

     

    Fritz Kreisler, un des plus grands violonistes de tous les temps, les possédait. Dès qu’il se produisait au Carnegie Hall de New York, la foule se pressait pour l’écouter. Mais le chemin vers le succès n’a pas été facile. Durant sa petite enfance, il n’a qu’une envie : jouer du violon. Ses parents lui payent donc des leçons de musique. Mais Fritz ne progresse pas aussi vite que prévu et au bout de quelques années, il laisse tomber les cours. Les années suivantes, à la fac en tant que jeune adulte, il étudie la médecine mais ne termine pas ses études. Il s’engage dans l’armée et ne parvient pas à monter en grade. Il explore d’autres domaines mais échoue à chaque fois. Lorsqu’il réalise que seule la musique lui a réussi, il retourne chez sa professeure et lui dit : « Je veux reprendre le violon. » Elle lui répond : « Très bien, je te reprends comme étudiant à condition que tu acquières la qualité indispensable pour devenir un grand violoniste. Tu dois faire preuve d’une détermination sans faille. »

     

    Voici donc les étapes vers le succès :

    1) Identifier votre talent.
    2) Connaître votre objectif.
    3) Vous consacrer au projet quel que soit le temps qu’il faudra.
    4) Faire confiance à Dieu pour bénir vos efforts.

     

     

    Bob Gass

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

    Faites-vous confiance aux autres

     

     

     

    Faites-vous confiance aux autres

     

     

     

    "Que le Seigneur fasse abonder et déborder votre amour les uns pour les autres." 1 Thessaloniciens 3.12 

     

    La relation entre Adam et Ève est décrite en ces termes : "L'homme et sa femme étaient tous les deux nus et n'en avaient pas honte." (Genèse 2.25) Ils étaient ouverts et transparents l’un pour l’autre parce qu’il n’y avait rien à cacher ni de quoi avoir honte. Le vrai test de confiance dans une relation, c’est la capacité de partager ses secrets, ses luttes, ses peurs enfouies et ses échecs, d’avoir une intimité basée sur l’honnêteté. Il faut du courage pour être honnête avec Dieu, et plus encore pour être honnête l’un avec l’autre.

     

    La guérison divine vous permet de refaire confiance et ne plus vivre dans la peur.

     

    Peut-être avez-vous été tellement blessé(e) dans une relation que vous avez dit : "Je ne ferai plus jamais confiance à personne." C’est que vous n’êtes pas encore guéri(e). Ne plus jamais faire confiance, c’est comme vivre dans une tour d’ivoire. Rien ne peut vous atteindre, mais vous êtes tellement détaché(e) de la vie que vous n’avez plus conscience des gens, des lieux, des dates et des événements. Vous ne parlez que du passé car vous avez cessé de vivre depuis longtemps. Bonne nouvelle ! "Il guérit ceux qui ont le cœur brisé et panse leurs blessures." (Psaume 147.3)

     

    La guérison divine vous permet de reprendre goût à l’existence, refaire confiance et ne plus vivre dans la peur.

     

    Ne vous isolez pas, soyez ouvert(e). Que vous ayez perdu un conjoint, un(e) associé(e) ou un(e) ami(e) intime, vous êtes toujours en vie ! Êtes-vous disposé(e) à vivre, ou allez-vous continuer à ressasser ce que personne, vous y compris, ne peut changer : le passé ?

     

    Certains ont la grâce de bien vivre leur solitude. Si vous êtes de ceux-là, profitez-en ! Sinon, faites confiance à Dieu pour vous faire rencontrer la bonne personne au bon moment.

     

    Un encouragement pour aujourd’hui :
    Que votre amour soit basé sur la confiance !

     

     

     

    Bob Gass
    (Source : TopChrétien)

     

    Faites-vous confiance aux autres

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Le Seigneur ne nous laisse jamais seuls

     

     

     

    Le Seigneur ne nous laisse jamais seuls

     

     

     

    Car j’estime qu’il n’y a point de proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir, qui sera manifestée en nous. Romains 8.18 

     

    Un jour, le Seigneur Jésus viendra nous chercher et nous serons avec Lui pour toujours. Cette pensée n’est-elle pas d’un grand réconfort? Ne sommes-nous pas consolés alors que nous considérons la gloire à venir?

     

    Certainement, le combat de la foi est rude. Sans aucun doute, nous souffrons aujourd’hui de nombreux maux et de diverses angoisses. Seulement, ne perdons pas courage. Ne laissons pas les épreuves ni les difficultés de la vie nous faire renoncer à notre vocation céleste! Prenons de la hauteur, et considérons que tout cela n’est que pour quelques jours. Une éternité bienheureuse et du repos seront notre lot auprès de notre Bien-Aimé, auprès de Jésus-Christ! Oui, le salut de notre Dieu, après lequel nous soupirons, est prêt à être révélé! En attendant, faisons confiance au Seigneur, confions-nous en Sa Parole. Il est certain qu’Il n’abandonnera aucune de Ses brebis en cours de route. C’est Lui qui est notre paix! C’est Lui qui est notre refuge! C’est pourquoi, ne cessons jamais d’espérer en Lui! Qui suit le bon Berger, et écoute Sa voix, ne peut se perdre. C’est une certitude!

     

    Oui, nous pouvons trébucher. Oui, nous pouvons nous égarer. Oui, nous pouvons traverser des périodes de sécheresse et de grandes afflictions. Pour autant, soyons-en convaincus, le Seigneur ne nous laisse jamais seuls! Non, nous ne sommes pas livrés à nous-mêmes en ce monde de douleurs. Véritablement, malgré les souffrances présentes, nous avons vraiment toutes les raisons de nous égayer! Nous avons connu et cru l’amour que Dieu a pour nous. N’est-ce pas formidable? À n’en pas douter, si nous avons foi dans le Nom du Fils de Dieu, notre bonheur présent et éternel sont assurés! L’espérance dont nous nous réjouissons n’est-elle pas glorieuse? Certes, elle surpasse allègrement toutes nos déconvenues du temps présent!

     

    Qui pourra nous en priver ?

     

    (Source : unmessagedamour.fr)

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Ne cédez pas un pouce à la peur

     

     

     

    Ne cédez pas un pouce à la peur

     

     

      

     

    « L'Éternel est pour moi, je ne crains rien » Ps 118.6 

     

    Vous aurez toujours à composer avec la peur, sous une forme ou une autre. Les peurs varient au cours de la vie. Une fois cette idée acceptée, vous arriverez à progresser.

    Jules César, lui, a conquis le monde, mais il avait une peur bleue du tonnerre. Pierre le Grand, l’empereur de Russie pleurait comme un enfant lorsqu’il devait traverser un pont. L’écrivain anglais Samuel Johnson n’entrait jamais dans une pièce le pied gauche en avant. S’il se trompait, il faisait demi
    tour et avançait d’abord le pied droit. Vous parlez d’une lubie !

     

    Si vous laissez la peur vous diriger, vous ne pourrez pas vivre pleinement votre vie. La crainte engendre l’inaction, ce qui produit un manque d’expérience qui génère l’ignorance qui produit la crainte.

     

    Si vous êtes pris(e) dans cet engrenage, voici quelques versets de l’Écriture susceptibles de vous aider.

    1) « À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi » (
    Esa 26.3).

    2) « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas » (Jn 14.27).

    3) « Quand l’Éternel est favorable aux voies d’un homme, il dispose même ses ennemis à la paix avec lui » (
    Pr 16.7).

    4) « En Dieu je me confie, je ne crains rien ; que peuvent me faire des hommes ? » (
    Ps 56.4).

    5) « Ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse » (
    2Ti 1.7). Mettez ces versets dans vos prières, appuyezvous dessus, et ne cédez pas un pouce à la peur.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Tout ce qu'il vous faut est dans la Bible

     

     

     

    Tout ce qu'il vous faut est dans la Bible

     

     

     

     

    « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres » Jn 8.36 

     

    On conseille parfois aux nouveaux croyants de purifier leurs actes, mais sans expliquer comment ! Jésus a dit : « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres ». La clé de la victoire n’est pas de faire preuve de volonté, mais de se servir de la puissance de Dieu.

     

    Paul écrit : « Marchez par l’Esprit, et vous n’accomplirez point les désirs de la chair » (Ga 5.16). Le changement durable vient de l’intérieur. Votre plus grand combat concernera toujours vos pensées et vos réactions. Si Satan arrive à détourner vos pensées de la Parole pour les fixer sur la chair, il vous fera à chaque fois pencher vers le péché et la défaite.

     

    Comprenez bien ceci : la Bible est le langage de l’Esprit de Dieu. Quand vous la lisez et la méditez, vous permettez au SaintEsprit de vous parler, ce qui vous aide à contrôler votre chair.

     

    Mais lorsque vous cédez à de mauvaises pensées, vous parlez le langage de l’Ennemi et vous le laissez vous manipuler. Revenez à la Parole de Dieu. Elle est « l’épée de l’Esprit », la seule arme assez tranchante pour vous libérer des liens du péché.

     

    Pierre dit : « Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu. Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise » (2P 1.3–4).

     

    Tout ce qu’il vous faut est dans la Bible.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique