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    Optez pour le regard de Dieu

     

     

     

    Optez pour le regard de Dieu

     

     

     

     

    "Nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu." Romains 8.28 

     

    Connaissez-vous l’histoire de Nick Vujicic ? (voir une vidéo de présentation ici)

     

    Nick est un homme remarquable, mais qui n’a pas toujours eu une vie facile. En effet, étant né sans bras ni jambes, Nick est passé par bien des souffrances et des épreuves au cours de sa vie, à tel point qu’il a voulu, plus jeune, mettre fin à ses jours.

     

    Quoi qu’il vous arrive, Dieu fait tout concourir à votre bien.

     

    Ce qui l’a sauvé, c’est un changement d’attitude : un jour, il a décidé de vivre la vie épanouie qu’il vit toujours aujourd'hui… En effet, Nick a choisi d’opter pour le regard de Dieu sur ses circonstances.

     

    Nick ne s’est pas arrêté à ce qu’il voyait : 

     

    • Une vie de défaite
    • Un fardeau trop lourd à porter
    • Un handicap terrible
    • Etc.

     

    Non ! Il a décidé de regarder sa situation avec les yeux de Dieu. 

     

    Nick aime particulièrement ce verset de Paul aux Romains 8.28 : "Nous savons que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu."

     

    Il a notamment pu dire : « Ce verset m'a touché au cœur, au point que je suis maintenant convaincu que ces choses "désagréables" ne se trouvent pas par malchance, par hasard ou par coïncidence dans nos vies. J'ai ressenti une paix complète lorsque j'ai compris que Dieu ne laisserait rien m'arriver dans la vie sans une bonne raison. »

     

    Vous aussi vous pouvez ressentir cette paix, et savoir que tout est entre les mains de Dieu. Et que, quoi qu’il vous arrive, il fait tout concourir à votre bien.

     

    Un engagement pour aujourd'hui :
    Seigneur Jésus, je m’engage à ne pas focaliser sur les circonstances, à ne pas me laisser influencer par ce que je vois ou ressens, mais à croire en tout temps que tu fais tout concourir à mon bien. Amen.

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Rien en vain

     

     

     

    Rien en vain

     

     

     

     

     [Votre] travail ne sera pas vain dans le Seigneur. 1 Corinthiens 15.58

     

    Après avoir combattu le découragement et la dépression pendant près de trois ans à cause de ma mobilité réduite et de mes douleurs chroniques, je me suis confiée à une amie «Mon corps tombe en morceaux. J’ai le sentiment de ne rien avoir à offrir de valeur à Dieu ou à qui que ce soit d’autre.»

     

    Après avoir posé sa main sur la mienne, elle a ajouté: «Dirais-tu que ça ne change rien que je t’accueille avec le sourire ou que je t’écoute ? Selon toi, est-ce en vain que je prie pour toi ou que je t’offre une parole gentille ?»

     

    Après m’être adossée, je lui ai répondu «Bien sûr que non.»

     

    En sourcillant, elle m’a répliqué «Pourquoi alors te dis-tu ces mensonges ? Tu fais toi-même toutes ces choses pour moi et pour d’autres.»

     

    Du coup, j’ai remercié Dieu de m’avoir ainsi rappelé que rien de ce que nous faisons pour lui n’est inutile.

     

    Dans 1 Corinthiens 15, Paul nous assure que, même si notre corps est faible pour l’instant,
    «il [ressuscitera] plein de force» en Christ (v. 43). Selon cette promesse, nous pouvons croire qu’il utilisera chaque offrande, chaque petit geste fait pour lui, à l’avancement de son royaume (v. 58).

     

    Malgré nos limites physiques, nous pouvons œuvrer auprès des membres diversifiés et interdépendants du corps de Christ au moyen d’un sourire, d’une parole encourageante, d’une prière ou d’une expression de foi malgré notre situation éprouvante. Au service de Dieu, aucune tâche ni aucun geste d’amour ne saurait être trop infime pour compter.

     

    Faites avec ce que vous avez et laissez les résultats à Dieu.

     

     

     

    Xochitl Dixon
    (Source : Notre Pain Quotidien) 

     

     

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    Fais-moi confiance

     

     

     

    Fais-moi confiance

     

     

     

     

    Lecture proposée : 1 Rois 17.7-16 

    Ne vous inquiétez donc pas du lendemain. Matthieu 6.34 

     

    Après avoir obtenu mon diplôme universitaire, j’occupais un emploi mal rémunéré. Mon budget était serré, et il m’arrivait parfois de ne plus avoir de quoi payer mon repas suivant. J’ai alors appris à compter sur la générosité quotidienne de Dieu.

     

    Cela m’a rappelé le vécu du prophète Élie. Au cours de son ministère prophétique, il a appris à compter sur Dieu pour répondre à ses besoins de chaque jour. Peu après qu’Élie a prononcé le jugement de Dieu relatif à une sécheresse en Israël, le Seigneur l’a envoyé dans un lieu désert traversé par le torrent de Kerith, où il s’est servi de corbeaux pour apporter à Élie de quoi manger et de l’eau pour se rafraîchir (1 R 17.1‑4).

     

    Père fidèle, merci de savoir précisément ce dont nous avons besoin
    avant même que nous avons à te le demander

     

    La sécheresse a alors sévi, réduisant ce torrent en ruisselet, puis en simple filet d’eau. Ce n’est qu’une fois que le torrent s’est complètement asséché que Dieu a dit à Élie : « Lève‑toi, va à Sarepta […] j’y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir » (V. 9). Sarepta était située en Phénicie, dont les habitants étaient les ennemis des Israélites. Quelqu’un allait‑il donc y offrir le gîte à Élie ? Et une pauvre veuve aurait‑elle de quoi le nourrir ?

     

    Pour la plupart, nous préférerions que Dieu nous procure en abondance ce dont nous avons besoin bien avant que nos ressources se résument au strict nécessaire à notre subsistance quotidienne. Notre Père bienveillant nous murmure toutefois : Fais‑moi confiance. Comme le prouve l’histoire d’Élie, rien ne lui est impossible.

     

     

     

    Dieu pourvoit à tous nos besoins, un jour à la fois.

     

     

    Poh Fang Chia

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    Fais-moi confiance

     

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    Votre Dieu est-il grand ?

     

     

     

    Votre Dieu est-il grand ?

     

     

     

     

     

    « La bataille appartient à l'Éternel, et il vous livre entre nos mains » 1S 17.47 

     

    Si votre foi en Dieu est trop faible :

    1) vous êtes en angoisse permanente car vous pensez que tout repose sur vous.

    2) votre vision est troublée par les critiques.

    3) vous êtes esclave de l’opinion des gens.

    4) vous cherchez une approbation car vous ne comprenez pas ceci : « Ton Père, qui voit ce que tu fais en secret, te récompensera » (
    Mt 6.4).

     

    John Ortberg dit : « Si l’on commet l’erreur de réduire Dieu, on prie sans foi, on travaille sans passion, on sert sans joie et on souffre sans espoir. Alors on a peur, on recule, on perd sa vision et on abandonne. »

     

    Lorsque Goliath a menacé les Israélites, « ils furent terrifiés et saisis d’une grande crainte » (1S 17.11). Ils ne croyaient pas leur Dieu assez grand pour agir. David, si ! « Que personne ne se décourage à cause de ce Philistin ! […] L’Éternel, qui m’a délivré de la griffe du lion et de la patte de l’ours, me délivrera aussi de la main de ce Philistin » (1S 17.32, 37).

     

    Vous pouvez tout affronter si vous avez la même certitude que David : « La bataille appartient à l’Éternel ! » Et depuis il n’en a perdu aucune !

     

    Vous n’avez pas à dépendre de vos propres ressources. David devait se sentir trop petit, mais il savait Dieu assez grand. En avezvous conscience ?

     

    John Newton, prêtre anglican du 18ème siècle, a dit : « Si Dieu est avec nous, nous n’avons aucune raison d’avoir peur. Ses yeux nous voient, ses bras nous entourent, ses oreilles écoutent nos prières, sa grâce est suffisante et ses promesses immuables ! » Tout dépend de la grandeur de votre Dieu !

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Les tentations sont-elles inutiles (1)

     

     

     

    Les tentations sont-elles inutiles (1)

     

     

    “Heureux l’homme qui endure la tentation… car il recevra la couronne de vie…” Jc 1. 12

    Si Jésus a dû affronter la tentation, il est logique de penser que chacun d’entre nous doive, au cours de sa vie, lutter contre diverses tentations. Certains s’imaginent qu’une foi plus grande et une maturité plus solide leur éviteront de subir la tentation. Mais c’est le contraire qui est est vrai. La Bible nous dit clairement que notre marche de chrétien consiste en une longue traversée d’un champ de bataille. Paul affirme : “Ce n’est pas à l’homme que nous sommes affrontés, mais aux Autorités, aux Pouvoirs, aux Dominateurs de ce monde de ténèbres, aux esprits du mal qui sont dans les cieux” (Ep 6. 12). La tentation augmentera à mesure que vous vous rapprocherez de Dieu. Car le but de Satan est de nous faire tomber, à défaut de pouvoir nous ravir notre salut. Pour cela, il fera tout pour nous faire croire qu’il n’est pas le tentateur et que nous souffrons les conséquences de nos propres faiblesses. Il nous rendra responsables de nos attirances, comme si nous avions déjà péché. N’oubliez jamais que Satan est le mensonge personnifié. La Bible dit de Jésus qu’Il était sans péché. Pourtant Il fut tenté de manière persistante et cruelle. La tentation n’est donc pas un péché. S’y abandonner en est un. Joseph s’est enfui loin de la femme de Potiphar pour ne pas céder à ses avances. Souvenez-vous que vous ne serez jamais condamné par Dieu : “Il n’y a donc, maintenant, plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ” (Rm 8. 1). Satan est l’accusateur, pas Jésus. Paradoxalement, la tentation portera des fruits dans votre vie si elle vous pousse dans les bras de Jésus, car “du fait qu’Il a souffert Lui-même quand Il fut tenté, Il peut secourir ceux qui sont tentés” (He 2. 18). Si vous êtes tenté, tournez-vous vers Jésus, et réconfortez-vous en sachant que “Dieu est fidèle et ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais avec la tentation, Il donnera aussi le moyen d’en sortir, pour que vous puissiez la supporter” (1 Co. 10.13).

     

     

     

    Les tentations sont-elles inutiles (2)

     

     

    “Qu’est-il écrit dans la Loi ? Comment lis-tu ?” Lc 10.26

    La tentation n’est pas inutile, ni une perte de temps. C’est à travers les quarante jours de tentation au désert que Jésus a prouvé Son obéissance à la volonté de Son Père. Jacques déclare : “Considérez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves que vous pouvez rencontrer, sachant que l’épreuve de votre foi produit l’endurance. Or il faut que l’endurance accomplisse son œuvre pour que vous soyez accomplis et parfaits à tous égards” (Jc 1. 2-4). C’est à travers l’épreuve de la tentation que Dieu développe notre maturité. Aucune victoire ne s’obtient sans persévérance et endurance. Pierre renchérit : “C’est pourquoi vous êtes remplis de joie, même si toutes sortes de difficultés doivent vous rendre tristes pendant un peu de temps. Ces difficultés servent à montrer la qualité de votre foi. L’or peut s’abîmer, pourtant on le met dans le feu, pour voir s’il est pur. C’est pareil pour votre foi. Elle est plus précieuse que l’or, mais elle aussi est mise à l’épreuve. Alors, quand Jésus-Christ paraîtra, vous recevrez honneur, louange et gloire, à cause de la qualité de votre foi” (1 P 1. 6-7). Apprenez à reconnaître l’origine de toute tentation et vous serez mieux préparé à l’affronter quand elle surviendra. Jésus n’a pas attendu de faire face à Satan pour apprendre des Ecritures comment contrecarrer ses arguments. Faites de même. Et si le jour venu vous vous sentez sans force pour résister à la tentation, les armes que vous aurez accumulées dans votre esprit vous per- mettront de résister victorieusement. Jésus a résumé en deux mots le meilleur moyen de résister à la tentation : “Veillez et priez, afin de ne pas entrer dans l’épreuve…” (Mt 26. 41). En d’autres termes : préparez-vous à résister, et rapprochez-vous de Lui.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Regarder vers le ciel

     

     

    Regarder vers le ciel

     

     

     

    « Regarde vers le ciel, et compte les étoiles, si tu peux les compter… Telle sera ta postérité. » (Genèse 15.5).

    Alors qu’Abraham reproche à Dieu de ne pas lui avoir donné de postérité (verset 3), Dieu l’invite à ne pas regarder à l’impossibilité physique d’avoir des enfants (impossibilité due autant à l’âge de Sara – quatre-vingt-dix ans – qu’à l’âge d’Abraham – cent ans -), mais à regarder vers le ciel !
    Pas très réaliste comme conseil, me direz-vous ! En effet, mais c’est le conseil de Dieu !

    Il est des situations dans la vie où la réalité des choses nous renvoie un message désespérant. Les mots qui nous viennent à l’esprit, lorsque nous regardons aux montagnes de difficultés, sont : « Il n’y a pas d’issue, il n’y a rien à faire, c’est sans espoir… » Peut-être est-ce votre situation en ce moment !
    Vous êtes comme les Israélites devant la mer rouge ! Le désert à droite et à gauche, l’ennemi qui arrive par l’arrière et la mer infranchissable devant vous ! Il n’y a pas d’issue ! Mais la Parole de Dieu est envoyée à ce peuple terrorisé : « Regardez la délivrance que l’Éternel va vous accorder en ce jour. » (Exode 14.13) Regarder vers le ciel, c’est regarder à Dieu et compter sur son intervention !

    Nous retrouvons cette situation où l’impossible humain devient une opportunité pour Dieu dans le récit de la multiplication des pains. Il était impossible de nourrir une foule immense de cinq mille hommes avec seulement cinq pains et deux poissons. Mais il est écrit : « Jésus levant les yeux au ciel, rendit grâce… Tous mangèrent et furent rassasiés. » (Marc 6.41/42). Jésus a regardé vers le ciel, il a prié, et l’impossible est devenu possible !
    De même, devant le tombeau de Lazare, Jésus pria en levant les yeux en haut (Jean 11.41), et Lazare sortit vivant du tombeau !
    Regarder vers le ciel, c’est s’attendre au miracle.

    La Bible nous rapporte encore l’histoire de ce grand monarque nommé Nébucadnetsar qui plongé dans la folie a levé les yeux vers le ciel : « Je levai les yeux vers le ciel, et la raison me revint. J’ai béni le Très Haut, j’ai loué et glorifié celui qui vit éternellement, celui dont la domination est une domination éternelle, et dont le règne subsiste de génération en génération. » (Daniel 4.34). Voilà diverses situations désespérées, mentionnées dans la Bible, où la solution est venue d’en haut, du père des lumières, celui qui dit et la chose arrive.

    Un conseil pour ce jour :
    Trouvez dans ces exemples la voie à suivre. Priez en tournant vos regards vers le Seigneur, levez vos yeux au-delà de vos difficultés, ne laissez pas le contexte difficile dans lequel vous êtes, engloutir votre espoir ; regardez vers le ciel, et attendez-vous au miracle de Dieu.

     

     

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

    Regarder vers le ciel

     

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    Vous passerez cette tempête

     

     

     

    Vous passerez cette tempête

     

     

     

    « La tempête se maintenait si forte que nous avions perdu finalement toute espérance d'être sauvés » Ac 27.20

    Certains jours, Dieu semble bien lointain. On prie mais on se sent abandonné, à la merci des événements, effrayé et désespéré. Paul n’était pas différent. Impatient de prêcher à Rome, il est en route lorsqu’un ouragan frappe son navire, plongeant tout le monde dans le désespoir. Paul redoute non seulement la perte du navire, de l’équipage et de la cargaison, mais il craint aussi de perdre sa propre vie (voir v.10). Le capitaine, le pilote, et le centurion qui le garde, tous négligent son avertissement. En conséquence, Paul et 276 autres passagers sont en danger de mort, et il ne peut rien faire. Terrifiés, lui et ses compagnons déclarent : « Nous avions perdu finalement toute espérance d’être sauvés ».

    Après quatorze jours de mer sans soleil ni étoiles pour les guider et au plus fort de l’ouragan, Dieu envoie un ange à Paul : « Sois sans crainte, Paul ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici que Dieu t’accorde la grâce de tous ceux qui naviguent avec toi » (v.24). Ils sont transis de froid, trempés et affamés lorsque leur navire s’échoue finalement sur une île au sud de l’Italie. Tous les événements annonçaient le drame et la fin des espoirs de Paul. Mais lorsque le soleil se lève sur l’île de Malte le lendemain matin, il devient clair que Dieu les a pilotés pendant la tempête jusqu’à la destination exacte qu’il a planifiée pour eux. Et Paul a fini par annoncer la Parole de Dieu devant César à Rome. Alors, prenez courage, vous passerez cette tempête !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Restez dans la course avec Jésus

     

     

     

    Restez dans la course avec Jésus

     

     

     

     

    « Courons […] les yeux fixés sur Jésus » Hé 12.1 

     

    Glenn Cunningham, né en 1909 dans une ferme du Kansas, est scolarisé dans une classe unique. Lui et son frère sont chargés d’entretenir le feu dans le poêle de l’école. Un matin, alors que les garçons versent du kérosène sur les braises pour rallumer le feu avant le début des cours, le poêle explose. Glenn se précipite vers la porte, puis il réalise que son frère est resté inconscient sur le sol. Il revient sur ses pas pour lui porter secours, au prix de terribles brûlures. Finalement son frère décède et Glenn, 8 ans, est hospitalisé dans un état grave.

     

    Ses rêves de course à pied semblent s’être envolés. Les médecins pensent qu’il ne remarchera jamais et veulent l’amputer, mais devant le désespoir de l’enfant, ses parents refusent. Après une longue et pénible rééducation, à 27 ans, Glenn Cunningham remportera la médaille d’argent du 1 500 m aux Jeux Olympiques de Berlin. Pardelà les découragements et les déceptions, il établira trois records du monde dans sa carrière. Selon lui, c’est de penser à son frère qui lui a permis de continuer à courir.

     

    Si vous vous sentez découragé(e), prêt(e) à abandonner, pensez à Jésus : « Courons résolument la course qui nous est proposée. Gardons les yeux fixés sur Jésus […]. Il a accepté de mourir sur la croix, sans tenir compte de la honte attachée à une telle mort, parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée ; et maintenant il siège à la droite du trône de Dieu. Pensez à lui […] ainsi, vous ne vous laisserez pas abattre, vous ne vous découragerez pas » (v.1–3).

     

     

    Bob Gass

     

     

    Restez dans la course avec Jésus

     

     

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    Appréciez chaque saison de votre vie !

     

     

     

    Appréciez chaque saison de votre vie !

     

     

     

     

    « [L’arbre] produit ses fruits quand la saison est venue » Ps 1.3, BFC

    Votre vie se divise en saisons, et pour être fructueuse, il faut que vous reconnaissiez la saison où vous êtes pour en tirer le maximum. Vous pouvez dire qu’une saison se termine lorsque la grâce qui l’accompagne disparaît, et que tout ce qui était gratifiant commence à moins le devenir.

    La Bible dit qu’un homme ou une femme prospère « est comme un arbre planté près d’un cours d’eau : il produit ses fruits quand la saison est venue ». Vous ne serez fructueux qu’à votre saison ! C’est là que viendront bénédictions et réussites. Vous ne pouvez pas simplement choisir votre heure, mais attendre le moment propice. Quand vient la bonne saison, un arbre produit sans effort ce qu’il a en réserve. Vous produirez du fruit si vous êtes conscient(e) de la saison que vous vivez.

    Mais chaque saison a ses lois. Le printemps exige de l’entraînement et de la discipline. C’est là que vous commencez à voir l’objectif de Dieu pour votre vie et que vous vous y préparez. L’été fait mûrir les bourgeons du printemps. Ce que vous avez semé va grandir et se multiplier. En automne, vous n’avez plus la passion de la jeunesse mais la sérénité d’un vétéran chevronné. La sagesse vous fait travailler mieux et moins durement. C’est le moment de préparer l’hiver à venir. L’hiver, vous faites le compte de ce que vous avez accompli, appréciez vos récompenses, transmettez vos consignes et tirez votre révérence. Vous avez combattu le bon combat, gardé la foi et achevé la course (voir 2Ti 4.7). Si vous vous débrouillez bien, chaque saison peut devenir la meilleure de votre vie !

     

     
    Bob Gass

     

     

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    Reprenez votre souffle

     

     

     

    Reprenez votre souffle

     

     

     

    “Jésus leur dit encore : le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat.” Mc 2. 27  

    Quand un athlète termine sa course après avoir épuisé toutes ses ressources, on le voit souvent s’écrouler sur la pelouse, incapable de parler, cherchant seulement à retrouver son souffle. Notre corps a été ainsi créé qu’il doit se reposer après un temps d’efforts intenses, pour retrouver son équilibre et pouvoir respirer à nouveau normalement.

    Saviez-vous que le mot sabbat veut précisément dire “reprendre son souffle” ? Si Dieu a observé un temps de repos, ce n’était certes pas parce qu’Il avait besoin de se reposer, mais Il savait que nous en aurions besoin ! Un jour de repos par semaine nous est nécessaire afin de permettre à notre corps de “reprendre son souffle”.

    Dans l’un de ses livres, l’écrivain John O’Donohue raconte l’histoire d’un explorateur européen en Afrique qui avait retenu les services d’indigènes pour transporter son équipement à travers la jungle. Pendant trois jours il les força à maintenir une allure régulière pour parcourir le plus de terrain possible. Mais le troisième jour, les indigènes refusèrent d’aller plus loin. L’explorateur demanda à l’interprète pourquoi les hommes restaient accroupis sur le sol, refusant d’aller plus loin. L’interprète lui répondit : “Nous avons progressé trop vite jusqu’ici. Nous avons besoin maintenant de rester sur place un certain temps pour permettre à notre esprit de rattraper notre corps.”

    Le repos hebdomadaire nous est nécessaire pour laisser Dieu restaurer nos forces. Ce jour crée une marge dans notre vie, un changement de rythme salutaire à fois physique et spirituel. Sinon nous devenons prisonniers de notre routine, dont nous excluons Dieu. Apprenez à reprendre votre souffle, une fois par semaine !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Où est votre foi ?

     

     

     

    Où est votre foi ?

     

     

     

     

    Lecture proposée : Luc 8. 22-25

    Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu.Philippiens 4. 6

    Confiez-vous en lui en tout temps, répandez votre cœur devant lui : Dieu est notre refuge. Psaume 62. 8

     

    Cette scène de l'évangile, souvent intitulée : “Tempête sur la mer " a inspiré plusieurs peintres célèbres : Jésus et ses disciples sont représentés dans un bateau ballotté en tous sens par la mer démontée. Si l'on y voit Jésus qui se repose et dort paisiblement, les disciples, eux, agrippés aux cordages du bateau, sont dépeints avec des visages inquiets et effrayés par la situation angoissante.

     

    N'est-ce pas une illustration de notre comportement lorsque nous traversons des moments difficiles ? Cette scène nous rappelle aussi que le croyant n'est jamais seul, particulièrement quand il est confronté aux épreuves de la vie. Comme Jésus était près de ses disciples pendant la traversée du lac, il est avec nous. Très proche d'eux, il entend leur détresse et intervient : “Lui, s'étant levé, reprit le vent et les flots agités : ils s'apaisèrent et le calme se fit” (Luc 8. 24). Effrayés, puis apaisés par l'intervention et la présence de leur Maître, les disciples s'entendent dire : «Où est votre foi ? »

     

    Le Seigneur n'a-t-il pas bien souvent à nous poser cette question ? Les plus petits événements, comme les plus importants, sont entre les mains du Dieu qui nous aime. Il désire que ceux qu'il a rachetés ne soient pas craintifs, mais paisibles et convaincus de sa fidélité, même au milieu des tempêtes de la vie. Faisons-lui entièrement confiance, rejetant sur lui tout notre souci, car il prend soin de nous (1 Pierre 5. 7).

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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