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    Que voyez-vous ?

     

     

     

    Que voyez-vous ?

     

     

     

    “Quand il n'y a pas de vision, le peuple est sans frein” Proverbes 29.18

     

    Que voyez-vous pour votre avenir ? Quelle est votre “vision” ? En 1872, Abraham Lincoln a signé l'acte d'émancipation des esclaves, mais cent ans plus tard, les Afro-Américains étaient encore victimes de ségrégation.

    Je rêve qu'un jour, […] tous les enfants de Dieu, ..., pourront se donner la main...

     

    Dans son discours au Mémorial Lincoln en 1963, Martin Luther King exprimait sa vision avec ces mots désormais célèbres : “Je rêve qu'un jour sur les collines rousses de Géorgie les fils d'anciens esclaves et ceux d'anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je rêve qu'un jour, même l'État du Mississippi, un État où brûlent les feux de l'injustice et de l'oppression, sera transformé en une oasis de liberté et de justice. Je rêve que mes quatre petits-enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère. Je rêve qu'un jour, […] tous les enfants de Dieu, les Noirs et les Blancs, les Juifs et les non-Juifs, les Protestants et les Catholiques, pourront se donner la main et chanter les paroles du vieux Negro Spiritual : “Enfin libres, enfin libres, grâce en soit rendue au Dieu tout puissant, nous sommes enfin libres !”.

    La nuit précédant son assassinat à Memphis, il avait dit à son auditoire qu'il avait “vu” la Terre Promise, et que tôt ou tard chacun d'entre eux y entrerait.

    Une pensée pour aujourd'hui :
    Si vous n'avez pas de vision pour votre vie, demandez-en une à Dieu. Et quand il vous la donne, consacrez-y votre existence en croyant que vous allez “voir” son accomplissement !

     

    Bob Gass

     

     

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    Hors des ténèbres

     

     

     

    Hors des ténèbres

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 77.2-16

     

    Ma voix s’élève à Dieu [...] quel dieu est grand comme Dieu ? Psaume 77.2,14

     

    J’ignore dans quelle situation désespérée s’est retrouvé Asaph, l’auteur du Psaume 77, mais j’ai déjà entendu, et émis, des plaintes comparables. Depuis que j’ai perdu ma fille il y a plusieurs années, beaucoup d’autres personnes ayant dû faire le deuil d’un être cher m’ont exprimé leurs sentiments déchirants en disant avoir fait ce qui suit.

     

    Crier à Dieu (v. 2). Étendre les mains vers le ciel (v. 3). Se souvenir de Dieu en entretenant des pensées troublantes à son sujet à cause d’une situation terrible (v. 4). Vivre un trouble qui rend muet (v. 5). Éprouver un sentiment de rejet (v. 8). Craindre que les promesses de Dieu restent inexaucées (v. 9). Redouter un manque de compassion (v. 10).

     

    Un revirement de situation survient toutefois pour Asaph au verset 12, quand il se rappelle les hauts faits de Dieu. Asaph tourne ses pensées vers l’amour de Dieu. Il se remémore les merveilles que Dieu a accomplies, ainsi que le réconfort de sa fidélité et de sa miséricorde divines. Le souvenir de ses prodiges. Sa puissance et sa grandeur. Sa force et sa rédemption.

     

    Le désespoir est réel ici-bas, et les réponses ne viennent pas facilement. Pourtant, dans les ténèbres - tandis que nous nous rappelons la gloire, la majesté, la puissance et l’amour de Dieu -, notre désespoir peut lentement disparaître. À l’instar d’Asaph, remémorons-nous les actes de Dieu, surtout le salut qu’il nous a procuré par Jésus, et retournons là d’où nous venons: nous reposant avec gratitude dans son amour puissant.

     

     

    Le rappel du passé peut mettre de l’espoir dans le présent.

     

     

    Dave Branon
    (Source : Notre Pain Quotidien) 

     

     

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    La parole éternelle de Dieu

     

     

    La parole éternelle de Dieu

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 119.89‑96

    Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Matthieu 24.35

    Au commencement de la Seconde Guerre mondiale, les bombardements aériens ont rasé une grande partie de la ville de Varsovie, en Pologne. Blocs de béton, plomberie cassée et éclats de verre recouvraient cette merveilleuse ville. Au coeur de Varsovie, toutefois, la majeure partie d’un certain édifice endommagé est obstinément restée debout. Il s’agissait des quartiers généraux polonais de la Société biblique britannique et étrangère. On pouvait encore lire sur le mur ayant subsisté : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (MT 24.35).

     

    Jésus a fait cette déclaration dans le but d’encourager ses disciples lorsqu’ils l’ont interrogé au sujet de « la fin du monde » (V. 3). Ses paroles nous encouragent toutefois également au coeur de notre situation actuelle difficile. Nous tenant dans les décombres de nos rêves ayant volé en éclats, nous pouvons quand même trouver l’assurance dans les attributs, la souveraineté et les promesses indestructibles de Dieu.

     

    Le psalmiste a écrit : « À toujours, ô Éternel ! Ta parole subsiste dans les cieux » (PS 119.89). Il ne s’agit cependant pas ici que de la Parole de Dieu, mais aussi de ses attributs mêmes. Voilà qui explique que le psalmiste puisse ajouter : « De génération en génération, ta fidélité subsiste » (V. 90).

     

    Toute situation terrible peut servir à désespérer ou à espérer. Comme Dieu n’abandonne personne à son sort, on peut choisir l’espoir avec certitude, car sa Parole est garante de son amour infaillible.

     

    La Parole immuable de Dieu est digne de confiance.

     

    Dennis Fisher

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    Dansez-vous la valse des regrets ?

     

     

     

     

    Dansez-vous la valse des regrets ? 

     

     

     


    “La fidélité du Seigneur n'est pas épuisée... Sa compassion n'est pas à son terme ; elle se renouvelle chaque matin.” Lamentations 3. 22-23

     

    Une infirmière, spécialiste de soins palliatifs pendant une quarantaine d’années, a écrit un livre sur les expériences qu’elle a connues. La plupart des personnes qu’elle a accompagnées pendant les six à douze semaines avant leur départ lui ont confié les regrets qu’elles avaient concernant leur vie.

    Voici les cinq thèmes les plus courants :
    1- Je n’ai pas vécu la vie que je voulais vivre mais plutôt celle que mes proches voulaient pour moi.
    2- J’ai passé trop de temps à seulement travailler.
    3- Je souhaite avoir pu exprimer mes sentiments plus ouvertement.
    4- Je regrette de n’avoir pas entretenu de meilleures relations avec mes proches ou mes amis.
    5- Je regrette de ne pas avoir choisi plus souvent les occasions d’être heureux.

    Remarquez que rares sont ceux qui ont exprimé des regrets à ne pas avoir saisi les occasions de réussir ou de s’épanouir quand elles étaient à portée de leurs mains. Dansez-vous la valse des regrets ? Vous reconnaissez-vous dans les cinq thèmes exposés ci-dessus ? En fin de compte, à quoi bon pleurer sur le passé ? N’est-ce pas une perte de temps ? Jérémie avait d’excellentes raisons de regretter le passé de sa jeunesse, lui qui, depuis l’âge de dix-sept ans, n’avait connu que la solitude et le rejet.
     

     

    Il savait que Dieu avait abandonné Son peuple et que celui-ci allait être décimé et exilé. Malgré tout il s’écrie : “La fidélité du Seigneur n’est pas épuisée... Sa compassion n’est pas à son terme ; elle se renouvelle chaque matin.” S’il pouvait prier : “Renouvelle notre vie comme autrefois” (Lamentations 5. 21), vous pouvez faire de même. Quelles que soient les raisons de vos regrets, d’autres opportunités peuvent se présenter. Dieu est capable de “renouveler votre vie” ; n’a-t-Il pas déclaré : “ Je vais remplacer ce que vous avez perdu” (Joël 2. 25) ? Si vous vous êtes éloigné de Dieu, recherchez Sa présence et vous Le trouverez. Car “si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice” (1 Jean 1.9). Cessez donc de danser cette valse inutile et prenez exemple sur Paul : “j'oublie ce qui est derrière moi et je m'efforce d'atteindre ce qui est devant moi” (Philippiens 3. 13). 

     

      

     

    Bob Gass 

     

     

     

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    La maison de la miséricorde

     

     

     

    La maison de la miséricorde

     

     

     

     “Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.” Jean 5.2   

    Le nom de ce lieu (Bethesda) signifie ‘maison de la miséricorde'. Elle se trouve, dit la Bible, près de la porte des brebis.

    Ouvrez la porte à Jésus et laissez-le entrer dans la maison de votre vie. 

     
    C'est une maison qui a 5 galeries. En décrivant cet endroit, la Bible nous parle de 5 types de problèmes dans la vie des gens : il y avait là des malades, des infirmes, des aveugles, des paralysés et des impotents. Ils attendaient le mouvement de l'eau.

    En effet, quelque chose de miraculeux se passait de temps en temps à cet endroit. Un ange descendait et agitait l'eau et le premier qui descendait lorsque l'eau était agitée, était guéri. C'était donc un endroit miraculeux. L'eau agitée par l'ange devenait source de guérison physique.

    Aujourd'hui encore, nous rencontrons ces types de problèmes : pour certains, c'est la maladie physique, pour d'autres la dépression, pour d'autres encore des problèmes relationnels ou familiaux…

    Mais Dieu fait des prodiges encore aujourd'hui car Il est un Dieu de miracles.

    La suite du texte nous montre Jésus qui s'approche de cette maison de la miséricorde. Quand il entre à Bethesda, dans la maison de la miséricorde, c'est donc bien plus qu'un ange qui entre. C'est Jésus, c'est Dieu lui-même ! C'est bien plus qu'un mouvement de l'eau, c'est un mouvement de vie, c'est la source de toute vie. C'est la parole de Dieu faite chair. C'est celui au nom duquel tout est soumis dans le ciel et sur la terre. C'est le Seigneur, le Dieu tout-puissant !

    Là, dans la maison de la miséricorde, Jésus voit la souffrance et la douleur de cet homme. Il lui pose donc cette question : “Veux-tu être guéri ?” (Verset 6) La parole de Jésus est pleine d'autorité. Elle retentit sous ces portiques. Elle retentit maintenant en vous.

    À l'instant-même, cet homme est guéri. Pour la première fois depuis toutes ces années, il marche. Il est debout. Il a retrouvé sa vie. La miséricorde a enfin triomphé.

    La maison de la miséricorde, c'est votre vie aussi. Peut-être attendez-vous l'action d'un ange, ou un mouvement de l'eau, mais Jésus veut entrer aujourd'hui dans votre maison. Tout devient possible quand Jésus est là. Il se tient à la porte de votre cœur et il frappe Apocalypse 3.20. La poignée est à l'intérieur. Vous seul pouvez ouvrir la porte.

    Une action pour aujourd'hui :
    Ouvrez la porte à Jésus et laissez-le entrer dans la maison de votre vie. Si vous tournez la poignée, Jésus entre alors dans votre maison, la maison de la miséricorde. C'est comme cela qu'il guérit encore aujourd'hui. Il n'a pas changé. Il est toujours le même.
     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

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    Jusqu’à quand Seigneur ? (1 et 2)

     

     

     

     

    Jusqu’à quand Seigneur ? (1) 

     

     


    “N'abandonnez donc pas votre assurance... Oui, vous avez besoin de persévérance pour accomplir la volonté de Dieu et obtenir ainsi ce qui vous est promis” Hébreux 10. 35-36

    Anne, l’épouse d’Elkanna avait de bonnes raisons de se sentir découragée : “Sa rivale, Pennina, la provoquait pour la pousser à s'irriter de ce que l’Eternel l'avait rendue stérile. Et toutes les années il en allait de même : chaque fois qu'Anne montait à la maison de l'Eternel, Pennina la provoquait de la même manière. Alors elle pleurait et ne mangeait pas” (1 Samuel 1. 5-7). Elle ne pouvait pas avoir d’enfants, sa rivale, l’autre femme d’Elkanna, se moquait d’elle sans cesse et son mari ne comprenait pas sa souffrance ! (v. 8). Elle ne pouvait rien faire d’autre que crier à Dieu. Peut-être vous trouvez-vous dans une situation similaire ? Etes-vous prêt à jeter l’éponge ? Anne était accablée de douleur, elle pleurait au point de ne pas vouloir manger. Elle était mal comprise, persécutée, déçue et frustrée… Mais notez bien qu’elle continuait à prier et à espérer en Dieu: “Pleine d’amertume, elle adressa une prière au Seigneur en pleurant à chaudes larmes” (v. 10). Avant même d’avoir reçu la réponse à ses prières, elle ose envisager l’avenir en promettant de consacrer à Dieu le garçon dont elle implore la naissance ! 

     

    “Eternel, maître de l’univers, si Tu consens à regarder la détresse de Ta servante, si Tu Te souviens de moi, si Tu n'oublies pas Ta servante et lui donnes un fils, je le consacrerai à l'Eternel pour toute la durée de sa vie et le rasoir ne passera pas sur sa tête” (1 Samuel 1. 11). Si vous vous sentez “stérile” aujourd’hui, frustré de vos échecs, en mal d’espoir, ne laissez pas vos états d’âme et vos émotions vous enfermer dans votre prison. La Bible dit : “N’abandonnez donc pas votre assurance, qui est porteuse d’une grande récompense.” (Hébreux 10.35). La récompense que Dieu accorda à Anne dépassa largement son humble prière: elle donna naissance non pas à un seul garçon, Samuel, mais à 7 enfants au total ! Cette femme qui se décrivait ainsi : “Je suis une femme à l’esprit abattu” dans 1 Samuel 2 nous chante un cantique de louange dans lequel transparaissent une joie et une force étonnants. “Mon coeur se réjouit en l'Eternel, ma force a été relevée par l'Eternel” (1 Samuel 2. 1). Sa Parole pour vous aujourd’hui : persévérez ! 

     

     

     

    Jusqu’à quand Seigneur ? (2)

     

    “Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon.” Luc 2.25 

     

    Le trouble dépressif (nous ne parlons pas ici de dépression clinique) est une maladie psychique qui malheureusement peut toucher aussi bien des chrétiens que des non-chrétiens. Dr. Michael Youssef s’est penché là-dessus et l’une de ses conclusions est la suivante : trop de croyants nourrissent des espoirs irréalistes, et se sentent frustrés quand leurs attentes ne se matérialisent pas. Ils attendent trop de leurs églises, de leurs pasteurs, de leurs enfants, de leurs conjoints, et même de leur gouvernement, de l’enseignement dispensé dans les écoles, de leur emploi... etc. Sans sombrer dans le fatalisme, que Dieu condamne car il est l’opposé de la foi, nous devons entretenir des attentes réalistes fondées sur les promesses divines contenues dans Sa Parole. L’exemple de Siméon devrait être une source d’encouragement et d’inspiration. Son attente était simple : avant de mourir il devait voir le Messie. “Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d'Israël, et l'Esprit Saint était sur lui” (Luc 2. 26). Etait-il différent de vous et de moi ? Non, c’était un homme ordinaire qui vivait à Jérusalem, comme un monsieur Dupont vivant à Paris ou ailleurs. Nous ne savons à peu près rien d’autre de lui. 

     

    L’important est ailleurs : il attendait “la consolation d’Israël”, une attente réaliste fondée sur les promesses prophétiques de Dieu. Notez : “il avait été divinement averti par le Saint Esprit qu'il ne mourrait point avant d'avoir vu le Christ du Seigneur” (Luc 2. 27). Autrement dit, il se montrait attentif à la voix du Saint-Esprit . Quand nous recherchons “le plan de paix” et “l’avenir et l’espérance” (Jérémie 29. 11) que le Seigneur veut nous donner, nous devons attendre le coeur serein l’accomplissement de Sa Parole à notre égard. Siméon “le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit : Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta parole” (Luc 2. 28-29). Nous ne savons pas depuis combien de temps Siméon attendait l’accomplissement de la parole que Dieu lui avait transmise. Néanmoins si, comme Siméon, vous basez vos espoirs sur les promesses que Dieu vous a faites à travers Sa Parole, vos attentes seront satisfaites et vous souffrirez moins de troubles dépressifs ! 

     

      

     Bob Gass 

     

     

     

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    La force d’un seul (1 et 2)

     

     

     

    La force d’un seul (1)

     

    « Va avec cette force que tu as, [...] n'est-ce pas moi qui t'envoie ? » Jug 6.14

     

    Issu d’une famille d’idolâtres, Gédéon ne pensait pas avoir un grand avenir. Mais Dieu avait un autre avis. Il lui a dit : « Va avec cette force que tu as, et tu sauveras Israël de la main de Madian ; n’est-ce pas moi qui t’envoie ? » Et Gédéon est devenu pour nous une des plus grandes figures de la Bible. C’est ce qu’on appelle « la force d’un seul ». Doutez-vous qu’une seule personne puisse faire la différence ? Churchill a convaincu l’Angleterre qu’elle pouvait survivre aux bombardements nazis. Lee Iacocca a pris en main Chrysler et sauvé l’entreprise. Florence Nightingale a changé le sort des malades dans les hôpitaux en y instaurant des pratiques d’hygiène encore valables de nos jours. Rosa Parks, une simple femme noire, a renversé deux siècles de discrimination raciale. Mais nul besoin d’être l’Abbé Pierre ou Mère Teresa pour vous démarquer. Votre influence ne sera sans doute pas aussi étendue que la leur, mais vous pouvez très bien croître et prospérer « dans votre jardin ». Henry Wadsworth Longfellow écrit : « Les grands destins nous rappellent à tous combien nous pouvons sublimer notre vie, et nous avançons en laissant derrière nous des empreintes de pas sur le sable du temps ». À l’instar de Gédéon, vous n’avez certainement pas les moyens de changer l’histoire de votre famille ou d’effacer vos erreurs passées. Mais vous pouvez en tirer des leçons, grandir, et préparer un meilleur héritage. Vous ne savez pas par où commencer ? Engagez-vous avec Christ et suivez ses pas

     

     

     

    La force d’un seul (2)

     

    « Je mets aujourd'hui devant toi la vie et le bien » De 30.15

    Dieu a dit à son peuple : « Vois, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Car je te commande aujourd’hui d’aimer l’Éternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies et d’observer ses commandements, ses prescriptions et ses ordonnances, afin que tu vives et que tu multiplies, et que l’Éternel, ton Dieu, te bénisse » (v.15-16). Une seule personne possédant l’amour de Dieu en elle peut déclencher une réaction en chaîne. Lorsque John Wilkes Booth bouleverse la planète en assassinant Lincoln, son frère Edwin est considéré comme un des plus grands acteurs américains. Croyant que sa famille est déshonorée à jamais, il met fin à sa carrière pour se retirer du monde. Mais son héritage à lui ne va pas devenir la mort et le mal, mais la vie et le bien. Quelques années avant l’assassinat de Lincoln, Edwin attend sur le quai d’une gare du New Jersey. Près de lui, un jeune homme trébuche et tombe sur les rails, juste avant l’arrivée d’un train. Sans hésitation, Edwin se penche et sauve le jeune homme en le tirant par le col. L’échange de gratitude est bref, mais Edwin n’imagine pas la portée que va prendre cet épisode. Quelques années plus tard, le Président Ulysses Grant lui adresse une lettre pour le remercier de son héroïsme. Pourquoi ? Parce qu’il avait sauvé Robert Todd Lincoln, le fils d’Abraham. Edwin Booth a emporté cette lettre dans sa tombe, de quoi nous rappeler que nous ne pouvons pas changer notre passé, mais sûrement changer notre avenir. Par la grâce de Dieu, vous changerez le vôtre aussi.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Aujourd'hui, ouvrez les yeux

     

     

    Aujourd'hui, ouvrez les yeux 

     

     

      

     

    "Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi" Psaumes 119.18

     

    Un jour, Élisée et son jeune serviteur se réveillent dans une maison assiégée par une armée de soldats ennemis. Le serviteur panique et demande : "Comment ferons-nous ?" Alors Élisée prie : "Éternel, ouvre ses yeux, je t'en prie, pour qu'il voie" 2 Rois 6.17. Soudain, il voit ses ennemis entourés par une armée d'anges plus grande encore. 

    Demandez à Dieu d'ouvrir vos yeux à toutes les "merveilles" qui vous entourent. 

     
    Sur le chemin d'Emmaüs, Cléopas et ses compagnons ont le cœur brisé parce que Jésus, celui en qui ils avaient placé leurs espoirs, vient d'être crucifié et enseveli. Un étranger sortant de nulle part les rejoint sur leur route, et arrivés chez eux, ils l'invitent à souper. Au moment même où il prie pour bénir le repas, les yeux de Cléopas et de ses amis s'ouvrent pour s'apercevoir que cet étranger n'est autre que Jésus (voir Luc 24.13-35).

    Un homme dans un train de banlieue garde les yeux fixés à la fenêtre et dit : "Merveilleux, tout simplement merveilleux !". Que regarde-t-il ? Des immeubles délabrés et des ordures qui débordent jusque sur l'asphalte ! Après l'avoir entendu prononcer cinq ou six fois "merveilleux", sa voisine lui dit : "Je ne vois pas ce qu'il y a de merveilleux dans tout ça". Ce à quoi l'homme répond : "J'ai été aveugle pendant trente ans. Mais grâce à l'habileté d'un chirurgien, la générosité d'un donneur, et une transplantation de cornée, on m'a fait cadeau de deux yeux neufs. Pour moi, tout ce que je vois est merveilleux".

    Une prière pour aujourd'hui :
    Les plaintes vous rendent aveugle aux bénédictions de Dieu, mais la gratitude vous ouvre les yeux pour pouvoir les apprécier. Aujourd'hui, demandez à Dieu d'ouvrir vos yeux à toutes les "merveilles" qui vous entourent.
     

     

     

    Bob Gass 

     

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    Faire confiance à Dieu

     

     

     

    Faire confiance à Dieu

     

     

     

     

    ROMAINS 4.16‑21

     

    Nous le savons tous très bien, la vie peut être imprévisible et douloureuse. Il arrive qu’en réaction à certaines situations, nous devenions craintifs, découragés et frustrés, et que nous doutions de la fidélité de notre Père.

    Durant ces moments angoissants, nous pouvons nous reposer sur la vérité suivante : Dieu est parfait dans son amour. Selon 1 Jean 1.5 : « Dieu est lumière, et […] il n’y a point en lui de ténèbres. » Tout ce que fait notre Père céleste est juste. S’il est un Dieu d’amour, il est donc impossible qu’il maltraite ses enfants. Par conséquent, nous pouvons être certains que ce qu’il permet est bon et que ses motifs sont purs.

    Jésus nous a démontré son immense amour quand il a offert sa vie sur la croix. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour quelqu’un d’autre (Jn 15.13). Seul un sacrifice parfait pouvait expier notre péché (De 17.1). Christ, l’Agneau sans défaut, a voulu mourir à notre place pour que nous jouissions d’une relation éternelle avec le Père. Si Dieu nous a donné son Fils (le don le plus précieux qu’il ait pu nous offrir) afin de répondre à notre besoin le plus criant, nous pouvons croire qu’il pourvoira à tout ce qui nous concerne.

    Devant des difficultés, souvenons‑nous à quel point Dieu nous aime. Il nous l’a prouvé en offrant son Fils pour qu’il subisse le châtiment de notre péché. Même dans la douleur, nous savons que la main forte et tendre de notre Père nous tient, parce qu’il nous aime.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

    Faire confiance à Dieu

     

     

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    Les mains

     

     

    Les mains 

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 46

     

    Arrêtez, et sachez que je suis Dieu. Psaume 46.11 

     

    Je me rappelle avoir joué à un jeu consistant à tenter d'attraper avec mes dents des pommes flottant sur l'eau, en ayant les mains liées dans le dos. L'expérience s'est avérée frustrante. Ce jeu me rappelle l'importance capitale de nos mains. En effet, on mange avec elles, on salue les gens avec elles et l'on s'en sert pour faire presque tout ce dont l'existence dépend.

     

    Quand je lis Psaume 46.11, je trouve intéressant que Dieu dise ceci «Arrêtez, et sachez que je suis Dieu.» Le mot hébreu rendu par «Arrêtez» signifie «cesser de s'efforcer» ou littéralement «mettre ses mains de chaque côté de son corps». À première vue, ce conseil semble plutôt risqué, étant donné que dans les ennuis, notre instinct nous dicte de garder la situation bien en main à notre avantage. En gros, Dieu dit ici: " Sans les mains ! Laisse-moi régler ton problème et sache avec certitude que le résultat reste entre mes mains.»

     

    Par contre, le fait de savoir quand il convient d'enlever nos mains pour laisser Dieu agir à sa guise risque de nous faire nous sentir vulnérables. Sauf si, pour ainsi dire, Dieu est bel et bien «pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse » (v. 2) et que «L'Éternel des armées est avec nous, le Dieu de Jacob est pour nous une haute retraite» (v. 7). Au cœur des difficultés, nous pouvons compter sur les bons soins de Dieu.

     

    Lorsque nous mettons nos problèmes entre les mains de Dieu,
    il met sa paix dans notre cœur.
     

     

     

     

     
    J.M.S.
    (Source : Note Pain Quotidien)

     

     

     

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    Aujourd’hui et demain

     

     

     

    Aujourd’hui et demain

     

     

     

    "Vous ne savez pas ce que votre vie sera demain ! Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui disparaît ensuite. Vous devriez dire au contraire : Si le Seigneur le veut, nous vivrons et nous ferons ceci ou cela." Jacques 4.14-15 


    La vie souriait à Henry Ford. Malgré une concurrence de plus en plus rude, son entreprise restait numéro un dans la construction automobile.

    Si nous ne connaissons pas l'avenir, Dieu, lui, le connaît.


    Il ne cacha pas sa satisfaction alors qu'il visitait l'exposition Ford à New York en 1928, en compagnie de son fils Edsel et de l'inventeur Thomas Edison. Son nouveau véhicule, le Model A avait été présenté à l'occasion de cette exposition et Henry Ford semblait déborder de confiance. Il déclara : "Tout va pour le mieux et rien ne permet de penser que la prospérité actuelle pourrait ne pas durer."

    Beaucoup d'hommes à l'époque étaient convaincus que leur prospérité ne prendrait jamais fin. Ils ne se doutaient pas que quelques mois plus tard, l'économie mondiale s'effondrerait et que la Grande Dépression viendrait tout bouleverser.

    Nous avons tôt fait d'oublier que notre vie peut basculer du jour au lendemain. Que l'imprévu se produit fréquemment. Que le déroulement des événements nous prend souvent de court.

    Pour beaucoup de personnes, cet élément d'incertitude peut être source d'angoisse, d'inquiétude, de peur. Mais pour les croyants, il est un rappel qu'aucun de nous ne sait ce qui arrivera demain. Que nos vies sont comme "une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui disparaît ensuite". Que nous devons placer notre confiance en Dieu et bâtir notre vie sur lui.

    La Bible nous rappelle que si nous ne connaissons pas l'avenir, Dieu, lui, le connaît. En fait il a annoncé "dès le commencement ce qui vient par la suite" (Ésaïe 46.10).

    Aujourd'hui, refusez de vous laisser envahir par la peur et l'inquiétude en pensant à l'avenir. Placez plutôt votre confiance en Dieu. Ayez foi en lui. Vous pouvez vous reposer sur lui.

    Une prière pour aujourd'hui :
    Père, merci parce que tu connais l'avenir. Je te confie ma vie. Aide-moi à t'être fidèle tout au long de mon existence. Au nom de Jésus. Amen.

     

     

    John Roos
    (Source : TopChrétien)

     

     

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