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    S'approcher de Dieu comme un enfant

     

     

     

    S'approcher de Dieu comme un enfant

     

     

     

     

    « Si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux » Mt 18.3 

     

     

    Matthieu écrit : « Les disciples s’approchèrent de Jésus et dirent : Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ? Alors Jésus appela un petit enfant, […] et dit : […] si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux. C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux » (v.1–3).

     

    Pour faire de grandes choses pour Dieu, vous devez l’approcher avec un cœur d’enfant. Observez bien les petits enfants, ils vous en apprendront beaucoup. Où qu’ils soient, ils trouvent le moyen d’apprécier ce qu’ils font. Ils sont prompts à pardonner. Un instant, ils se disputent pour quelque chose, l’instant suivant, ils jouent heureux ensemble. Ils accordent facilement leur confiance. Ils ne s’inquiètent pas des échéances du crédit, des repas ou de la manière de boucler les fins de mois difficiles, car ils croient aveuglément que vous leur apporterez ce dont ils ont besoin.

     

    Que nous apprend Jésus ?

    1) Avoir une foi simple.
    2) Prier simplement.
    3) Être prompt(e) à se repentir.
    4) Chercher souvent l’aide de Dieu.
    5) Croire en la bonté de notre Père céleste : « Il ne refuse pas le bonheur à ceux qui marchent dans l’intégrité » (
    Ps 84.11).

     

    Enfin, lorsque vous pardonnez aux enfants, ils cessent de se sentir coupables et condamnés. Avec cette simplicité dans votre relation avec Dieu, vous vous verrez grandir spirituellement et l’apprécier plus que jamais. Voilà quel devrait être votre objectif.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Revoir son comportement

     

     

     

    Revoir son comportement

     

     

     

     

     

    « Ayez en vous la pensée qui était en Christ-Jésus » Ph 2.5 

     

    Un instructeur de vol vous dira que l’équilibre de votre avion a besoin d’être régulièrement ajusté ou compensé. Après avoir traversé des turbulences, les instruments sont déréglés et il faut corriger le cap.

     

    Il en va de même dans votre voyage spirituel. Les tempêtes de la vie peuvent vous dérégler. Des « conditions météo » imprévues telles que la maladie, la dépression, le chômage, un divorce, une déception ou un décès sont susceptibles de modifier votre cap et votre stratégie. Votre comportement doit donc être régulièrement revu et réajusté. Qu’en ditesvous ?

     

    Paul écrit : « Ayez en vous la pensée qui était en Christ. » Estce possible ? Oui, à condition d’en faire sa priorité et de s’y tenir chaque jour. Josué a voulu transformer une troupe de râleurs en armée capable de conquérir la Terre Promise. Dieu lui a donc donné la clé du succès : « Ce livre de la loi ne s’éloignera pas de ta bouche ; tu y méditeras jour et nuit pour observer et mettre en pratique tout ce qui y est écrit, car c’est alors que tu mèneras à bien tes entreprises, c’est alors que tu réussiras » (Jos 1.8).

     

    Essayez la technique du « post it ». Trouvez chaque semaine un verset dans la Bible concernant un domaine dans lequel vous voulez croître, notezle sur le « post it » et mémorisezle. À la fin de l’année, vous aurez appris par cœur cinquantedeux versets sur lesquels vous pourrez vous appuyer. Ça change la vie ! Non seulement les mauvais réflexes vont se transformer en bons comportements, mais votre vie ira dans la bonne direction.

     

     

    Bob Gass

     

     

    Revoir son comportement

     

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    Impossible d'oublier ce que mon père a fait ce soir-là

     

     

     

    Impossible d'oublier ce que mon père a fait ce soir-là

     

     

     

    "Car vous savez comment notre Seigneur Jésus-Christ a manifesté sa grâce envers nous : lui qui était riche, il s’est fait pauvre pour vous afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis." 2 Corinthiens 8.9 

     

    Allan Peterson raconte ceci : "J’ai lu l’histoire d’un petit garçon qui était constamment en retard quand il revenait de l’école. Un jour, ses parents l’avertirent qu’il devait être à la maison à temps. Néanmoins, il arriva plus en retard que d’habitude. Sa mère l’attendit à la porte et ne dit rien.

     

    Au dîner, ce soir-là, le garçon regarda son assiette. Il y avait une tranche de pain et un verre d’eau. Il regarda l’assiette pleine de son père, puis il regarda son père, mais celui-ci resta silencieux. Le garçon fut anéanti.

     

    Le père attendit que l’enfant réalise au plus profond de son être les conséquences de sa faute, puis il prit tranquillement l’assiette du garçon pour la placer en face de lui. Ensuite, il prit sa propre assiette remplie de viande et de pommes de terre pour la mettre en face de l’enfant en lui souriant. Ce garçon grandit pour devenir un homme". Aujourd’hui, il dit : "Toute ma vie, j’ai compris comment est Dieu grâce à ce que mon père a fait ce soir-là."

     

    À cause de nos désobéissances répétées, Jésus paie le prix en prenant sur lui notre péché.

      

     

    Le divin échange 

     

    Le mot rédemption vient du grec "apolutrosis" qui signifie une "libération effectuée suite au paiement d’une rançon". Il y a en fait une sorte d’échange ou de rachat. Une personne paie le prix à la place de la personne fautive. La malédiction se transforme en bénédiction.

     

    Dans notre histoire, le petit garçon mérite le morceau de pain et le verre d’eau comme repas, à cause de ses désobéissances répétées. Le père paie le prix en se privant de son délicieux repas, pour le donner à son fils, puis prend en échange son maigre repas.

     

    De même, à cause de nos désobéissances répétées, Jésus paie le prix en se privant de sa gloire, pour nous la donner en prenant sur lui notre misère et notre péché.

     

    Qu’elle est belle et grande la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ : pour vous, il s’est fait pauvre alors qu’il était riche, afin que par sa pauvreté, vous soyez enrichi(e) !

     

    Et si vous preniez quelques minutes pour remercier votre Père pour tout ce qu'il a fait pour vous en Jésus ?

     

    Une prière pour aujourd'hui :
    Père, je te remercie d’avoir envoyé ton fils Jésus afin qu’il paie à ma place la dette de mon péché. Merci pour le pardon de mes fautes d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Amen.

     

     

     

    David Nolent
    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Les veilles de la nuit

     

     

     

    Les veilles de la nuit

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 63.1-9

     

    Lorsque je pense à toi sur ma couche, je médite sur toi pendant les veilles de la nuit. V. 7 

     

    Durant mes études universitaires, je passais mes étés à travailler dans un ranch-hôtel des montagnes du Colorado d’une beauté à couper le souffle. Le personnel se répartissait « les veilles de nuit » obligatoires – afin de protéger les clients durant leur sommeil contre un éventuel feu de forêt. Or, cette tâche qui m’est apparue de prime abord épuisante et ingrate est devenue pour moi une occasion unique de m’arrêter, de réfléchir et de trouver une consolation dans la majestueuse présence de Dieu.

     

    Le roi David a cherché Dieu avec assiduité en ayant très soif de sa présence (PS 63.2), même couché durant « les veilles de la nuit » (V. 7). Ce psaume indique clairement que David était troublé. Il se peut que les paroles qu’il contient reflètent la profonde tristesse que lui causait la rébellion de son fils Absalom. La nuit est néanmoins devenue pour David l’occasion de trouver aide et restauration « à l’ombre de [ses] ailes » (V. 8), à savoir en la puissance et la présence de Dieu.

     

    Dieu précieux, merci de rester éveillé et présent auprès de moi
    durant chaque période d'insomnie

     

    Peut-être vivez-vous une crise ou des difficultés. Vos veilles sont tout sauf réconfortantes ; votre propre « Absalom » vous accable ; votre fardeau familial, professionnel ou financier ne vous accorde aucun répit. Si c’est le cas, profitez de vos instants d’insomnie pour crier et vous cramponner à Dieu, en le laissant vous soutenir de sa droite (V. 9).

     

    Les promesses de Dieu nous encouragent
    lorsque des défis nous tiennent éveillés la nuit.

     

     

     

    evanmorgan

    (Source : Notre Pain Quotdien)

     

    Les veilles de la nuit

     

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    Savoir accepter sa vocation

     

     

     

    Savoir accepter sa vocation

     

     

     

     

    “Il nous a sauvés et nous a adressé une vocation...” 2 Tm 1. 9  

    Si vous existez sur cette terre, c’est pour que votre vie contribue à quelque chose. Dans le royaume de Dieu vous avez une place déterminée, et une fonction précise à assumer : voilà pourquoi votre vie est d’une grande importance.

    Peut-être avez-vous grandi en imaginant que “l’appel à une vocation” ne s’adressait qu’aux prêtres et pasteurs, infirmiers ou médecins. Mais c’est faux ! Quand un nouveau converti chinois rejoint une église, il est accueilli par ces mots : “Jésus a acquis de nouveaux yeux pour voir, de nouvelles oreilles pour entendre, de nouvelles mains pour travailler et un nouveau cœur pour aimer les autres !”

    Imaginez que votre foie décide de prendre une année sabbatique et vous dise : “Je suis fatigué, qu’un autre organe me remplace pendant ce temps”, votre corps serait vite mort !

    Aujourd’hui des milliers d’églises se débattent face à d’insurmontables difficultés simplement parce que tant de chrétiens ne veulent pas servir. Ils veulent rester sur les gradins en spectateurs, acceptant de donner un peu de leur argent, mais surtout pas de leur temps. “Vous êtes le corps de Christ et vous êtes ses membres, chacun dans son rôle” (1 Co 12. 27). Aucun rôle n’est sans importance.

    Certains ministères jouissent de beaucoup de publicité, d’autres non, mais tous sont essentiels. Parfois ceux qui sont les moins visibles ont le plus d’impact. Dans votre maison ce n’est pas le grand lampadaire du salon qui a le plus d’importance, mais la petite veilleuse qui brille dans le noir et vous empêche de vous casser la figure en allant aux toilettes la nuit !

    Chaque ministère a son importance ; chacun dépend des autres pour assumer son rôle dans l’ensemble du corps de Christ.

    Dites-le aujourd’hui : “Ma vie est importante dans le royaume de Dieu. Mon rôle est essentiel, quel qu’il soit !”

     

     

     

    Bob Gass

     

    Savoir accepter sa vocation

     

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    A la poursuite de votre lion (1 à 3)

     

     

     

    A la poursuite de votre lion (1)

     

     

     

    “Benaya… qui, un jour de neige, poursuivit un lion jusque dans une fosse où il le tua” 1 Ch 11.22

    Les lions sont des félins habitués à pourchasser les autres animaux, y compris les humains lorsque l’occasion se présente. Benaya, futur chef des gardes du corps de David, n’avait pas ni fusil ni Land-Rover pour pourchasser les lions, et pourtant, un jour de mauvais temps, il osa en pourchasser un et, quand celui-ci glissa dans une fosse aux bords escarpés, il le suivit pour le tuer. La Bible ne nous dit pas ce que Benaya faisait au moment où il rencontra le lion, ni la raison de cette poursuite peu conventionnelle. Le lion peut courir à près de 60 km/h avec des pointes de 80 km/h. Usain Bolt détient le record absolu de vitesse obtenue par un être humain, avec une pointe à 44,72 km/h ! Benaya n’avait aucune chance de ratraper ce lion sauf si ce dernier commettait l’erreur de glisser sur la neige et de se retrouver prisonnier d’une fosse ! Auriez-vous poursuivi un lion ? Et surtout auriez- vous sauté dans la fosse pour l’affronter ? Les gens normaux ne se comportent pas comme Benaya. Pourquoi Dieu a-t-Il orchestré de telles circonstances ? La réponse nous la lisons plus tard : “David lui confia le commandement de sa garde personnelle” (2 S 23. 23). Dieu transforma une situation désespérée en une victoire décisive. Aujourd’hui encore Dieu produit des situations invraisemblables pour nous offrir la possibilité de découvrir et d’accomplir notre destinée. Les meilleures opportunités sont toujours les plus effrayantes. Un proverbe chinois affirme : “Une crise est une opportunité chevauchant le vent du danger”. Lorsqu’une situation similaire à celle qu’affronta Benaiah se présente à vous, votre réaction initiale dévoilera à quel point vous faites confiance à Dieu. Si vous réfléchissez trop longtemps, vous risquez de vous enfuir par peur d’être dévoré par ce “lion”. Si vous avez appris à Lui faire confiance à travers d’autres situations moins terrifiantes, vous saurez alors affronter votre “lion” avec détermination et persévérance. Et votre courage glorifiera Dieu !


     

    A la poursuite de votre lion (2)

     

     

    “Je suis la voix de celui qui crie dans le désert: rendez droit le chemin du Seigneur…” Jn 1.23

    Les frères Wright furent des pionniers de l’aviation. Leur père, fasciné par le rêve de voir des hommes voler dans l’espace s’était constitué une bibliothèque sur le sujet. L’un de ses livres s’intitulait “L’empire de l’Air, essai d’ornithologie appliquée à l’aviation” de Louis Pierre Mouillard. Des années plus tard Wilbur Wright écrivit une lettre à un institut scientifique dans lequel il exprimait son admiration pour l’auteur français, qui lui semblait être “un prophète criant dans le désert, suppliant le monde de se repentir de son manque de foi dans la possibilité de voir un jour les hommes voler”. Mark Batterson écrit : “J’aime beaucoup cette phrase… De quel manque de foi devez-vous vous repentir ? Vous vous êtes repenti de vos péchés. Mais vous êtes-vous repenti de vos rêves trop étriqués ? La taille de votre rêve est peut-être la meilleure manière de mesurer la taille de votre Dieu !” Voyez-vous Dieu comme infiniment plus grand que tous vos problèmes réunis ? Croyez-vous qu’Il ait “le pouvoir de faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou même imaginons ?” (Ep 3. 20). Si l’accomplissement de votre rêve est à portée de vos mains, ce n’est pas un rêve divin. Si vous n’êtes pas terrifié par votre rêve, il est trop petit ; il n’apportera aucune gloire à Dieu. Quand Joseph dévoila ingénuement ses rêves à ses frères, on peut penser qu’il était naïf. Ne pouvait-il pas imaginer leur réaction ? Mais ces rêves venaient de Dieu et rien ne Lui est impossible. Joseph était peut-être un adolescent imbu de lui-même, mais n’était-il pas aussi “un prophète qui crie dans le désert et exhorte le monde à se repentir de son manque de foi” en la puissance de Dieu ? Avant 1900 un vol humain relevait de la science-fiction. Le 17 décembre 1903, les frères Wright parvinrent à défier la pesanteur et un engin plus lourd que l’air vola pendant 12 secondes. Plus d’un siècle plus tard, à chaque moment de la journée, 5000 avions traversent la troposphère, transportant près d’un million de passagers. Leur rêve est devenu réalité. Et le vôtre ?

     

     

     

    A la poursuite de votre lion (3)

     

     

    “Le Seigneur dit à Gédéon: avec les trois cents hommes qui ont lapé l’eau, Je sauverai Israël…” Jg 7.7

    Dieu intervient souvent au dernier moment, quand nos chances de réussir sont nulles. Quand les difficultés sont devenues impossibles à surmonter, quand les obstacles sont devenus des montagnes infranchissables, Dieu déroule Sa toute-puissance ! Gédéon manquait de courage, n’avait aucune expérience militaire, et encore moins le désir de se frotter avec les armées madianites. Contre toute attente Gédéon réussit l’impossible : unifier les tribus d’Israël et lever une armée de 32 000 hommes. A sa place nous aurions glorifié Dieu puis cherché un manuel de stratégie pour nous familiariser avec la bataille qui allait s’ensuivre. Mais Dieu lui dit que son armée est trop nombreuse pour affronter l’immense armée des Madianites ! Vraiment ? Les Israélites étaient déjà très inférieurs en nombre. Pourquoi Dieu voulait-Il encore réduire leur petite troupe ? Il l’explique : “Les Israélites se vanteraient d’avoir vaincu par leur propre force et s’attribueraient ainsi une gloire qui Me revient” (Jg 7. 2). Un pasteur écrit : “Trop souvent nos prières se résument à demander à Dieu d’augmenter nos chances de réussite et de réduire la taille des obstacles dressés sur notre chemin. Nous Lui demandons de tourner les circonstances en notre faveur. Mais peut-être Dieu veut-Il au contraire réduire nos chances de succès, afin que nous puissions assister à un miracle de proportion vraiment divine. La foi est peut-être de faire confiance à Dieu quand nous n’avons aucune chance de réussir ! Ainsi pourrons-nous découvrir une autre facette de la gloire de Dieu.” Benaya n’avait aucune chance de réussir à tuer un lion d’au moins quatre fois son poids, deux ou trois fois plus rapide et dont les mâchoires étaient capables d’écraser sa boîte crânienne. Mais Dieu lui permit de réussir, ainsi qu’à Gédéon. Et Il peut faire la même chose, quelles que soient les circonstances impossibles qui sont les vôtres aujourd’hui.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Chassez la peur de votre vie

     

     

    Chassez la peur de votre vie

     

     

     

    Il n'y a pas de crainte dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte, car la crainte implique un châtiment, et celui qui craint n'est point parfait dans l'amour. 1 Jean 4.18 

     

    J'aimerais vous parler d'un mot de quatre lettres : la PEUR ! Nous sommes nombreux à nous souvenir de la menace de notre mère, lorsque nous étions enfants, de nous laver la bouche avec du savon lorsque nous disions un gros mot !

     

    Son amour est parfait, même lorsque vous ne l'êtes pas.

     

    Eh bien, si la "peur" est un gros mot de quatre lettres, alors la foi dans l'amour de Dieu est le savon ! Je ne parle pas d'une foi faible et chancelante. Je parle d'une foi puissante dans l'amour inconditionnel, illimité, imperturbable et parfait de Dieu pour nous.

     

    1 Jean 4.18 nous enseigne que le fait de comprendre l'amour de Dieu à notre égard nous libère de nos peurs. Bien entendu, cela ne signifie pas que nous ne ressentirons jamais la peur, mais que la foi en Dieu et son amour nous rendront capables d'agir malgré notre peur s'il le faut.

     

    Dieu veut que vous sachiez qu'il est avec vous. Il vous conduira et vous dirigera, vous pouvez donc placer votre confiance et votre foi en lui ! Souvenez-vous que son amour est parfait, même lorsque vous ne l'êtes pas. Il ne nous aimera pas plus ni moins en fonction de nos erreurs.

     

    N'est-il pas bon de savoir que Dieu vous aime là où vous en êtes ? Cette pensée n'encourage-t-elle pas votre foi et ne diminue-t-elle pas vos craintes ? Vous et moi allons avoir peur de temps en temps. Mais lorsque cela arrivera, nous pourrons nous concentrer à nouveau sur Dieu en sachant qu'il nous conduira dans toutes les situations que nous devrons traverser.

     

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur, seul ton amour peut chasser mes craintes. Je place donc ma foi en toi. Je sais que ta présence est en moi et que tu me conduiras même dans les situations les plus difficiles. Dès aujourd'hui je reçois ton amour. Amen.

     

     

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Quand Dieu est silencieux

     

     

     

    Quand Dieu est silencieux

     

     

     

     

    “Mon Dieu ! je crie le jour, et Tu ne réponds pas...” Ps 22. 2

    Krish Kandiah a écrit : “Pendant la Deuxième Guerre mondiale, un juif a griffonné sur le mur de la cave où il se cachait les mots suivants : Je crois au soleil, même quand il ne brille pas, je crois à l’amour même quand je ne le sens pas, je crois en Dieu, même quand Il se tait.

    Une très belle phrase, certes, mais comment faire briller sa foi dans la nuit sombre de l’âme, comment peut-elle survivre, privée de l’oxygène de la présence de Dieu ?”

    L’histoire d’Esther tourne autour d’un gigantesque meurtre planifié. La menace d’un nettoyage ethnique plane à chaque page, mais avez-vous remarqué que Dieu n’est mentionné à aucun moment de cette histoire ?

    Le livre d’Esther se déroule comme un film avec des héros, des méchants, des petits rôles et des figurants. Le viol est légitimé, des vies sont ruinées, des vengeances personnelles déchirent les personnages.

    Mais la personne la plus importante, le directeur, ne se voit pas. Il est dans l’ombre, occupé à orchestrer les scènes et à les enchaîner jusqu’à la conclusion.

    Dieu est le directeur de notre propre vie. Même si nous Le distinguons à peine, même s’Il ne se fait pas entendre, néanmoins Il orchestre encore aujourd’hui les circonstances que nous traversons. Nous avons parfois besoin de recul pour comprendre le but final.

    Esther a dû souffrir du silence de Dieu pendant les années d’abus qu’elle a traversées, tout comme Joseph a dû se sentir abandonné. David est peut-être celui qui a su le mieux exprimer le désarroi qui nous assaille quand nous n’entendons plus la voix de Dieu : “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? Pourquoi Te tiens-Tu si loin ? Pourquoi ne me sauves-Tu pas ? Pourquoi n'entends-Tu pas mes cris ? Mon Dieu, je crie le jour, et Tu ne réponds pas... Pourtant Tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges...” (Ps 22. 2-4).

    Sa conclusion ? “Vous qui craignez le Seigneur, louez-Le !” (v. 24). La louange serait-elle le cri de notre âme auquel Dieu est le plus sensible ?

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Ne plus fuir

     

     

     

    Ne plus fuir

     

     

    Lecture proposée : Jonas 2.1-11 

     

    Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Éternel, et il m’a exaucé ; du sein du séjour des morts j’ai crié, et tu as entendu ma voix. V. 3 

     

    Le 18 juillet 1983, un capitaine de l’armée de l’air américaine disparaissait d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique, sans laisser de trace. Trente-cinq ans plus tard, les autorités l’ont retrouvé en Californie. Selon The New York Times, « comme son travail le déprimait », il avait simplement pris la fuite.

     

    En cavale pendant trente-cinq ans ! La moitié d’une vie passée à regarder par-dessus son épaule ! J’imagine que cet homme avait eu l’angoisse et la paranoïa pour compagnes de tous les instants.

     

    Seigneur, aide-moi à me rappeler que je peux faire appel à ton secours
    chaque fois que je veux fuir

     

    Je dois cependant avouer que « la fuite » ne m’est pas totalement inconnue. Même si je n’ai jamais fui quoi que ce soit abruptement et physiquement, il m’arrive parfois d’éviter une situation ou de confesser quelque chose que je sais que Dieu veut me voir faire. En ce sens, je fuis moi aussi.

     

    Le prophète Jonas s’est fait mauvaise réputation en fuyant littéralement le mandat que Dieu lui avait donné de prêcher à Ninive (voir JON 1.1-3), mais bien sûr en vain. Vous savez sans doute ce qui s’est alors passé (V. 4,12) : une tempête ; un poisson ; une capture ; et, dans le ventre de la bête, une prise de conscience poussant Jonas à implorer l’aide de Dieu (2.2).

     

    Ce prophète n’était pas parfait, mais je puise du réconfort dans son histoire remarquable du fait que, malgré son entêtement, Dieu n’a jamais renoncé à lui. Il a répondu malgré tout à la prière désespérée de son serviteur récalcitrant en le restaurant par sa grâce (V. 2), comme il le fait aussi pour nous.

     

     

    Faisons appel à Dieu car il nous entendra et nous aidera.

     

     

     

    Adam Holz
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    J'ai vraiment peur

     

     

     

    J'ai vraiment peur


     

    Lecture proposée : Philippiens 4.4-9 

     

    Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Philippiens 4.6

     

    «J’ai vraiment peur.» Voilà le mot émouvant qu’une adolescente a affiché pour ses amis sur Facebook en leur parlant des examens médicaux qu’elle allait devoir passer. Elle risquait d’être hospitalisée et de subir une série d’actes médicaux dans une ville située à trois heures de route de chez elle. Par ailleurs, elle attendait avec angoisse de connaître le diagnostic que lui rendraient les médecins qui s’efforçaient de découvrir la source de ses graves problèmes de santé.

     

    Qui d’entre vous, jeune ou vieux, n’a jamais ressenti de peur similaire devant des événements indésirables vraiment affolants ? Et où trouver alors de l’aide ? Quelle consolation puiser dans la Bible qui nous procure le courage de les surmonter ?

     

    Le fait que Dieu traversera avec nous toute épreuve peut nourrir notre espoir, conformément à Ésaïe 41.13 «Car je suis l’Éternel, ton Dieu, qui fortifie ta droite, qui te dis: Ne crains rien, je viens à ton secours.»

     

    De plus, lorsque nous présentons nos difficultés à Dieu par la prière, il nous offre une paix indescriptible qui gardera notre cœur (Ph 4.6-7).

     

    Grâce à la présence de Dieu, ainsi que sa paix infaillible «qui surpasse toute intelligence»
    (v. 7), nous pouvons trouver l’espoir et l’aide qui nous sont nécessaires pour surmonter les situations qui nous effraient.

     

     

     

    Dieu se tient à nos côtés dans toutes nos épreuves.

     

     

     

    David Branon
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    On peut se détendre ?

     

     

     

    On peut se détendre ?

     

     

     

    Lecture proposée : Jean 14.25-31 

     

    Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point. V. 27 

     

    Darnell est entré dans le cabinet de la physiothérapeute en sachant qu’il y souffrirait beaucoup. Elle lui a étiré et plié le bras comme il ne l’avait plus fait depuis sa blessure vieille de plusieurs mois. Après avoir tenu son bras pendant quelques secondes dans chaque position inconfortable, elle a dit à Darnell : « C’est bon, vous pouvez vous détendre. » À ce sujet, il a déclaré par la suite : « Je crois avoir entendu ça au moins cinquante fois durant chaque séance : ‟C’est bon, vous pouvez vous détendre.” »

     

    En y réfléchissant, Darnell a compris que ces paroles pouvaient s’appliquer aussi au reste de sa vie. Il pouvait se détendre dans la bonté et la fidélité de Dieu plutôt que de céder à l’inquiétude.

     

    Seigneur, aide-moi à compter sur ta fidélité,
    à reconnaître ta présence et à goûter ta paix, à me détendre

     

    À l’approche de sa mort, Jésus savait que ses disciples allaient devoir apprendre cela. Une période de bouleversement et de persécution les guettait. Pour les encourager, Jésus leur a dit qu’il enverrait le Saint-Esprit vivre en eux et leur rappeler ses enseignements (JN 14.26). Cela lui a d’ailleurs permis de dire : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. […] Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point » (V. 27).

     

    Au fil des jours, beaucoup de choses pourraient nous crisper. Reste que nous pouvons en venir à faire de plus en plus confiance à Dieu en nous rappelant que son Esprit vit en nous – et qu’il nous offre sa paix. En puisant dans sa force, nous pouvons l’entendre citer la physiothérapeute : « C’est bon, vous pouvez vous détendre. »

     

    En période stressante, apprenons à se reposer sur Dieu.

      

    Anne Cetas
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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