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    Le remède de Dieu contre la dépression

     

     

     

    Le remède de Dieu contre la dépression

     

     

     

    « Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu sur moi ? » Ps 43.5 

     

    On estime qu’aujourd’hui, en moyenne, les trentenaires sont dix fois plus susceptibles d’être déprimé que leurs parents et vingt fois plus que leurs grands-parents. Et la plupart ne voudront pas se faire aider parce qu’ils s’imaginent seuls responsables de cette faiblesse.

     

    Que les choses soient claires : si vous êtes déprimé(e) à cause d’un déséquilibre de votre métabolisme, un médecin peut vous soigner. Mais si votre affection est d’ordre psychologique et que vous êtes coincé(e) dans un engrenage de tristesse et de désespoir, vous avez besoin de plus pour guérir. Votre situation ne se résoudra pas avec quelques platitudes ou les bons conseils d’un ami. Il vous faut « la sagesse d’en-haut » (Ja 3.17).

     

    Après avoir invoqué le feu du ciel, Élie « s’assit sous un genêt et demanda la mort » (1R 19.4). Heureusement, il avait frappé à la bonne porte. « Un ange le toucha et lui dit : Lève-toi » (v.5). Certes, Dieu ne vous enverra sans doute pas un ange, mais il vous répondra, vous relèvera et vous restaurera.

     

    Le Psalmiste a dit : « Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et gémis-tu sur moi ? Attends-toi à Dieu, car je le célébrerai encore ; il est mon salut et mon Dieu ». David se parle à lui-même parce qu’il a d’abord confié son problème à Dieu, comme vous le faites dans la prière. Puis il a écouté la réponse de Dieu, comme vous le faites en lisant la Bible et en l’appliquant dans votre vie. Cette stratégie fonctionne. Elle a marché pour David et elle marchera pour vous.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Il est mort une fois pour toute

     

     

    Il est mort une fois pour toute

     

     

     

    “Le Christ a été offert en sacrifice une seule fois pour enlever les péchés d’une multitude de gens…” He 9.28  

    Au temps de la conquête de l’Ouest, un père et son fils traversaient une prairie dans un chariot essayant d’échapper à un incendie de broussailles qui gagnait sur eux. Le père se rendit compte qu’ils ne parviendraient pas à échapper aux flammes, aussi décida-t-il de s’arrêter, descendit du chariot, creusa rapidement une petite tranchée autour du chariot puis entreprit de brûler un grand cercle de broussailles autour d’eux.

    Alors que l’incendie se rapprochait, le garçon cria à son père : “Nous devons partir d’ici, nous allons être brûlés !” “Non, mon fils, nous devons rester sur place.” “Mais le feu se rapproche !” “Fiston, fais-moi confiance. Reste ici avec moi.” “Mais l’incendie…” “Ne crains rien, fais-moi confiance et reste ici.”“Mais comment rester tranquille alors que le feu fait rage autour de nous ?” “Cet endroit où nous sommes a déjà brûlé ? C’est moi qui l’ai brûlé et maintenant il ne reste aucune broussaille. L’incendie peut s’approcher, mais il ne peut pas nous toucher. Une fois que le terrain a été brûlé, il ne peut pas brûler une seconde fois !”

    C’est exactement la même chose avec Jésus : Il a été “brûlé” une fois pour nos péchés et dorénavant, si nous demeurons “en Lui”, nous appuyant sur ce qu’Il a accompli pour nous à la Croix, nous ne risquons pas d’être “brûlés”. Mais nous ne devons surtout pas essayer d’échapper à l’incendie par nos propres moyens. Mieux vaut faire confiance à Jésus et à Son sacrifice, qui est suffisant pour nous réconcilier avec Dieu et nous purifier de tout péché. A.C. Dixon a écrit : “En Jésus-Christ sur la Croix nous trouvons notre refuge, notre abri. Nous avons l’assurance que le pouvoir du péché qui nous poursuit sur le chemin de notre vie s’évapore sans jamais nous atteindre, parce que nous nous sommes refugiés à l’ombre de la Croix qui nous libère de tous nos péchés.”

     

     

    Bob Gass

     

     

    Il est mort une fois pour toute

     

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    Surmonter le découragement

     

     

    Surmonter le découragement

     

     

     

     

    PSAUME 42.1‑9

    Comment surmonter le découragement? Voici neuf pistes :

    1. Nous examiner afin de découvrir la cause sous‑jacente au découragement.

    2. Admettre que nous sommes abattus. Ne nous mentons pas, car le déni nous empêchera de grandir.

    3. Déterminer la raison pour laquelle nous sommes accablés. Identifions‑la, puis envisageons‑la.

    4. Nous rappeler la nature du découragement. Celui‑ci constitue une façon de réagir, mais nous pouvons choisir une manière différente de le faire.

    5. Méditer l’Écriture. Par sa vérité, Dieu peut nous aider à définir avec justesse nos sentiments.

    6. Présenter notre découragement au Seigneur. Demandons‑lui de nous révéler ce qu’il veut nous enseigner dans cette sphère de notre vie.

    7. Nous concentrer sur Dieu plutôt que sur notre situation. Prions‑le de nous faire voir notre déception, ainsi que les leçons qu’elle recèle, selon sa perspective.

    8. Considérer que l’événement à la source du découragement vient de Dieu. Lorsque nous comprenons qu’il permet les revers, nous pouvons découvrir un sens à l’épreuve.

    9. Reconnaître trois choses : Dieu m’accompagne dans ma douleur. Il est aux commandes de ma vie et a permis cette situation pour une raison. Il est bon et ne laissera pas cette déception se produire pour rien. Répétons ces vérités tout haut.

    Le découragement peut nous sembler anodin, mais ne le sous‑estimons pas. Déjouons son piège mortel en étant vigilants. Écrivons ces neuf étapes sur une fiche, puis passons‑les en revue quand nous commençons à être découragés.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    La nature du découragement

     

     

    La nature du découragement

     

     

     

    PSAUME 16.7‑11

    Le découragement est une émotion courante, intense et destructive. Avant de savoir comment le vaincre, nous devons en reconnaître la nature funeste et comprendre que le découragement :

    constitue un choix. En période d’épreuve, il est normal d’être démoralisé, mais nous pouvons choisir de réagir différemment. Nous ne pouvons reprocher notre abattement à une autre personne.

    est universel. Il arrive à tout le monde d’être déçu et déprimé, parce que nous vivons dans un monde déchu, peuplé de pécheurs.

    peut se produire de nouveau. Il arrive qu’une question que nous croyions réglée refasse surface à un moment inattendu. Il est aussi possible que nos vieilles blessures s’ouvrent de nouveau en réaction à une parole ou à un geste.

    peut être temporaire ou permanent. En refusant de nous attaquer au découragement, nous pourrions le laisser influencer nos décisions, nos actions et nos relations durant toute notre vie.

    peut être vaincu. Grâce à Dieu, nous pouvons surmonter le découragement. Le Seigneur désire que les siens mènent une vie riche et satisfaisante. Si nous croyons en lui et en ses promesses, la déconvenue fera lentement place à l’espoir.

    Sommes‑nous aux prises avec ce sentiment? Permettons à Dieu de nous en libérer, car il veut nous redonner la joie. Croyons que notre Père cherche à nous réconforter et à remettre notre vie sur les rails.

     

    (Source : encontact.org)

     

     

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    Qui nous sommes

     

     

     

    Qui nous sommes

     

     

     

     

    Lecture proposée : Actes 9.13-16

     [Cet] homme est un instrument que j’ai choisi, pour porter mon nom.
    V. 15

    Je n’oublierai jamais le jour où j’ai amené ma future femme rencontrer ma famille. Les yeux brillants, mes deux frères aînés lui ont demandé : « Qu’est-ce que vous lui trouvez au juste ? » Avec le sourire aux lèvres, elle leur a assuré que par la grâce de Dieu j’étais devenu l’homme qu’elle aimait.

    Cette réponse intelligente m’a beaucoup plu parce qu’elle reflète aussi le fait qu’en Christ, le Seigneur voit en nous plus que notre passé. Dans Actes 9, il a demandé à Ananias de guérir Saul de sa cécité, cet homme connu pour avoir persécuté l’Église. Ayant du mal à croire à cette mission, Ananias a affirmé que Saul martyrisait et exécutait même les croyants en Jésus. Dieu lui a alors demandé de se désintéresser de ce que Saul avait été jusque-là pour s’intéresser à ce qu’il était devenu : un homme qui allait apporter la Bonne Nouvelle au monde entier alors connu, y compris aux païens (à savoir les non-Juifs), et aux rois (V. 15). Alors qu’Ananias voyait en lui Saul le pharisien et le persécuteur, Dieu voyait Paul l’apôtre et l’évangéliste.

     

    Père céleste, aide-moi à trouver ma pleine identité en toi

     

    Il nous arrive parfois de nous voir uniquement tels que nous avons été par le passé, avec tous nos échecs et tous nos manquements. Reste que Dieu nous voit comme de nouvelles créations ; non pas la personne que nous étions, mais celle que nous sommes aujourd’hui en Jésus et que nous sommes en train de devenir par la puissance du Saint-Esprit. Mon Dieu, enseigne-nous à nous voir et à voir les autres de cette façon !

     

    Dieu voit au delà de notre passé.

     

     

    Peter Chin

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    Un seul mot de Jésus et tout change

     

     

     

    Un seul mot de Jésus et tout change

     

     

     

    Dis seulement un mot et mon serviteur sera guéri. Matthieu 8.8 

     

    Les mots sont porteurs de puissance, ils sont de véritables leviers. Suivant la parole prononcée envers une personne, les réactions varient. Cela peut produire une guérison, de la douceur ou bien une blessure, suivie d’une explosion de colère.

     

    Imaginez, vous dItes à votre épouse : "Arrête de manger comme quatre, tu as vu comme tu es grosse !" Une bombe vient d’être lâchée, c’est l’explosion assurée. Par contre, si vous lui exprimez votre amour : "Chérie, je me remarierai cent fois avec toi, tu es merveilleuse, quelle chance j’ai de t’avoir !" Alors, vous aurez droit à une effusion d’amour. Oui, les mots sont comme des leviers faisant jaillir le bon comme le mauvais. Ils véhiculent une puissance et celui qui reçoit le message est touché.

     

    Les mots sont porteurs de puissance, ils sont de véritables leviers.

     

    Il y a environ deux mille ans, un officier romain avait bien compris ce principe et le pratiqua avec Jésus. Ce soldat avait un esclave qui était gravement malade. Il connaissait Jésus de réputation et savait qu’il guérissait les malades. C’est pourquoi il décida d’aller le voir. De nombreux obstacles auraient pu s’interposer entre lui et Jésus : orgueil, doute, argent, langue, pouvoir, origine. Mais il n’a pas voulu en tenir compte. Il fit preuve d’humilité en bravant les barrières.

     

    À ce moment des Évangiles, les gens malades venaient directement à Jésus ou bien le conviaient à domicile. Car il y avait une notion forte du toucher, par l’imposition des mains. Deux exemples parmi de nombreux : 

     

    • Un chef de synagogue invita Jésus chez lui pour guérir sa fille.
    • Une femme avec une perte de sang se faufila au milieu de la foule pour toucher Jésus.

     

    Il fallait que Jésus soit là physiquement et qu’il y ait un contact pour que le miracle prenne place. 

     

    Le centenier romain va casser les codes. Ayant approché Jésus, ce dernier lui proposa d’aller chez lui et voici ce que le Romain lui dit : "Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dis seulement un mot et mon serviteur sera guéri. Car moi aussi je suis un homme soumis à des supérieurs, j’ai des soldats sous mes ordres ; et je dis à l’un : « va » et il va, à un autre « viens ! » et il vient." (Matthieu 8.8-9

     

    En d’autres termes : "Pas besoin que tu viennes, pas besoin que tu touches le malade, j’ai pleinement confiance dans ton autorité et la puissance de tes paroles."

     

    Quelle foi ! Le Seigneur admira l’assurance que cet étranger plaçait en lui. Il déclara : "Je vous le dis en vérité, même en Israël je n’ai pas trouvé une aussi grande foi." (Matthieu 8.10) Ce centenier romain comprenait qu’un mot de Jésus suffisait à actionner le levier de la guérison. Son autorité était incontestable. Il dit et la chose arrive, il ordonne et elle existe... (Psaume 33.9)

     

    Une prière pour aujourd’hui : 

    Seigneur, j’ai totalement foi en toi. Je sais qu’une parole de toi peut tout changer. Je reconnais ton autorité et ta puissance. Vois ma situation, dis seulement un mot pour que la vie prenne place, amen.

     

     

    Patrice Martorano
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    N'essayez pas de plaire à tout le monde

     

     

     

    N'essayez pas de plaire à tout le monde

     

     

     

     

    “Avant toute chose, nous désirons plaire à Dieu.” 2 Co 5. 9  

    Avant le décollage, des consignes de sécurité sont données, précisant qu’en cas de problème de pressurisation de la cabine les passagers doivent d’abord mettre leur propre masque à oxygène avant d’aider les autres, même leurs enfants. Pourquoi ? Parce que, si vous manquez d’oxygène, comment pourrez-vous aider qui que ce soit ? Une leçon importante pour nous !

    Manquez-vous d’oxygène spirituel? Refoulez-vous constamment vos émotions au fond de vous-même ? Si c’est le cas, commencez par vous occuper de vous-même pour changer un peu, au lieu de vous dévouer sans cesse aux autres. Vos proches ou vos amis ne seront pas nécessairement conscients que vous vous trouvez au bout du rouleau.

    Soyez honnête avec vous-même, dites ce qui ne va pas à quelqu’un en qui vous avez confiance, sinon votre fardeau de responsabilités ne fera que s’accroître. Vous devez apprendre à contrôler votre vie si vous voulez continuer à aider les autres de manière efficace.

    Les gens débordés commettent beaucoup d’erreurs, c’est inévitable ! Leur famille et leur mariage risquent d’en souffrir. Ils échouent dans leurs entreprises, se mettent à dos leurs enfants, leurs amis ou leurs collègues de travail.

    Vous ressemblez à avion : si vous transportez un surplus de bagages, vous risquez de ne pas pouvoir décoller. Si vous ne songez qu’à plaire à tout le monde ou à faire bonne impression sur tout un chacun, vous accumulerez à la fois responsabilités et engagements sans pouvoir jamais atteindre les sommets que Dieu avait prévus pour vous, ou pire vous succomberez à une crise de nerfs pour n’avoir pas su estimer vos propres limites. Vous ne pouvez résoudre tous les problèmes de la terre !

    Jésus s’éloigna des foules pour s’isoler avec Son Père, ce qui Lui valut bien des critiques. Mais Il profita de cette solitude pour rester en communion avec Son Père. Vous aussi devez apprendre à faire ce choix. Donnez autant que vous pouvez, mais sachez également dire “non” si vous voulez achever votre mission selon les plans divins.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Sa compagnie dans la fournaise

     

     

     

    Sa compagnie dans la fournaise

     




     

    Ne crains pas… quand tu passeras par les eaux, je serai avec toi,… quand tu marcheras dans le feu, tu ne seras pas brûlé, et la flamme ne te consumera pas. Ésaïe 43. 1, 2

    L'Éternel… est plus puissant que la voix des grosses eaux. Psaume 93. 4

     

    Le roi chaldéen Nabuchodonosor a fait édifier une immense statue d'or et ordonne: “Aussitôt que vous entendrez le son du cor, de la flûte… et toute espèce de musique, vous vous prosternerez et vous adorerez la statue d'or… Mais si vous ne l'adorez pas, à l'instant même vous serez jetés au milieu de la fournaise de feu ardent. Et qui est le Dieu qui vous délivrera de ma main?” (Daniel 3. 5, 6 15).

     

    Quelques jeunes prisonniers de ce roi cruel ne cèdent pas. Les menaces ne les détournent pas de l'obéissance à leur Dieu. Ils ne se courbent pas devant l'idole que le puissant monarque a dressée. Le roi a répété à trois jeunes Hébreux captifs l'ordre de se prosterner devant la statue. Leur réponse est magnifique: “Il n'est pas nécessaire que nous te répondions sur ce sujet… Notre Dieu… peut nous délivrer de la fournaise… et il nous délivrera de ta main”. Fou de rage, le roi fait chauffer à l'extrême la fournaise où l'on jette les trois courageux témoins. Mais Dieu ne permet pas que le feu les touche. Plus extraordinaire encore: un être mystérieux, céleste, est venu leur tenir compagnie au milieu du brasier.

     

    Bien sûr, Dieu aurait pu empêcher que ses serviteurs soient jetés dans le feu. Mais faire l'expérience de Sa présence dans l'épreuve valait mieux que d'en être préservé. Le Seigneur pourrait bien nous épargner telle maladie, tel problème, tel accident. Il ne le fait pas toujours mais il tient sa promesse: «Je suis avec vous tous les jours» (Matthieu 28. 20). Tous les jours! Ceux que nous qualifions de mauvais comme ceux que nous appelons de bons jours.

     



    (Source : labonnesemence.com)

     

     

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    Absolument "toutes choses"

     

     

     

    Absolument "toutes choses"

     

     

     

     

    "Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein." Romains 8.28 

     

    Nos vies sont remplies de circonstances dont nous ne comprenons ni les tenants ni les aboutissants. Dès le lever, nous avons parfois l’impression que nos journées sont remplies d’événements désagréables. Ces événements nous frustrent. Mais ce qui nous frustre le plus, c’est de ne pas comprendre pourquoi nous sommes obligés de traverser ces moments difficiles.

     

    Dans ces moments d’incompréhension, qu’il est bon de savoir que toutes choses concourent à notre bien ! Cette promesse nous encourage et nous donne de l'espoir pour notre avenir.

     

    Même au cœur de vos plus grandes souffrances, Dieu reste le maître de votre vie.

     

    "Je sais que mon rédempteur est vivant", a dit Job, alors qu'il était éprouvé de toutes parts. (Job 19.25) Job a dû faire face à la maladie, au deuil, à des souffrances atroces, à des attaques spirituelles… Sans compter que son épouse et ses amis l’ont accablé de reproches.

     

    Mais Job sait ! Dans son cœur, il sait que son sauveur est vivant et qu'il se lèvera pour lui. Il sait que Dieu fera taire l'ennemi de son âme, l'ennemi de sa famille, l'ennemi de sa santé, l'ennemi qui ne cherche qu'à dérober, égorger et détruire. (Jean 10.10)

     

    Dieu désire vous encourager à vous attacher fermement à lui : le Dieu Tout-Puissant, le créateur de l'univers, l'Éternel des armées, le bon berger, l'alpha et l'oméga, le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant.

     

    Toutes choses, absolument toutes, concourent à votre bien quand vous aimez Dieu.

     

    • Votre rapport médical concourt à votre bien
    • Votre vie de famille concourt à votre bien
    • La perte de votre travail concourt à votre bien

     

    Même au cœur de vos plus grandes souffrances, Dieu reste le maître de votre vie. Il ne crée pas le malheur. Mais il sait et veut le tourner à votre avantage ! Son amour ne vous laissera pas dans la difficulté : il transformera la difficulté en une occasion de vous surprendre par sa grâce.

     

    Une réflexion pour aujourd’hui :
    Prenez quelques minutes dans le silence, et rappelez-vous : au milieu de votre épreuve, il y a un Dieu qui se soucie de vous et qui règne. Soyez en paix et sachez que Dieu peut utiliser n’importe quelle situation pour vous bénir et vous faire grandir.

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Avez-vous peur du changement ? (1 et 2)

     

     

     

    Avez-vous peur du changement ? (1)

     

     

     

    “Je fais une chose nouvelle… Ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert…” Es 43. 19

    La peur du changement semble innée chez l’être humain. Nous préférons la sécurité d’une vie médiocre que nous connaissons à l’excitation d’une vie aventureuse que nous trouvons difficile à contrôler. Au début du XXème siècle on pensait que les trains allaient beaucoup trop vite et que le corps humain ne saurait résister à de telles vitesses catastrophiques. Quand la radio puis la télévision firent leur apparition, beaucoup de chrétiens décrétèrent que les signaux étaient sous le contrôle de Satan, car ils traversaient l’air. Or la Bible déclare que Satan est le prince de l’air (Ep 2. 2). Pourtant, de nos jours, des millions de personnes ont découvert l’Evangile grâce aux émissions radiophoniques ou télévisées. Si la Bible nous affirme que Dieu est le même hier, aujourd’hui et demain, cela ne signifie pas qu’Il est opposé au changement. Loin de là ! “Voici Je vais faire une chose nouvelle…” sort de la bouche même de Dieu. Considérez l’expérience vécue par Gédéon (Jg 6 & 7). L’ange du Seigneur l’interpelle avec ces mots : “Vaillant guerrier !” (Jg 6. 12). Homme peureux par nature, comment va-t-il accepter un tel changement ? Seulement en faisant confiance à Dieu et en croyant que Celui-ci sera avec lui (v. 16). Puis l’ange lui demande d’opérer un nouveau changement dans sa vie : démolir les autels que son père avait construits pour honorer de faux dieux, en prenant le risque de désobéir à ce dernier. Accepter les changements que Dieu veut effectuer dans notre vie n’oblitèrera pas notre crainte, mais nous aidera à la surmonter. Plus tard, quand Gédéon se retrouve à la tête d’une armée israélite, nouveau changement : Dieu lui demande de renvoyer la plupart des soldats pour n’en garder que trois cents ! Etes-vous prêt à accepter les changements inspirés par Dieu dans votre vie ?

     

     

     

    Avez-vous peur du changement ? (2)

     

     

    “Ne suivez pas les coutumes du monde… mais laissez Dieu vous transformer…” Rm 12.2

    Le mot changement vous fait-il peur ou au contraire vous pousse-t-il à vous aventurer sur des chemins nouveaux ? La vie elle-même est une succession de changements. Il est impossible de grandir et de se développer sans les accepter. Evoluer est la preuve que vous vivez. Le sociologue anglais Herbert Spencer a écrit : “La différence entre un organisme vivant et un organisme mort se mesure à la multiplicité des changements qui ont lieu à un moment donné dans le premier.” Si vous voulez progresser dans la vie, vous devez traverser diverses étapes et reconnaître que ce parcours émaillé de changements est votre meilleur allié pour réussir. Même vos opinions devront évoluer au cours de votre vie. Sinon comment pourriez-vous corriger vos erreurs ? Ne vous ancrez pas dans votre routine, les pieds pris dans le béton de l’habitude. Votre esprit s’épanouira seulement si vous vous laissez guider par l’Esprit de Dieu dans des voies nouvelles. Impossible de devenir ce que Dieu a prévu pour vous et à quoi Il vous a destiné, si vous refusez de prendre des risques et de sortir des chemins battus. Vous ne souhaitez pas imiter les moutons de Panurge toute votre vie, n’est-ce pas ? Ouvrez votre intelligence aux idées nouvelles, analysez ce qui est bon et rejetez ce qui est mauvais. Votre sens critique s’émoussera si vous vous conformez aux habitudes du monde, mais s’aiguisera si vous laissez l’Esprit de Dieu vous conduire. La justesse de vos actions et de vos décisions dépendra de votre capacité à penser et à analyser vos idées selon la pensée de Dieu. “Or nous, nous avons la pensée de Christ” déclare Paul (1 Co 2. 16), avant de conseiller dans sa lettre aux Philippiens : “Ayez en vous la pensée qui était en Christ-Jésus…” (Ph 2. 5). Un proverbe chinois affirme avec humour : “Quand le vent du changement se met à souffler certains construisent des murs pour se protéger, alors que d’autres bâtissent des moulins à vent !” Quand le vent de l’Esprit soufflera sur vous, comment réagirez-vous ?

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    A quoi pensez-vous ?

     

     

     

    A quoi pensez-vous ?

     

     

     

     

    "Car mes pensées ne sont pas vos pensées…" Ésaïe 55.8 

     

    Dieu pourrait parfois venir frapper à la porte de nos pensées et nous susurrer au creux de l’oreille : "À quoi penses-tu ?" Non pas qu’il ne les connaisse pas, mais pour que nous prenions conscience du contenu de nos pensées. Peut-être que plus d’une fois, il pourrait nous dire que nos pensées ne sont pas celles que nous devrions avoir. Ou encore, que nous ne prêtons pas attention à ce qui est essentiel, que nous pensons à nos problèmes au lieu de penser à lui.

     

    À quoi est-ce que je pense :
    à la montagne ou à Dieu qui est plus grand que cette montagne ?

     

    Le Psaume 121 nous parle de quelqu’un qui fixe, dans un premier temps, ses yeux vers les montagnes de difficultés qui sont devant lui. Il pense à ces montagnes, il les analyse, il ne peut détacher son regard et ses pensées de ces grandes épreuves qui sont devant lui, et ses pensées le conduisent vers la perplexité : "D’où me viendra le secours ?" (Psaume 121.1)

     

    Et puis, soudain, il réalise que de telles pensées ne peuvent l’aider, alors il réoriente ses pensées et commence à penser à Dieu. Il pense à :

     

    • Son pouvoir créateur
    • Sa bienveillance
    • Sa fidélité
    • Sa présence
    • Sa souveraineté

     

    Et, ayant pensé autrement, il finit par une déclaration de foi : "L’Eternel te gardera." (Psaume 121.7-8)

     

    De nombreux croyants laissent leur esprit errer dans les méandres de leurs problèmes. Ils ont les pensées occupées par tous leurs soucis quotidiens. Leur esprit est préoccupé par une multitude de tracas, et ils en arrivent à oublier de penser à celui qui leur a dit : "Je suis avec vous tous les jours." (Matthieu 28.20)

     

    Analysez vos pensées ; si elles sont dirigées uniquement vers vos problèmes, elles ne vous seront d’aucune utilité. Comme le psalmiste, ayez la sagesse de guider vos pensées vers le Seigneur Tout-Puissant. Souvenez-vous de sa fidélité, de son amour, de sa grâce. Cultivez de telles pensées et vous ne verrez plus les montagnes de problèmes de la même façon ; vous les verrez au travers de son regard à lui.

     

    Souvenez-vous que la victoire sur vos problèmes dépend, en partie, de la manière avec laquelle vous y pensez. Si vos pensées ne font que tourner et virevolter autour d’eux, vous finirez par être submergé(e) par eux. Par contre, si vous commencez à prendre de la distance, si vous orientez, avec foi, vos pensées vers celui qui est fidèle, miséricordieux, Tout-Puissant…  alors vous trouverez le chemin de la sortie.

    Un conseil pour aujourd’hui :

    Alors que vous êtes face à une montagne de problèmes, de soucis, posez-vous les questions suivantes : à quoi est-ce que je pense ? À la montagne, ou à Dieu qui est plus grand que cette montagne ?

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

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