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    La joie malgré tout

     

     

     

    La joie malgré tout

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : 1 Pierre 1.3-9

    Vous […] croyez en lui sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie merveilleuse et glorieuse. V. 8

    En 1985, on a accusé Anthony Ray Hinton du meurtre de deux gérants de restaurant. C’était un coup monté. Il se trouvait à plusieurs kilomètres de là lorsque les crimes ont été commis, mais on l’en a quand même reconnu coupable et condamné à la peine de mort. Lors de son procès, Ray a pardonné à ceux qui mentaient à son sujet, en ajoutant qu’il était dans la joie malgré cette injustice : « Après ma mort, j’irai au ciel. Où irez-vous ? »

     

    Sa vie dans le couloir de la mort a été pénible. Chaque fois que quelqu’un d’autre passait à la chaise électrique, les lumières du pénitencier vacillaient. On a passé Ray au détecteur de mensonges, mais on a fait fi de ses résultats, une des nombreuses injustices qu’il a subies durant la révision de son procès.

     

    Dieu de tous les espoirs, remplis-nous de ta joie et de ta paix
    alors que nous mettons notre foi en toit

     

    Finalement, le Vendredi saint de 2015, la Cour suprême des États-Unis a annulé le jugement de Ray. Il y avait alors près de trente ans qu’il était dans le couloir de la mort. Sa vie atteste la réalité de Dieu. En raison de sa foi en Jésus, Ray a gardé l’espoir même après ses procès (1 PI 1.3-5) et il s’est réjoui d’une joie surnaturelle malgré les injustices qu’il subissait (V. 8). Voici ce qu’il a affirmé après sa remise en liberté : « La joie que j’ai, ils n’auraient jamais pu me l’enlever en prison. » Cette joie a prouvé que sa foi était sincère (V. 7,8). 

     

    La joie dans le couloir de la mort ? C’est difficile à feindre. Elle évoque un Dieu qui existe même sans qu’on le voie et qui est prêt à nous soutenir dans nos épreuves.

     

     

     

    Notre Père nous procure sa joie pour nous aider à surmonter nos épreuves.

     

     

     

    Sheridan Voysey

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

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    Ecrivez votre vision

     

     

     

    Ecrivez votre vision

     

     

     

    ”Ecris la vision… afin qu’on puisse la lire couramment.” Ha 2. 2 

    Avant d’aller faire vos courses établissez-vous d’abord une liste de tout ce dont vous avez besoin, ou faites-vous confiance à votre mémoire pour ne rien oublier ? Soyez honnête ! Cela ne vous arrive jamais de revenir chez vous pour découvrir que vous avez oublié quelque chose ?

    Si Dieu vous a donné une vision, écrivez-la sur un cahier ou un journal personnel. Sinon vous risquez d’en oublier certains détails ou plus tard vous laisser envahir par des doutes sur sa validité. Aussi Dieu demanda-t-Il au prophète d’écrire la vision qu’Il lui avait donnée.

    Terri Savelle raconte une anecdote intéressante sur l’acteur et comédien Jim Carrey. En 1990, le jeune Canadien sans le sou arriva à Hollywood pour y tenter sa chance. Un jour il fit un chèque de 10 millions de dollars à son ordre, et sous la date écrivit 1995. Sur le talon du chèque, il précisa : “Pour services rendus à l’industrie du cinéma”. Il conserva ce chèque dans son portefeuille pendant des années. En 1994, après avoir joué un rôle principal dans plusieurs films à succès, dont Le Masque, le salaire de Carrey atteignit 20 millions de dollars par film. La même année son père décéda et Jim Carrey plaça ce fameux chèque dans le cercueil de ce dernier, comme un tribut à l’homme qui lui avait appris à rêver.

    Faites comme lui, écrivez la vision que Dieu vous a donnée. Cela vous permettra de rester patient lorsque vous ne voyez rien à l’horizon. Dieu n’a-t-Il pas dit : “C’est encore une vision pour le temps fixé… Si elle tarde, attends-la, car elle se réalisera bel et bien” (Ha 2. 3). Notez les mots : “si elle tarde, attends-la, car elle se réalisera” !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    La "chair est faible", mais vous n'avez pas à l'être

     

     

     

    La "chair est faible", mais vous n'avez pas à l'être

     

     

     

     

     

    « Veillez et priez, afin de ne pas entrer en tentation; l'esprit est bien disposé mais la chair est faible. »
    Matthieu 26.41

     

    La nuit précédant sa crucifixion, Jésus avait rassemblé ses disciples dans le jardin de Gethsémané et ne leur avait demandé qu’une seule chose : « Veillez et priez, afin de ne pas entrer en tentation ; l’esprit est bien disposé mais la chair est faible. » (Matthieu 26.41)

     

    Tout ce que les disciples avaient à faire était de rester éveillés et de prier, mais ils n’arrêtaient pas de sombrer dans le sommeil. Jésus, au contraire, priait et un ange est venu Le fortifier dans Son esprit afin de Le préparer à endurer la croix. Les disciples n’ont pas prié – ils se sont endormis – et par cela, ils ont confirmé que la chair était faible. Je trouve que cette histoire montre l’importance essentielle de la prière.

     

    En tant que chrétiens, nous devons réaliser que sans la prière quotidienne et l’interaction avec Dieu, nous n’avons rien. Nous luttons tous pour ne pas vivre selon notre « faible chair », mais lorsque nous faisons de la prière une priorité, Dieu nous fortifie dans notre esprit et nous permet de dépasser les limites et les faiblesses de la chair. Où allez-vous puiser votre force aujourd’hui? Dans votre chair? Ou bien dans la puissance que Dieu nous donne si généreusement lorsque nous venons à Lui ?

     

    Ma prière pour aujourd’hui : Seigneur, avertis-moi lorsque je me trouve face à la peur. Je sais qu’avec ton aide, je pourrais à chaque fois répondre avec la puissance de la foi et la chasser.

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

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    La paix parfaite

     

     

     

    La paix parfaite

     

     

     

     

    « Parce qu'il se confie en toi » Ésaïe 26.3 

     

    Le secret de la paix parfaite se trouve dans ce verset : « À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi ». Ce n’est pas un événement, mais la façon dont on le perçoit qui génère l’inquiétude.

     

    La situation peut varier et échapper au contrôle. Ce n’est donc pas la peine de s’en faire. Dieu, lui, ne change pas et rien ne lui échappe. On ne peut pas être en paix et inquiet à la fois. L’inquiétude sape la confiance, altère la vision et étouffe l’esprit. Elle supprime la paix issue de la connaissance du Dieu qui peut tout gérer et par qui tout est possible. Si l’on s’inquiète à ce point, c’est parce qu’on agit exactement à l’opposé de ce qu’on devrait pour être en paix. La crainte est comme un vote de défiance envers Dieu.

     

    Vous ne le réalisez peut-être pas, mais dès que vous cédez à l’inquiétude, vous dites : « Je ne crois pas que Dieu peut ou veut gérer ça à ma place. Je ne suis pas sûr(e) de pouvoir lui faire confiance dans cette affaire. Alors, je vais devoir porter ce fardeau moi-même ». Soit Dieu est l’objet de votre confiance, soit il est un assistant à temps partiel que vous appelez quand vous n’avez plus le choix.

     

    C’est l’histoire d’un éléphant et d’une souris qui traversent un pont. Quand ils arrivent de l’autre côté, la souris
    dit : « T’as vu comme on l’a fait trembler ! ». Quand vous commencez à voir Dieu en acteur principal et vous en second rôle, vous allez trouver la paix qui vous a échappé depuis si longtemps.

     

     

    Bob Gass

     

     

    La paix parfaite

     

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    Qu'est-ce qui vous pèse ?

     

     

     

    Qu'est-ce qui vous pèse ?

     

     

     

     

     

    « Rejetons tout fardeau […] et courons avec persévérance » Hébreux 12.1 

     

    Dans une récente émission radio, Dennis Rainey évoquait la première traversée de l’Atlantique en ballon.

     

    Les occupants de ce superbe engin avaient bénéficié d’un fort courant ascendant pour arriver sans encombre jusqu’au large de la côte irlandaise. C’est alors qu’ils ont rencontré une épaisse couverture nuageuse et de la glace a commencé à se former sur l’enveloppe extérieure du ballon.

     

    En quelques heures ils ont perdu la moitié de leur altitude, passant de 20 000 à 10 000 pieds. Ils ont tout essayé pour sauver le ballon. Ils ont jeté des caméras, des rations de nourriture et même un planeur avec lequel ils avaient prévu d’atterrir. À environ quatre mille pieds, ils ont transmis leur position puis ont jeté la radio par-dessus bord. Finalement, à trois mille pieds, le soleil est revenu. La glace a fini par fondre et le grand ballon a pu voler jusqu’en France.

     

    La Bible dit que pour remporter l’épreuve, il faut rejeter tout fardeau et le péché qui s’accroche si bien à soi. Et s’il est aisé d’identifier le péché à rejeter, il en va tout autrement pour les fardeaux. Pourquoi ? Parce que souvent, ils semblent légitimes comme les responsabilités, les pressions, les obligations, les horaires, etc.

     

    Aujourd’hui, posez vos valises et faites l’inventaire de ce qu’elles contiennent. Pour chaque chose, demandez-vous sincèrement : « Dieu m’a‑t-il demandé de la porter, quelqu’un me l’a‑t-il donnée, ou ai-je moi-même décidé de m’en charger ? » Quoi qu’il vous pèse aujourd’hui, mettez-le de côté !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Parle, Seigneur

     

     

     

    Parle, Seigneur

     

     

     

     

    L’Éternel… appela comme les autres fois : Samuel ! Samuel ! Et Samuel dit : Parle, car ton serviteur écoute. 1 Samuel 3. 10

    Marie…, s’étant assise aux pieds de Jésus, écoutait sa parole.
    Luc 10. 39

     

     

     

    Parle, Seigneur, ton serviteur écoute.

     

    Divin Berger, je connais ta douceur ;

     

    Ta voix m’apaise et dissipe mes doutes ;

     

    Parle, Seigneur, et rassure mon cœur.

     

    Ma connaissance et ma foi sont petites,

     

    Mais à tes pieds j’apprends avec bonheur.

     

    Viens me bénir, étendre mes limites !

     

    Parle, Seigneur, fais déborder mon cœur.

     

    Bien trop souvent mes pensées vagabondent,

     

    S’intéressant à des plaisirs trompeurs.

     

    Oh ! garde-moi des attraits de ce monde :

     

    Parle, Seigneur, et règne sur mon cœur.

     

    Fortifie-moi, par ta grâce puissante,

     

    Fais qu’en toi seul je trouve mon bonheur ;

     

    Et, me donnant une foi plus ardente,

     

    Parle, Seigneur, et fais brûler mon cœur.

     

     

    Deux disciples étaient en chemin. “Jésus lui-même s’approcha et se mit à marcher avec eux… Il leur dit : Quels sont ces propos que vous échangez en marchant ? Et vous êtes tristes ! … Commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliquait, dans toutes les Écritures, les choses qui le concernent…

     

    Ils se dirent l’un à l’autre : Notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin, et qu’il nous ouvrait les Écritures ?” (Luc 24. 13-32)

     

     

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

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    Mieux que la vie

     

     

     

     

    Mieux que la vie

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 63.1-9

     

    Car ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres célèbrent tes louanges V. 4 

     

    Même si Mary aimait Jésus, elle avait la vie dure, très dure. Deux fils l’avaient précédée dans la mort, ainsi que deux de ses petits-fils avaient été victimes de tueries. De plus, Mary avait fait une crise d’apoplexie qui l’avait laissée paralysée d’un côté. Il reste que, dès qu’elle l’a pu, elle est retournée à l’église, où il n’était pas rare de l’entendre louer le Seigneur malgré son allocution hachurée : « Mon âme aime Jésus ; béni soit son nom ! »

     

    Des milliers d’années plus tôt, David a écrit le Psaume 63, qui précise d’entrée de jeu qu’il se trouvait « dans le désert de Juda ». Même s’il vivait alors une situation moins qu’enviable, voire désespérée, David a gardé espoir en Dieu : « Ô Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche ; mon âme a soif de toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau » (V. 2). 

     

    Jésus, je te suis si reconnaissant que je peux te louer
    dans les moments arides et désespérés de ma vie

     

    Peut-être traversez-vous des difficultés, dépourvu d’une direction claire ou de ressources adéquates. Une situation malaisante peut nous déconcerter, mais elle ne risque pas de nous faire dérailler lorsque nous nous attachons à celui qui nous aime (V. 4), qui nous rassasie (V. 6), qui nous secourt (V. 8) et dont la droite nous soutient (V. 9). Étant donné que la bonté de Dieu vaut mieux que la vie, nous pouvons exprimer notre satisfaction, comme l’ont fait Mary et David, et nos lèvres peuvent célébrer ses louanges (V. 4-6).

     

    L’amour de Dieu nous donnera la force de traverser n’importe quelle épreuve.

     

     

     

    Arthur Jackson

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Le joug du Seigneur Jésus-Christ

     

     

     

    Le joug du Seigneur Jésus-Christ

     

     

     

     

    Le joug est une lourde pièce de bois servant à atteler une paire d'animaux de trait, généralement des bœufs. Le joug est posé sur la tête des animaux et les oblige à avancer l’un à côté de l’autre, tirant ensemble une charge. Il est le symbole de la soumission et du service et, au sens figuré, être sous le joug de quelqu’un signifie être soumis à lui pour le servir.

     

    Jésus a dit : « Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes. Car mon joug est facile à porter et mon fardeau est léger » (Matthieu 11. 29-30).
    Il peut être surprenant que Jésus parle en même temps de “joug” et de “repos” car ces deux mots sont apparemment contradictoires. Mais le Seigneur Jésus parle de SON joug. N’est-Il pas, Lui Jésus, le serviteur parfait, celui qui est venu non pour être servi mais pour servir… (Marc 10. 45) ? N’est-Il pas l’exemple suprême de la soumission ? L’épître aux Hébreux nous dit que, quoique étant Fils, Il a appris l’obéissance (Hébreux 5. 8). En effet, Jésus le Fils de Dieu, étant le Créateur Souverain et le Trés-Haut, s'est fait homme ; il a dû apprendre l’obéissance ; « étant fait semblable aux hommes, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix » (Philippiens 2. 7-8).
    « Apprenez de moi » nous dit-Jésus : Il est le modèle suprême. Toutefois, pour prendre sur soi le joug du Seigneur Jésus facile à porter, il y a une condition indispensable : venir à Lui par la foi. Juste avant l’invitation à prendre son joug, Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Matthieu 11. 28).

     

    Chers lecteurs, si vous êtes encore écrasé par le pesant fardeau de vos péchés, ne l’ayant pas encore déposé au pied de la croix où Jésus s’en est chargé Lui-même, venez à Jésus dès maintenant ! Vous vous fatiguez peut-être à vouloir vous débarrasser vous-même de ce fardeau qui pèse sur votre conscience en faisant des œuvres ou en essayant de vous améliorer ou encore en assistant aux services religieux, etc..., mais tout est vain si vous n’êtes pas venu au Seigneur Jésus par la véritable foi en Lui. Jésus seul peut donner le repos à l’âme tourmentée parce qu’Il a porté Lui-même, à la croix, le fardeau de nos péchés dont Il a subi pour nous le Jugement divin. « Certainement, lui, a porté nos souffrances, et s’est chargé de nos douleurs … il a porté le péché d'un grand nombre » (Esaïe 53. 4, 12)

     

    Après avoir reçu le pardon divin et, par conséquent le repos de la conscience, le croyant en Jésus doit traverser ce monde où il rencontre bien des difficultés, des épreuves, des circonstances difficiles… Le Seigneur Jésus parle alors d’un autre repos, celui de l’âme, que l’on trouve en prenant son joug sur soi. Combien il est plus facile de traverser les épreuves lorsque nous savons que le Seigneur Jésus nous soutient, nous donne la force dont nous avons besoin et ne permettra pas que nous soyons éprouvés au-delà de ce nous pouvons supporter (1 Corinthiens 10. 13). Combien il est plus facile pour le croyant de savoir que tout ce qui lui arrive est permis du Seigneur et que "sa volonté est bonne et agréable et parfaite" (Romains 12. 2b), de savoir « que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains 8. 28).
    Combien le joug est facile et le fardeau léger si nous restons près de Jésus, sous son joug, suivant ses traces (1 Pierre 2. 21b), marchant comme Lui a marché (1 Jean 2. 6) tout en apprenant de Lui qui est débonnaire et humble de cœur !

     

    Devant l’épreuve, la maladie et la mort qui, pour l'incrédule, est le roi des terreurs (Job 18. 14), comment réagit celui ou celle qui, n’ayant pas la foi en Jésus Christ, n’a pas d’espérance ? La Parole de Dieu nous exhorte à ne pas être affligés comme les autres qui n’ont pas d’espérance (1 Thessaloniciens 4. 13). Ceux qui ont mis leur pleine confiance en Jésus savent que la mort est pour eux l’entrée dans le repos en attendant la résurrection pour être introduits dans la gloire éternelle. Chaque croyant sous le joug du Seigneur peut dire : « Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi ; ta houlette et ton bâton me rassurent » (Psaume 23. 4).

     

     

    (Source : levangile.sauve.overblog.com)

     

     

     

     

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    Il vous faut vous frayer un chemin

     

     

     

     

    Il vous faut vous frayer un chemin

     

     

     

    “Ayant entendu parler de Jésus, elle vint dans la foule, par derrière et toucha son vêtement.” Mc 5. 27 

     

    Cette femme a dû surmonter deux problèmes :

    1- elle doutait d’elle-même : “une personne telle que moi peut-elle s’approcher d’un Dieu comme Lui” ? Oui, sans aucun doute !

    2- elle devait se frayer un chemin à travers la foule dense.

    L’ennemi fera tout son possible pour vous empêcher d’atteindre Jésus. Vous devrez vous frayer un chemin à travers le royaume de la chair pour en arriver au royaume de l’Esprit.

    Vous devrez dire à ceux qui émettent des doutes sur votre démarche : “Excusez-moi, je n’ai pas le temps de discuter, je dois rejoindre Jésus !” A ceux qui veulent vous arrêter pour que vous flattiez leur amour-propre : “Désolé, je n’ai pas le temps, je dois rejoindre Jésus.” A ceux qui vous offrent leurs opinions d’experts, quoique non bibliques : “Veuillez m’excuser et me laisser passer, je vais rencontrer Jésus.”

     

    Faites seulement le premier pas et Dieu sera à vos côtés. Quand la justice vous dit : “Tu ne pourras L’atteindre,” la miséricorde vous frayera un chemin jusqu’à Lui. Quand la loi essaye de vous arrêter, la grâce vous ouvrira la porte. Lorsque le monde vous dit de ne pas chercher à l’atteindre, Dieu vous murmurera : “Viens, fraie-toi un chemin jusqu’à Moi, Je t’attends.” Mais ne vous attendez pas à ce que ce soit facile.

    Cette femme dut se frayer un chemin à travers la foule des pessimistes et des prophètes de malheur, au-delà des rapports médicaux et des liasses de factures impayées, au-delà des règlements qui l’excluaient et des experts qui les critiquaient. Mais regardez ce qui se passa alors ! La vie de Jésus s’est déversée tout de suite en elle et elle se retrouva totalement guérie. Il fera de même pour vous si seulement vous vous frayez, aujourd’hui, un chemin jusqu’à Lui pour Le toucher.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Laissez Jésus vous toucher dans votre souffrance

     

     

     

    Laissez Jésus vous toucher dans votre souffrance

     

     

    [Pierre] frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille droite. Mais Jésus, prenant la parole, dit : Laissez, arrêtez ! Et, ayant touché l'oreille de cet homme, il le guérit. Luc 22.50-51 

     

    Au milieu de l’obscurité, des lanternes vinrent éclairer une scène d’une extrême importance : l’arrestation de Jésus. Des hommes armés arrivèrent avec, à leur tête, Juda. Au milieu d’eux, le serviteur du souverain sacrificateur du nom de Malchus. Après un échange entre Jésus et ces hommes, Pierre se mit en colère et prit son épée pour fendre la tête de Malchus. Certainement qu’en l’esquivant, l’oreille de Malchus fut coupée au lieu de sa tête ! Jésus reprit sévèrement Pierre et guérit le pauvre homme. L’apôtre pensait bien faire en protégeant Jésus, mais le résultat fut désastreux ! Heureusement, le Seigneur répara cette catastrophe en guérissant Malchus.

     

    Combien d’hommes et de femmes ont été blessés par des gens bien intentionnés ? Par des coups de langue aiguisée qui s’avérèrent être de véritables épées tranchantes. Il m’est arrivé dans ma vie de donner des coups d’épées… Tout comme Pierre, je pensais bien faire mais le résultat ne fut que tristesse. À l’inverse, il m’est arrivé d’en recevoir. Sans jouer au prophète, je peux vous assurer que durant votre vie, vous recevrez des coups de langue qui vous feront certainement mal aux oreilles mais peut être également que, vous aussi, vous blesserez des gens par vos propos.

     

    Il est important de laisser le Seigneur vous toucher dans votre souffrance.

     

    Lorsque vous avez tendance à blesser les autres, au nom de bonnes intentions telles que : "Jésus est menacé ; moi je suis franc(he), je dis la vérité, donc j’ai le droit de blesser", etc., Jésus vous dit : "Remets ton épée dans le fourreau." (Jean 18.11)

     

    À l’inverse, quand vous recevez un coup d’épée, laissez Jésus vous guérir. La Bible dit : "Ayant touché l'oreille de cet homme, Jésus le guérit." (Luc 22.51)

     

    Il est important de laisser le Seigneur vous toucher dans votre souffrance. Je réalise que certains ont été profondément blessés par des paroles dures et méchantes. Vos oreilles sont brisées et votre cœur saigne. Aujourd’hui, le Seigneur désire poser sa main sur votre blessure afin de vous restaurer. Laissez-le intervenir, il est le grand médecin.

     

    Une prière pour aujourd’hui :

    Seigneur, guéris-moi des paroles blessantes que j’ai reçues et aide-moi en retour à ne plus blesser les gens autour de moi. Amen.

     

     

    Patrice Martorano
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    La cloche

     

     

     

    La cloche

     

     

     

     

    Lecture proposée : Matthieu 16.13-20 

     

    Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur ce roc je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. V. 18 

     

    Jackson rêvait depuis la petite enfance de devenir un « marine », une ambition qui lui a coûté des années de discipline physique et de sacrifices. Il a fini par se soumettre à des tests exténuants de force et d’endurance, y compris ce que les recrues appelaient « la semaine d’enfer ».

     

    Physiquement incapable de terminer sa formation épuisante, Jackson a dû se résoudre à sonner la cloche pour informer son commandant et les autres recrues qu’il choisissait de sortir du programme. Or, la plupart des gens y auraient vu un échec des plus décevants, mais Jackson en est venu plus tard à percevoir son échec militaire comme une préparation à sa carrière.

     

    Mon Dieu, aide-moi à profiter de toute situation, même mes échec,
    pour ton bien et pour t'honorer !

     

    L’apôtre Pierre a vécu sa propre forme d’échec. Il a ensuite déclaré avec courage qu’il resterait fidèle à Jésus, quitte à devoir aller en prison ou à la mort (LU 22.33). Plus tard, par contre, il a pleuré amèrement après avoir nié connaître Jésus (V. 60-62). Il reste que Dieu avait des projets d’avenir pour Pierre malgré son échec. Avant le reniement de celui-ci, Jésus lui a dit : « Et moi, je te dis que tu es Pierre, et que sur ce roc je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (MT 16.18 ; voir aussi LU 22.31-32)

     

    Faites-vous face à un échec qui vous porte à vous croire indigne ou inapte à passer à autre chose ? Ne laissez pas la cloche de l’échec vous rendre sourd aux desseins supérieurs que Dieu a formés pour vous.

     

    Dieu utilise toutes les situations de notre vie, même nos échecs,
    en vue de servir ses desseins parfaits.

     

     

     

    evanmorgan

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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