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    Durant la nuit

     

     

    Durant la nuit

     

     

    " Quand je me souviens de toi sur mon lit, je médite de toi durant les veilles de la nuit ". Psaume 63.6

    Tous ceux qui ont un sommeil normal leur permettant de passer de bonnes nuits peuvent en rendre grâces à Dieu. Tant de personnes souffrent d'insomnies soit d'une manière permanente, soit à cause des soucis qui les accablent ou des maux dont ils souffrent.

    La Bible nous donne le moyen de transformer ces moments qui peuvent être si pénibles en périodes de bénédictions. Le secret pour cela, c'est de détacher nos pensées de nous-mêmes pour les diriger vers le Seigneur Jésus.

    C'est ce que faisait David lorsque, pourchassé impitoyablement par Saül, il traversait une période très difficile. Le souci de fuir son persécuteur devait souvent l'empêcher de dormir, mais il échappait à l'angoisse en se souvenant de l'Eternel et en méditant à son sujet durant la nuit, car, ajoute-t-il : " Tu as été mon secours, et à l'ombre de tes ailes je chanterai de joie " Psaume 63.7

    Pour être occupé du Seigneur pendant ses insomnies, un croyant apprenait par coeur avant de se coucher quelques versets d'un livre de la Bible, qu'il pouvait se répéter intérieurement et méditer lorsqu'il se réveillait durant la nuit...Il avait ainsi, au bout de quelques années, appris plusieurs livres en entier.

    Mais la nuit c'est aussi, au sens figuré, celle au milieu de laquelle se trouve le monde dans lequel nous vivons : une nuit profonde, loin de la lumière divine. Quel est le recours du croyant pour échapper aux angoisses d'une telle nuit ? Penser au Seigneur, se souvenir de lui, méditer de lui, se rappeler les délivrances passées, entrevoir le moment bienheureux de son retour.

    C'est le moyen aussi de ne pas nous laisser aller au sommeil spirituel, dans l'oubli de ce que le Seigneur attend de ses rachetés, et de ne pas céder aux tentations de ceux qui voudraient que nous nous laissions aller à nos passions avec eux.

    Oui, dans cette nuit-là, ne craignons pas les insomnies, mais écoutons au contraire la voix du Seigneur qui nous dit lui-même : " Prenez garde, veillez et priez " Marc 13.33

     

    Extrait de la revue de " Plaire au Seigneur "

     

    Durant la nuit

     

     

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    C'est lui mon rocher et mon salut - Psaumes 62 : 2

     

    C'est lui mon rocher et mon salut - Psaumes 62 : 2

     

     

     

     

     

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    Comment vaincre la peur

     

    Comment vaincre la peur

     

    « C'est par la foi qu'il quitta l'Egypte, sans être effrayé de la colère du roi; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible. » Hébreux 11.27

    La peur est l'une des armes les plus redoutables que l'ennemi utilise pour paralyser et avorter la destinée des enfants de Dieu. La peur est l'une des plus grandes causes d'échec dans la société : peur d'échouer, peur du prix à payer, peur de donner, peur des maladies, peur de tomber dans le péché, peur du diable, peur des critiques, des oppositions, peur de la pauvreté ou peur de la prospérité.

    Les deux plus grandes formes de peur :

    Les deux formes de peur les plus redoutables sont la peur du rejet et la peur de l'échec.

    La peur du rejet vous conduit à ne pas essayer, à vous conformer à la pensée populaire, et à ne jamais vous démarquer. Elle vous pousse à devenir une photocopie des autres. Elle provient de l'amour conditionnel que vous avez reçu de la part de vos parents. Lorsque vous faisiez quelque chose qu'ils désapprouvaient, ils vous retiraient leur amour, et vous l'avez interprété comme un rejet de leur part. Cette crainte d'être de nouveau rejeté vous conduit à rechercher constamment la validation des autres dans tout ce que vous faites. Elle vous conduit à rentrer dans le rang, et à ne surtout pas déranger les traditions établies. Comme l'a si bien exprimé un pasteur récemment, « qui ne dérange pas, se range ».

    Cette peur du rejet s'exprime par les questions suivantes : « que va-t-on penser de moi ? », « et si les autres me rejetaient ? » ou encore " et s'ils ne m'approuvaient pas ? »

    La peur de l'échec, quant à elle, vous conduit à ne surtout pas prendre de risque. Vous voulez changer, aller plus loin, mais la question suivante revient fréquemment dans votre esprit : «qu'est-ce qui prouve que tu réussiras cette fois-ci » ? Ou encore « et si ça ne marchait pas » ?

    La peur vous pousse à remettre constamment au lendemain ce que vous devriez faire aujourd'hui. Elle vous pousse à choisir le statu quo, à rester dans votre zone de confort, en attendant patiemment qu'un jour la chance vous sourie, ou encore que tous les feux soient au vert avant de sortir de vous.

    Vous aurez toujours une bonne excuse derrière laquelle vous cacher pour justifier votre peur, mais sachez que la peur chronique peut devenir une offense envers Dieu. Elle sous-entend que vous considérez que Dieu n'est pas à vos côtés, et qu'Il n'est pas capable de vous faire réussir.

    Les origines de la peur :

    Le développement du courage commence par la compréhension des origines psychologiques de la peur. Tout enfant nouveau-né éprouve seulement deux craintes: la peur de tomber et la peur des bruits (les bruits assourdissants). Toutes les autres formes de peur, que nous éprouvons en tant qu'adultes, sont apprises au fur et à mesure que nous grandissons. Ces peurs proviennent principalement des critiques et des avertissements souvent destructeurs de nos parents, même lorsqu'ils étaient remplis de bonnes intentions.

    Comment se développent les différents types de peur ?

    Lorsqu'un enfant curieux entreprend de faire des choses et qu'il les fait mal, le parent le gronde et le punit, créant en lui une image de peur, qui est liée au fait d'essayer de faire quelque chose de nouveau ou de différent. Lorsque nous sommes adultes, nous l'expérimentons comme la peur d'échouer, de prendre des risques, la peur de commettre une erreur, ou la peur de perdre.

    La peur provient de quelque chose que vous ne voyez pas

    Chaque fois que vous avez peur, cela signifie qu'il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, ou que vous ne voyez pas. La peur provient de l'ignorance.

    Moïse aurait eu toutes les raisons d'avoir peur en se présentant devant Pharaon, roi du monde entier à cette époque. Mais la Bible dit qu'il n'eut pas peur de se présenter devant le roi visible (Pharaon), parce qu'il regardait au Roi invisible, l'Éternel des armées.

    Hébreux 11.27 :

    « C'est par la foi qu'il quitta l'Egypte, sans être effrayé de la colère du roi; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible. »

    Satan est appelé le prince des ténèbres. Le mot « prince » signifie « premier ». Le mot « ténèbres » est également traduit de l'hébreu par « ignorance ». Ainsi, Satan maintient son règne en vous au travers de votre ignorance; il règne dans tous les domaines où vous n'avez pas la connaissance. Mais, lorsque vous découvrez et expérimentez la connaissance de la vérité, vous devenez réellement libre. Jésus a dit : « vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira »

    Jean 8.32 :

    « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. »

    Ce n'est pas la vérité qui affranchit, mais la connaissance de cette vérité. La vérité existe en effet depuis le commencement. Autrement dit, votre ignorance vous coûte très cher. Le mot connaissance ici, de l'hébreu « YADA », implique l'intimité, la communion et la relation étroite.

    Vous ne connaissez véritablement que ce que vous vivez ou appliquez régulièrement. Si vous ne le vivez pas, vous le savez simplement, mais vous ne le connaissez pas encore, puisque ce n'est pas encore votre expérience quotidienne.

    Ne vous laissez pas conquérir par la peur ! Soyez victorieux et non victime de la peur. Regardez au Roi invisible, et non aux montagnes visibles qui se dressent devant vous. Focalisez-VOUS sur les promesses et non sur les problèmes, sur les opportunités et non sur les obstacles. Confessez votre assurance dans la Parole de Dieu, et recevez le courage d'aller de l'avant en regardant à Christ, l'auteur de votre foi et celui qui la mène à la perfection. Je vous suggère les huit étapes suivantes pour vous libérer de l'emprise de la peur :


    1. Réaliser que la peur est une émotion derrière laquelle se cache un esprit 

    2 Timothée 1.7 :

     « Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse. »

    Un esprit de peur est un esprit dont la nature est la peur. Autrement dit, c'est un esprit qui a peur et qui manifeste ce qu'il est. Puisqu'il a toujours peur, si vous demeurez dans la peur, vous l'invitez implicitement, et il manifestera en vous ce qu'il est tout simplement. Comprenez moi bien: avoir peur ne signifie pas être possédé par un esprit de peur. Par contre, si vous demeurez en permanence dans cet état de peur chronique, vous risquez d'attirer à vous cet esprit de peur.

    2. Créer une atmosphère de louange et d'actions de grâce autour de vous par la prière. 

    Dieu siège au milieu de la louange. Il monte aux sons des cris d'allégresse de Son peuple. En face de la peur, faites monter l'intensité de la présence divine en vous par la louange et les actions de grâce. Il y a toujours une intensité de présence divine devant laquelle aucun ennemi ne pourra résister.

    Philippiens 1.4-7 :

    « Ne cessant, dans toutes mes prières pour vous tous, (1-5) de manifester ma joie au sujet de la part que vous prenez à l’Evangile, depuis le premier jour jusqu’à maintenant. Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne oeuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ. Il est juste que je pense ainsi de vous tous, parce que je vous porte dans mon coeur, soit dans mes liens, soit dans la défense et la confirmation de l’Evangile, vous qui tous participez à la même grâce que moi. »


    3. Étudiez et trouvez la Parole de Dieu adaptée à cette situation. 

    Que dit la Bible? Quelles sont les promesses de Dieu adaptées à ce défi qui est devant vous? Dieu a déjà libéré toutes les provisions dont vous aurez besoin pendant votre voyage sur terre. Dieu a fait avec vous une alliance qui contient les promesses (des droits) et des devoirs. La particularité de l'alliance avec Dieu est qu'aucun cas de force majeure ne peut être évoqué pour rompre cette alliance. En d'autres termes, Dieu est lié par ce qu'Il a promis. Mais c'est votre responsabilité de lui rappeler ce qu'Il a déclaré dans les promesses de la nouvelle alliance.

    Esaïe 43.26 :

    « Réveille ma mémoire, plaidons ensemble, Parle toi-même, pour te justifier. »


    4. Confessez de votre bouche ce que vous voulez et non ce que voyez. 

    Proclamez régulièrement et à haute voix ce que vous savez, et non ce que vous sentez. Devant la peur, ce n'est plus le moment de parler à Dieu, mais vous devez vous retourner vers la montagne dressée devant vous pour lui ordonner de disparaître dans le nom de Jésus. Souvenez-vous que Satan ne comprend qu'un seul langage, et c'est celui de la foi violente.

    Proverbes 18.20-21 :

    « C’est du fruit de sa bouche que l’homme rassasie son corps, C’est du produit de ses lèvres qu’il se rassasie. La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; Quiconque l’aime en mangera les fruits. »

    5. Remémorez-vous et comptez vos succès passés.

    Y a-t-il quelque chose que Dieu ait fait dans votre vie hier ? Vous a-t-il délivré de la détresse dans le passé ? Certainement, avec un peu de recul, vous vous apercevrez que Dieu a fait de grandes choses dans votre vie, et que, n'eût été Sa bonté, vous ne seriez pas où vous êtes aujourd'hui. Devant l'adversité d'aujourd'hui, souvenez-vous, comme David, que le même Dieu, qui vous a délivré hier, vous délivrera encore aujourd'hui.

    1 Samuel 17.37 :

    « David dit encore: L'Eternel, qui m'a délivré de la griffe du lion et de la patte de l'ours, me délivrera aussi de la main de ce Philistin. Et Saül dit à David : Va, et que l'Eternel soit avec toi ! »


    6. Attendez-vous à remporter la victoire.

    Jouer pour gagner et jouer pour ne pas perdre fait toute la différence entre un gagnant et un perdant. Lorsque vous avez prophétisé votre victoire, attendez-vous à triompher, car en Christ vous avez déjà triomphé. Ce à quoi vous vous attendez le plus sera ce qui se matérialisera dans votre vie. Ne sous-estimez pas la puissance de l'imagination. Vous devez percevoir le succès pour le concevoir, puis croire avant de pouvoir le recevoir.


    7. Agissez ! Dominez la peur en passant à l'action. 

    L'action produit la réaction, et sans action il n'y a pas de réaction. C'est la phase pratique, au cours de laquelle vous allez apprivoiser cette peur en l'affrontant. Souvenez-vous : le courage n'est pas l'absence de peur, mais l'audace d'affronter ce que vous craignez


    8. Disciplinez vos pensées. 

    Mettez constamment autour de vous ce que vous désirez voir à l'intérieur de vous. Puisque vos pensées sont influencées par ce que vous entendez, disciplinez-vous pour n'écouter autant que possible que ce qui vous édifie. Saturez-vous de paroles positives, assertives, et de paroles de foi. Lisez et écoutez des enseignements, des cassettes de proclamations de la Parole de Dieu (Je vous recommanderai à ce sujet « Prions Ensemble » dont je suis également l'auteur) ou des témoignages de personnes qui ont réussi à vaincre la peur, la procrastination et l'échec. En résumé, nourrissez régulièrement votre esprit de tout ce qui est positif et agréable à Dieu. 


    Le courage n'est pas l'absence de peur, mais l'audace d'affronter ce que vous craignez.

    Philippiens 4.8 :

    « Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. »

     

    Yvan Castanou
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Obtenir la guérison de l’âme

     

     

    ROMAINS 8.33‑39

    Notre société offre de nombreuses « solutions » aux malheureux. Ils peuvent se tourner vers le prestige, l’amour et les substances illégales pour remplir le vide de leur âme, mais le bonheur que ces choses leur apportent est de courte durée. Seule la puissance transformatrice de Dieu peut changer une personne à l’âme brisée en disciple de Christ satisfait, qui a compris sa propre valeur.

    Pour obtenir la guérison de l’âme, on doit d’abord croire en Jésus et le recevoir comme Sauveur; le péché qui nous sépare de Dieu doit être ôté. Puis le Saint‑Esprit nous accorde la force et le courage de nous occuper des déceptions, des blessures et des péchés qui ont pu contribuer à notre impression d’être indignes de l’amour divin.

    La personne dont l’âme est guérie est satisfaite. Elle se sait aimée, ce qui lui permet d’avoir un concept sain de soi et d’aimer les autres. Dans ce bas monde, les épreuves sont inévitables, mais cette personne arrivera à les surmonter sans céder au mécontentement et sans reprocher ses malheurs à d’autres, car elle sait que Dieu lui a promis de tout faire concourir à son bien (Ro 8.28). 

    Les gens brisés connaissent une expérience fort différente. Ils peuvent sembler heureux tout en se débattant à l’intérieur. C’est le cas de certains chrétiens qui n’ont pas fait l’expérience de l’amour de Dieu. J’ai exercé le pastorat pendant des décennies avant de ressentir l’amour du Père. Cette vérité m’a véritablement guéri.

    Le Seigneur peut manifester son amour aux croyants qui le lui demandent, et il le fera. Par ce moyen, ils seront guéris.

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Un père qui court

     

    Un père qui court

     

     

    Lecture proposée :  Luc 15.11-24 

    Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. Luc 19.10

    Chaque jour, un père s’étirait le cou pour voir la route qui s’étendait au loin, dans l’attente du retour de son fils. Et chaque soir, il allait se coucher déçu. Un jour, par contre, une silhouette solitaire s’est dessinée à l’horizon, contre le ciel cramoisi. Se pourrait-il que ce soit mon fils ? s’est demandé le père. C’est alors qu’il a reconnu sa démarche nonchalante. Oui, c’est sûrement mon fils !

    Et tandis que le fils «était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et l’embrassa» (Lu 15.20). C’est remarquable que ce patriarche familial ait fait quelque chose que l’on considérait comme indigne de lui dans la culture moyen-orientale de l’époque, en courant à la rencontre de son fils. Le père était fou de joie de voir ce dernier rentrer à la maison.

    Le fils ne méritait pas qu’on lui réserve un si bon accueil. Lorsqu’il avait demandé sa part d’héritage pour ensuite quitter la maison, c’était comme s’il avait souhaité la mort de son père. En dépit de tout ce que le fils avait fait à son père, il demeurait néanmoins sa chair et son sang (v. 24).

    Cette parabole me rappelle que Dieu m’accepte en raison de sa grâce, et non de mes mérites. Elle m’assure que je ne tomberai jamais assez bas pour que la grâce de Dieu ne puisse m’atteindre. Notre Père céleste n’attend que de courir vers nous les bras grands ouverts. — Poh Fang Chia

    On mérite le châtiment et la colère de Dieu, mais on obtient son pardon et son amour.
    Philip Yancey

     

     

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Des pas dans le sable

      

     

    Une nuit, un homme fit un songe.

    Il rêva qu’il marchait en compagnie de Jésus, sur la rive.

    A chaque scène, il remarquait une double trace de pas dans le sable,  la sienne et celle de Jésus.

     

    Quand la dernière image s’effaça, il repensa aux traces de pas et s’aperçut qu’à diverses reprises, le long du sentier,

    il n’y avait qu’une trace de pas dans le sable.

    Il se rendit compte que cela correspondait aux moments les plus sombres de sa vie.

     

    Il s’adressa à Jésus :

     

    « Seigneur, dit-il,

       Tu m’avais dit que tu m’accompagnerais tout le long de ma route.

       Mais je constate qu’aux heures les plus pénibles de ma vie,

       Je ne puis voir qu’une seule série d’empreintes sur le sable.

       Je ne comprends pas qu’au moment où j’avais le plus besoin de toi, tu m’aies délaissé. »

     

    Jésus lui répondit :

     

    « Mon enfant, je t’aime et je ne saurais t’abandonner.

       Aux jours d’épreuves et de souffrances, quand tu ne vois

       qu’une seule trace de pas, c’est qu’alors je te portais. »  

     

     

    Margaret Fishback Powers   

                                                                                        

     

     

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    Partout, l'amour de Dieu règne

     

     

    Partout, l'amour de Dieu règne

     

     

    Au-delà du plus profond des océans

    Au-delà de la montagne au plus haut sommet

    Au-delà du minuscule ou du géant

    Au-delà de l’unique ou des milliers

     

    Au-delà de la ligne d’horizon

    Au-delà de toute frontière

    Au-delà du temps et des saisons

    Au-delà des quatre coins de l’univers

     

     

    Au-delà du froid des glaciers

    Au-delà de la chaleur des déserts

    Au-delà de la solitude des mers

    Au-delà des lieux surpeuplés

     

     

    Au-delà de l’obscurité de la nuit

    Au-delà de la clarté de la lumière

    Au-delà de la brise douce et légère

    Au-delà de la violence du tonnerre et de la pluie

     

     

    Partout règne ton amour

    Partout ta bonté se révèle

    A chaque instant, de nuit comme de jour

    Ta tendresse pour nous est éternelle

     

    Au-delà de la solidité du rocher

    Au-delà de la fragilité de la fleur

    Au-delà du silence

    Au-delà des bruits

    Au-delà de tout, ton affectueuse présence

    Nous garde et nous conduit

     

     

    Lilia Isabelle Gabrielle Lael Itai

    30.06.2017

     

     

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    Ronde Versets du coeur 106

     

    Ronde Versets du coeur 106

     

    Ronde Versets du coeur 106

     

    Ronde Versets du coeur 106

     

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    La gestion de la colère (1 à 5)

     

     

    La gestion de la colère (1)

     

    «Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas» Ep 4.26, BFC

    Pour cela la Bible a un plan : « Il faut vous laisser complètement renouveler dans votre cœur et votre esprit. Revêtez-vous de la nouvelle nature, […] qui se manifeste dans la vie juste et sainte qu’inspire la vérité. C’est pourquoi, rejetez le mensonge ! Que chacun dise la vérité à son prochain, car nous sommes tous membres d’un même corps. Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas ; que votre colère s’apaise avant le coucher du soleil. Ne donnez pas au diable l’occasion de vous dominer. […] Qu’aucune parole mauvaise ne sorte de votre bouche ; dites seulement des paroles utiles, qui répondent à un besoin et encouragent […]. N’attristez pas le Saint-Esprit que Dieu vous a accordé […]. Chassez loin de vous tout sentiment amer, toute irritation, toute colère […]. Abstenez-vous de toute forme de méchanceté. […] Pardonnez-vous réciproquement, comme Dieu vous a pardonné par le Christ » (v.23-32). Dieu vous a donné tous les sentiments que vous éprouvez, y compris la colère. Mais il veut que vous en fassiez bon usage. Dites la vérité. Ne niez jamais votre colère, mais utilisez-la pour un changement positif. Dites : « Je me suis fâché parce que je tiens beaucoup à notre relation et j’aimerais en parler ». La solution viendra d’elle-même. Quand vous êtes furieux, prétendre le contraire est foncièrement malhonnête. C’est comme l’outrance : « Tu ne m’écoutes jamais… Tu ignores toujours mes attentes… Personne ne fait rien ici, à part moi. » Tout cela est faux et ne fait qu’aggraver le problème et le rendre insoluble. Dieu veut que vous contrôliez votre colère au lieu de vous laisser contrôler par elle.

     

     

    La gestion de la colère (2)

     

    «Mes entrailles tressailliront de joie, quand tes lèvre diront ce qui est droit». Pr 23.16

    Pour gérer la colère, voici deux règles bibliques importantes. 

    1) N’accusez rien ni personne. C’est une façon de fuir vos responsabilités que d’accuser en pointant votre doigt ailleurs. « Si seulement tu n’étais pas toujours en retard, je n’aurais pas à te faire des reproches », ou « Si tu arrêtais de me faire des reproches, j’arriverais peut-être à l’heure. » Ce genre de phrases n’aident pas, ne font que braquer l’autre contre vous, prolonger votre colère, et vous faire manquer le but recherché. 

    2)  Ne prenez pas les mots pour des armes ou une forme de manipulation. Contrôlez plutôt vos émotions et exprimez-les de façon saine. N’oubliez pas, votre but est de résoudre le problème et de fortifier la relation, non de laisser la plaie s’infecter. Et comme ce n’est pas facile à faire, vous avez besoin de l’aide de Dieu. La Bible dit que vos paroles peuvent abattre l'esprit des autres, leur briser le coeur (voir Pr 15. 4), et détruire les relations. Salomon a dit que les paroles méchantes "descendent jusqu'au fond des entrailles" (Pr 26.22). Ce que vous dites peut rester gravé à tout jamais dans la mémoire d’une autre personne, jusqu’à l’emporter dans sa tombe. C’est ce que vous voulez ? Certainement pas ! À l’inverse, une colère bien maîtrisée n’a jamais besoin de regrets ou de repentance. Apprenez à voir la différence entre la colère que vous ressentez et les paroles que vous prononcez. La colère peut vous révéler ce qui doit changer dans vos relations. Alors demandez à Dieu de vous montrer les changements nécessaires, d’abord en vous-même, puis chez l’autre

     

    La gestion de la colère (3)

     

    "C'est de l'abondance du coeur que la bouche parle" Luc 6.45

    D'une seule seule touche sur votre clavier, vous pouvez retrouver ce que vous avez stocké sur votre disque dur. Jésus a dit : « L’homme bon tire le bien du bon trésor de son cœur, et le mauvais tire le mal de son mauvais trésor, car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle ». Plus vous téléchargez de vieilles rancunes, plus vous devenez amer. Occupez-vous de votre colère sans tarder. Ne la laissez pas vous cuire à petit feu. Et ne restez pas planté(e) là dans l’espoir que l’autre personne va vous pardonner dans un éclair de lucidité. Et s’ils ne le faisaient jamais ? Jésus conseille : « Si ton frère a péché, va et reprends-le seul à seul » (Mt 18.15).

    Qu’est-ce qui compte le plus pour vous : votre point de vue ou la relation ? Lorsque vous stockez votre colère et refusez de traiter le problème de façon saine, vous ajoutez un autre squelette dans votre placard à émotions. Imaginez l’effet produit sur vous. Les médecins disent que les ressentiments provoquent des ulcères à l’estomac, attaquent votre système immunitaire, et vous prédisposent aux problèmes cardiaques, aux cancers et autres désordres physiques et moraux. Et ce n’est pas tout ! Ils rongent votre esprit, pompent votre énergie et paralysent votre créativité. Ils abîment vos liens avec Dieu, votre famille et vos amis, tout comme ils interdisent à vos offenseurs de trouver l’occasion de laver leur conscience et d’arranger les choses avec Dieu et vous. Si vous ne faites rien, vous traînerez le problème comme un boulet. Refusez de vivre ainsi ! Demandez à Dieu l’humilité et le courage de régler le problème, aujourd’hui.

     

     

    La gestion de la colère (4)

     

    "Qu'ils ne sorte de votre bouche aucune parole malsaine" Ep 4.29

    La Bible dit : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole malsaine, mais s’il y a lieu, quelque bonne parole qui serve à l’édification nécessaire et communique une grâce à ceux qui l’entendent. N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption » (v.29-30). Eh oui, lorsque votre colère se déchaîne, non seulement vous blessez l’autre, mais vous attristez le Saint-Esprit. En étiez-vous conscient(e) ? Comme disciples de Christ, nous sommes appelés à tenter de comprendre les besoins d’autrui. Ça veut dire ne pas rappeler des offenses déjà confessées, ne pas se mêler de tout ou faire des réflexions sur le poids, la couleur, le QI, ou les limites physiques et mentales des gens. N’évoquez rien de ce qui peut vous empêcher de parvenir à la solution. Et n’élevez pas la voix dans le but d’intimider ou de manipuler. Dieu vous a donné la capacité de vous mettre en colère. Bien utilisée, elle peut devenir le catalyseur qu’il vous faut, et le bon remède pour une guérison. Alors : 

    1) cherchez une solution, pas une « victoire ». Les insultes et les reproches ne font qu’aggraver les choses. Ne vous focalisez pas sur ce qu’il ou elle a fait, mais sur ce que vous pouvez faire ensemble pour tout arranger. 

    2) reconnaissez vos défauts et demandez pardon. Admettez vos imperfections et il sera plus facile aux autres d’admettre les leurs. 

    3) pour chaque problème que vous soulevez, faites un compliment sincère. Au lieu de critiquer, dites : « Je sais que c’est dur à entendre. Merci de m’écouter avec tant de grâce. » La solution vaut toujours mieux que le blâme

     

     

    La gestion de la colère (5)

     

    "Un homme digne de confiance garde tout pour lui" Pr 11.13 BFC

    Pour gérer votre colère, voici deux choses à retenir. 

    1) Ne lavez pas votre linge sale en public. Laissez-le dans la buanderie. Lorsque vous êtes blessé(e) et en colère, il est naturel de vouloir calomnier votre offenseur. Ne le faites pas. La Bible dit : « Celui qui parle à tort et à travers trahit aussi les secrets. Un homme digne de confiance garde tout pour lui ». Il y a deux façons d’étaler son linge sale. D’abord par l’embarras. Vous parlez quand vous savez que l’autre pourra entendre. Ensuite par la subtilité. Vous plaisantez sur son aspect, ses amis, sa famille, ses complexes et ses travers afin de rabaisser l’autre. Résultat, la personne est gênée, le fossé se creuse entre vous, et la réconciliation devient impossible. La Bible dit que "l'amour couvre toutes les fautes" (Pr 10.12).

    2) n’agissez pas comme les païens. Par exemple, ne dites pas : « Il l’a bien cherché, qu’il se débrouille ! » C’est sans doute vrai, mais en qualité de disciple du Christ, ne fuyez pas devant une plaie qui s’infecte. «Faites-vous grâce réciproquement, comme Dieu vous a fait grâce en Christ» (Ep 4.32) Comment Christ vous a-t-il pardonné ? Était-ce après vous avoir confessé, repenti et mérité la grâce ? Non.  Paul dit : « Lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils» (Ro 5.10) Puisque Dieu a pris l’initiative, vous êtes appelé(e) à étendre cette grâce aux autres gens avant qu’ils ne demandent pardon. Et même s’ils choisissent de rester vos ennemis, vous devez leur pardonner malgré tout. Alors seulement vous aurez la paix, vos blessures seront guéries, et vous serez capable d’oublier.

     

    Bob Gass

     

     

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