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    Ronde Versets du coeur 457

     

    Ronde Versets du coeur 457

     

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    Mon Dieu est proche

     

     

     

    Mon Dieu est proche

     

     

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Philippiens 4.4-7 

     

    Le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu. Philippiens 4.5,6

     

    Pendant plus de trente ans, Lourdes, professeur de chant à Manille, avait enseigné à ses élèves face à face. Quand on lui a demandé de donner ses cours en ligne, elle s’est sentie anxieuse et a dit : « Je ne suis pas bonne en informatique. Mon ordinateur est vieux, et je connais mal les plateformes de vidéoconférence. »

     

    Bien que cela ait pu sembler insignifiant pour certains, c’était une véritable source de stress pour elle : « Je vis seule, alors je n’ai personne pour m’aider. Je crains que mes élèves décrochent, et j’ai besoin de ce revenu. »

     

    Avant chaque cours, Lourdes priait pour que son portable fonctionne correctement. Elle a déclaré : « Philippiens 4.5,6 me servait d’écran de fond ; je me suis accrochée à ces mots. »

     

    Paul nous exhorte à ne nous inquiéter de rien, car « le Seigneur est proche » (PH 4.5). Nous pouvons nous raccrocher à la promesse de la présence de Dieu. Nous reposant dans sa proximité, soumettons-lui tout par la prière, et sa paix gardera notre cœur et notre esprit en Jésus-Christ (V. 7).

     

    « Dieu m’a conduite à consulter des sites Web qui m’ont aidée à résoudre mes problèmes informatiques. Il m’a aussi donné des élèves patients qui comprenaient mes limitations en matière technologique », a indiqué Lourdes. Nous pouvons jouir de la présence, de l’aide et de la paix de Dieu en le suivant jour après jour. Nous pouvons déclarer avec assurance : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous » (V. 4).

     

    En quoi le fait de savoir que Dieu est proche vous donne la paix ? Quelles requêtes précises pouvez-vous lui présenter ?

     

    Seigneur, merci de rester près de moi. Grâce à ta présence, à ton aide et à ta paix empreintes d’amour, je n’ai rien à craindre.

     

     

    Karen Huang

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Alors le diable le laissa

     

     

    Alors le diable le laissa

     

     

    “Alors le diable le laissa. Et voici que des anges s’approchèrent de Jésus et Le servirent.” Mt 4. 11 

    Jésus, ayant choisi d’accomplir la volonté de Son père, a vécu toute la réalité de la nature humaine. Il a eu faim (Mt 4. 3) et on peut imaginer qu’après 40 jours et 40 nuits passés dans le désert Il a eu soif et Il s’est senti fort probablement assez sale ! La vie est ainsi, nous vivons des périodes de tentation, d’éloignement, de “manques” physiques ou émotionnels. Parfois nous avons faim, soif ou nous nous sentons sales, ou “brûlés” par le soleil. Jésus venait d’être publiquement reconnu par Dieu le Père comme le Fils de Dieu et de recevoir l’onction du Saint Esprit nécessaire pour accomplir Son ministère.

    Néanmoins Dieu n’a pas laissé Jésus seul pendant cette épreuve. Nous lisons : “Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert oùIl passa 40 jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages et les anges Le servaient” (Mc 1. 12). Pendant ce temps de dure épreuve Jésus avait besoin que les anges Le servent. Les Ecritures déclarent:“Comme Il a souffert Lui-même lorsqu’Il a été tenté, Il peut secourir ceux qui sont tentés” (He 2. 18). Jésus ne pouvait pas pécher à cause de Sa nature divine, néanmoins Il était humain et donc Il a souffert dans Sa nature humaine, par conséquent Jésus reconnait nos besoins physiologiques et mentaux. C’est pourquoi Il nous fait la promesse de nous garder face à la tentation (Ap 3. 10).

    Ne croyez pas être tout seul à faire face à la tentation. Et ne pensez pas être démuni et sans moyens de vous défendre. Dans chaque tentation Jésus a pu trouver, dans la Parole de Dieu, les ressources nécessaires pour y faire face. Satan est un menteur. Il veut toujours nous éloigner du plan de Dieu pour notre vie en offrant des“raccourcis”aux promesses de Dieu. Rappelons-nous :“Ce n’est pas contre l’homme que nous avons à lutter, mais contre les puissances, contre les autorités, contre les souverains de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu afin de pouvoir résister dans le jour mauvais et tenir ferme après avoir tout surmonté” (Ep 6. 12-13). Persévérez et résistez, c’est la seule solution ! Jésus intercèdera pour nous et Ses anges seront déployés en notre faveur. Dieu tient toujours Ses promesses !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    En cas d’attaque (1 à 6)

     

     

    En cas d’attaque (1)

     

     

    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19
    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19

     

    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19 

    C’est au début d’une agression que l’on fait les plus grandes erreurs, car on est pris au dépourvu. La surprise est l’une des armes préférées du diable, alors voici quatre atouts à utiliser en cas d’attaque. 1) Ne pas paniquer. Suivre les propos du Psalmiste : « Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu » (Ps 46.11). Ça veut dire que Dieu est là, pleinement conscient du problème, et qu’il a la solution. Il suffit d’être sensible et réactif à la voix du Saint-Esprit (voir Jn 16.13). Ne pas oublier que le temps est un allié. La patience est une arme qui fait remonter à la surface la vérité et les motivations. 2) Analyser la situation. Salomon a dit : « Lorsque tout va bien, soyons heureux ; lorsque tout va mal, réfléchissons » (Ec 7.14, BFC). Parfois, ce qui ressemble à une crise n’est qu’un trop plein d’informations. En prenant le temps de l’analyser, on en retire du profit. 3) Demander conseil. Salomon affirme : « Un peuple périt quand il n’est pas dirigé ; un grand nombre de conseillers assure la victoire » (Pr 11.14, BFC). L’ignorance est une ennemie, la connaissance une alliée. Quelqu’un quelque part sait ce qu’il est vital de savoir pour survivre et surmonter un chapitre douloureux. Il faut juste chercher. 4) S’attendre à ce que Dieu agisse. La Bible dit : « Quand l’adversaire viendra comme un fleuve, l’Esprit de l’Éternel le mettra en fuite ». L’Ennemi attaque souvent quand je progresse. Je peux me réjouir de ce que Dieu me regarde aujourd’hui. Il est satisfait de moi, et il va me faire traverser cette épreuve. 

     

     

     

    En cas d’attaque (2)

     

    « Voici la victoire qui triomphe du monde : notre foi » 1 Jean 5.4

    L’Ennemi nous agresse car il cherche à voler les bénédictions que Dieu nous accorde. Dans ce cas, il y a trois choses à faire. 1) Se lever et riposter. On est parfois tenté de battre en retraite, se montrer timide et passif. Mais un animal blessé invite à l’attaque. Satan aime les gens timides et craintifs, mais les vrais combattants l’intimident. Il faut donc être audacieux et revendiquer la promesse : « Résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Ja 4.7). 2) Se servir de toutes ses armes. La Bible dit : « Les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes devant Dieu, pour renverser des forteresses » (2Co 10.4). La prière est une arme du quotidien. Et plus elle est collective, plus elle est efficace. Une personne seule ne peut pas démultiplier la foi. Celle-ci grandit dès que plusieurs se réunissent. (voir Mt 18.19). Il faut s’entourer de bons intercesseurs, car ils ont de l’influence auprès de Dieu. De même l’Écriture est une arme : « Prenez […] l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu » (Ep 6.17). Découvrez ce que la Parole de Dieu dit de votre situation, puis prenez cette épée pour couper la tête de l’Ennemi. 3) Prendre du recul. Voir au-delà du moment présent. Après l’adversité viennent les bénédictions et les faveurs. Une vue d’ensemble est donc nécessaire. Paul, qui a souffert d’interminables attaques, a dit : « Un moment de légère affliction produit pour nous au-delà de toute mesure un poids éternel de gloire » (2Co 4.17). Bref, aujourd’hui vous pouvez gagner.

     

     

    En cas d’attaque (3)

     

    « Nous sommes pressés de toute manière, mais non écrasés » 2 Corinthiens 4.8

    Satan vous attaque en tout temps, en tout lieu. Pour le vaincre, suivez ces quelques principes bibliques éprouvés. 1) Surveillez vos pensées. Vous ne serez jamais vaincu(e) tant que vous serez victorieux dans votre esprit. Les pensées sont la source de tous les actes. Satan le sait, et il essaiera de les disperser et vous empêcher de vous concentrer sur ce qui est important. Ne le laissez pas faire. Restez vigilant(e). Ésaïe affirme : « Son cœur est ferme. Toi, Seigneur, tu le gardes en paix, car il te fait confiance » (Esa 26.3, BFC). 2) Aimez les gens, mais faites confiance à Dieu. Le Psalmiste dit : « Mieux vaut se réfugier en l’Éternel que se confier à l’homme » (Ps 118.8). Pour vous faire du mal, Satan utilise souvent des gens de votre entourage. Tous ceux qui tentent de contrecarrer la volonté de Dieu dans votre vie sont vos ennemis, alors identifiez ces personnes et évitez-les. Dieu n’a jamais demandé de faire confiance aux gens ; il préconise de les aimer et de lui faire confiance. Comprenez la différence, car votre victoire en dépend. 3) N’abandonnez jamais. Jésus a dit : « Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière, n’est pas bon pour le royaume de Dieu » (Lu 9.62). Vos rêves et vos objectifs valent tous les combats, tous les prix et toutes les périodes d’attente. Votre foi est ce qui vaincra Satan. Pour Joseph, chaque jour d’adversité n’était qu’un pas de plus vers le trône. Alors, continuez à marcher et à croire, car la victoire est devant vous !

     

     

    En cas d’attaque (4)

     

    « Si tu perds courage au jour du péril, ton courage est bien faible » Proverbes 24.10, BFC

    Voici quelques conseils supplémentaires pour parer les attaques de Satan 1) Soyez fort. La vie est une suite de batailles. Arrangez-vous pour en faire une collection de victoires. La Bible dit : « Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde » (1Jn 4.4). Puisez en vous la force de Dieu. Allez‑y, il a hâte de vous montrer ce qu’il peut faire pour vous. Lisez Paul : « Dieu lui-même a dit : je ne te délaisserai pas ni ne t’abandonnerai. C’est pourquoi nous pouvons dire avec courage : le Seigneur est mon secours ; je n’aurai pas de crainte. Que peut me faire un homme ? » (Hé 13.5–6). Si Dieu le dit, on peut l’affirmer d’autant plus avec hardiesse ! Il y a de la puissance dans sa Parole si on la prononce avec foi et on agit en fonction d’elle. 2) Laissez-vous guider par la sagesse de Dieu. Jésus a dit : « Mettez-vous donc dans l’esprit de ne pas préméditer votre défense, car je vous donnerai une bouche et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront résister ou contredire » (Lu 21.14–15). Dieu vous a donné le ticket gagnant : vos lèvres et sa sagesse. Quand vient l’inattendu, le Saint-Esprit en vous parlera par votre bouche. Laissez-le vous guider. 3) Faites confiance à Dieu pour mettre un terme à l’attaque. La Bible dit : « C’est lui qui fait cesser les combats jusqu’au bout de la terre » (Ps 46.10). Dieu est en contrôle. Il est plus grand que tous vos ennemis, et vous êtes dans ses pensées en ce moment même. Il voit vos larmes, vos peurs et votre douleur et il agira en votre faveur.

     

     

     

    En cas d’attaque (5)

     

    « Avec nous l'Éternel, notre Dieu, qui nous aidera et qui soutiendra nos combats » 2 Chroniques 32.8

    La nouvelle naissance crée une bataille entre l’ancienne et la nouvelle nature. Il faut donc apprendre à combattre la première. Voici trois stratégies supplémentaires pour y parvenir. 1) Remplir son esprit de l’Écriture. David a dit : « Sans ta loi, qui me ravit, la misère aurait eu raison de moi » (Ps 119.92, BFC). L’esprit est un terreau dans lequel pousse ce que l’on y sème, le bon comme le mauvais. Si on y plante des paroles prononcées par Dieu, on sème de l’énergie, de la vie et de l’espoir dans le cerveau. La Parole de Dieu est comme un vaccin. Elle dépouille Satan de son pouvoir d’inspirer la peur et l’incrédulité. Le Psalmiste a dit : « La loi de son Dieu est dans son cœur ; ses pas ne chancellent pas » (Ps 37.31). 2) Prendre soin d’autrui. La Bible dit : « Tandis que Job priait pour ses amis, le Seigneur le rétablit. Il doubla même les biens que Job avait possédés » (Job 42.10, BFC). Est-ce si bizarre ? Sans doute dans le monde des hommes, mais pas dans le royaume de Dieu. Chaque personne peut être la solution aux problèmes d’autrui, et si elle s’en occupe, Dieu s’occupera d’elle (voir Ep 6.8). Alors essayez-le. 3) Ne pas oublier que les temps changent. David a dit : « Le soir arrivent les pleurs, et le matin la jubilation » (Ps 30.6). Cette attaque ne va pas durer, demain il fera jour ! Les gens et les situations évoluent. C’est le moment de croire que Dieu va arranger les choses. Il l’a promis et il le fera.

     

     

    En cas d’attaque (6)

     

    « J'ai combattu le bon combat » 2 Timothée 4.7

    Si vous subissez une attaque, voici trois ultimes points à retenir. 1) Vous n’êtes pas un cas unique. Dans une lettre à des croyants persécutés, l’apôtre Pierre a dit à propos de Satan : « Résistez-lui, fermes en la foi, et sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde » (1P 5.9). On est tous sur le même champ de bataille, mais le Diable aimerait vous convaincre que vous êtes la seule personne à avoir vécu une telle expérience. Ainsi, avec un sentiment d’échec, vous vous couperez de la force et du soutien que procure la communion avec d’autres croyants. Ne tombez pas dans le piège qu’il vous tend. 2) Supprimez tous les obstacles du passé. Jean écrit : « Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu » (1Jn 3.21). Nous péchons tous. L’erreur est d’essayer de le cacher, car Salomon l’a dit : « Celui qui dissimule ses fautes ne réussit pas » (Pr 28.13). Si vous luttez en vain, demandez à Dieu de vous montrer votre point faible, faites appel à sa grâce et relevez le défi. 3) N’abandonnez pas. Tout le monde peut commencer un marathon, mais seul un champion le termine. Paul écrit : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi » (2Ti 4.7). On a tous des combats. Mais ce sont ceux qui restent forts jusqu’au bout qui sont récompensés. Alors, à votre rythme, décidez d’aller jusqu’au bout. Étudiez la vie de personnes comme David, Esther, Deborah et Paul. Rappelez-vous que leur Dieu est votre Dieu, et qu’il vous a promis la victoire

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Se voir comme Dieu nous voit

     

     

     

    Se voir comme Dieu nous voit

     

     

     

     

     

    L’Éternel se tourna vers lui (Gédéon), et dit : Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian ; n'est-ce pas moi qui t'envoie ? Juges 6.14

     

    Vous êtes-vous déjà demandé comment Dieu vous voit ? Vous juge-t-il comme certains pères avec leurs enfants, comme :

     

    • des bons à rien
    • des paresseux
    • avec leurs échecs
    • accomplissant difficilement leurs destinées

     

    Vous seriez étonné de savoir qu'au contraire Dieu nous voit continuellement :

     

     

    Si Dieu a inscrit dans nos livres de vie de bonnes œuvres préparées d'avance (Ephésiens 2.10 ; Psaume 139.16), c’est qu’il nous a aussi dotés des capacités de les réaliser à 100% !

     

    On le voit clairement avec tous les personnages bibliques. Gédéon, Moïse, Josué, Joseph, etc. Quand Dieu leur ordonne de faire une chose, ils répondent régulièrement en pointant du doigt leurs incapacités.

     

    Il en est tout autrement avec Dieu. Méditez cela un instant : depuis le lieu où il se trouve, Dieu le Père n'a jamais expérimenté le moindre doute, le moindre manque ou la moindre faiblesse. Sinon il ne serait pas Dieu. Non, quand Dieu nous ordonne quelque chose, il ne lui viendrait jamais à l'idée que nous pourrions échouer. Il nous voit l’accomplir avec un plein succès !

     

    Allez-vous vous repentir de votre incrédulité et vous voir comme Dieu vous voit ? La Bible est claire à ce sujet :

     

    "Toutes choses sont possibles à celui qui croit." (Marc 9.23)
    "Dieu pourvoira à tous vos besoins conformément à sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ." (
    Philippiens 4.19)
    Dieu "peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons." (Ephésiens 3.20)
    "Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir." (
    Marc 11.24)

     

    Tout comme pour Gédéon, j'aimerais vous lancer ce fort encouragement de la part du Seigneur : "Vaillant héros, vaillante héroïne, va avec la force que tu as ! Tu es capable et tu vas accomplir à 100% ta destinée en Jésus Christ."

     

     

    David Nolent
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Dieu peut supprimer mon passé (1 à 3)

     

     

     

     

    Dieu peut supprimer mon passé (1) 

     

     

    « Il a effacé l'acte rédigé contre nous » Colossiens 2.14 

     

    Paul dit à propos de Jésus : « Il a effacé l’acte rédigé contre nous […] Il l’a supprimé, en le clouant à la croix ». Effacé, supprimé, voilà des termes explicites et définitifs. Vous est-il déjà arrivé d’être presque arrivé au bout d’un projet et de souhaiter pouvoir le recommencer ? Si vous repeignez votre salon et prenez du recul pour comparer sa couleur avec celle du nuancier, elle n’aura pas le même aspect que celui-ci. Vous aimeriez pouvoir recommencer. Beaucoup de gens ressentent la même chose dans la vie, comme le décrit un auteur : « J’ai fait tellement d’erreurs. J’aimerais pouvoir les effacer et repartir à zéro. » Les échecs, les problèmes, les mauvaises décisions, tout le monde en a souffert. Mais certaines personnes ne parviennent pas à oublier le passé, et le laissent donc limiter leurs possibilités actuelles. Elles vivent dans un état de regret constant, à toujours se lamenter : « Si seulement j’avais pu agir autrement ! » Elles se remettent sans cesse en question. Elles sont tourmentées par des souvenirs douloureux : « J’ai tout gâché et je vais le payer pour le reste de ma vie. » Je peux choisir de me sentir coupable, mais je n’y suis pas tenu(e) ! Au moment où je mets ma confiance en Christ, il efface le récit de mon passé. En fait, je n’ai plus de passé, rien qu’un avenir ! Je peux déposer une fois pour toutes le fardeau de mes vieilles blessures. Jésus s’en est chargé « en le clouant à la croix ». Dieu l’a promis : « Je ne me souviendrai plus de tes péchés » (Esa 43.25). Il faut le croire ! 

     

     

      

     

    Dieu peut supprimer mon passé (2) 

     

     

    « Je pardonnerai leur faute et je ne me souviendrai plus de leur péché » Jérémie 31.34 

     

    Observez un enfant qui s’amuse avec une ardoise magique. Dès qu’il commet une erreur dans le dessin, il peut juste la retourner pour tout effacer et recommencer à l’infini. C’est ainsi que Dieu gère mes fautes. Il nettoie l’ardoise. Il ne se souviendra plus de mon péché. C’est sans doute l’une des plus merveilleuses affirmations de la Bible : Dieu oublie ! Lorsque j’avoue ma faute et demande à Dieu de me pardonner, il annule mon passé. Il choisit d’oublier mes torts et mes échecs. Même si je meurs ce soir, et face à Dieu dans le ciel je lui parle d’un péché que j’aurais commis hier, il dirait : « Quel péché ? » Lorsque je nie mon péché, je refuse à Dieu la joie de me pardonner. Si je tente de le justifier, Dieu permet que les conséquences en deviennent si douloureuses que j’aurais hâte de m’en détourner. Mais si je le lui confesse, la Bible dit : « Nous pouvons avoir confiance en Dieu, car il est juste : il pardonnera nos péchés et nous purifiera de tout mal » (1Jn 1.9, BFC). Le fils prodigue a brisé le cœur de son père, dilapidé son héritage pour finir dans la fange parmi les cochons. Mais c’est alors que commence l’histoire de sa rédemption et de son retour : « Rentré en lui-même, il se dit : combien d’employés chez mon père ont du pain en abondance, et moi ici, je péris à cause de la famine. Je me lèverai, j’irai vers mon père et lui dirai : père, j’ai péché contre le ciel et envers toi » (Lu 15.17–18). Le père s’est réjoui et lui a pardonné. Aujourd’hui, Dieu fera de même pour celui ou celle qui reviendra vers lui. 

     

     

     

    Dieu peut supprimer mon passé (3) 

     

       

    « Tout est accompli » Jean 19.30 

     

    « Tout est accompli » est une des dernières paroles de Christ sur la croix. En grec, cette phrase se résume en un seul mot, « tetelestai », qui signifie « payé en totalité ». C’est le terme que les marchands notaient sur une facture soldée. On l’apposait aussi sur un document annonçant qu’une peine de prison avait été effectuée. Jésus a payé le prix en totalité pour chaque péché que j’ai pu commettre ! La Bible affirme : « Il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ » (Ro 8.1, BFC). Et si Dieu oublie mon péché à la seconde où je le confesse, ne devrais-je pas l’oublier moi aussi ? Une fois que j’ai payé une facture, je la range dans mes archives et je n’y pense plus. De la même façon, depuis que Jésus a payé la facture de mes péchés en totalité, je peux l’oublier. Paul, qui se décrit volontiers comme le premier des pécheurs (voir 1Ti 1.15), a dit : « Oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ-Jésus » (Ph 3.13–14). On peut passer à côté de la puissance de Dieu si on ne croit pas en son pardon. Et tout ça pour une question d’éducation. Les parents ont toujours dit : « Je te pardonne », mais ils revenaient constamment à la charge. Bonne nouvelle : le Père céleste est différent des parents terrestres. Quand il pardonne un péché, il efface le dossier, annule le passé, et l’oublie à jamais. Alors, aujourd’hui, j’accepte son pardon. Et si j’en ai besoin, je me pardonne et j’avance. 

     

      

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dieu peut supprimer mon passé (1 à 3)

     

     

     

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    Les leçons de la tempête

     

     

     

    Les leçons de la tempête

     

     

     

     

     

    La barque était déjà au milieu de la mer, battue par les vagues, car le vent était contraire. Matthieu 14. 24

     

    Tôt dans la soirée, avant que le soleil soit couché, le Seigneur Jésus a fait monter ses disciples dans une barque pour qu’ils le précèdent “sur l’autre rive” (v. 22). Ils passent une nuit pénible à lutter contre les vagues et les vents contraires, qui les empêchent d’avancer et les menacent. C’est alors, “à la quatrième veille de la nuit” (de 3 à 6 heures du matin), que le Seigneur leur apparaît. Ils luttaient donc déjà depuis de nombreuses heures pour essayer d’atteindre l’autre rive du lac lorsque Christ vient vers eux, “marchant sur la mer” (v. 25).

     

    Ce récit présente plusieurs leçons que nous pouvons apprendre au sujet des orages de la vie :

     

    1 – Tout d’abord, c’est le Seigneur qui m’a amené dans cet orage. C’est lui qui avait dit aux disciples d’aller dans la barque.

     

    2 – Le Seigneur prie pour moi. Il était allé sur la montagne pour prier après avoir envoyé les disciples sur le lac (v. 23). Cela représente son intercession actuelle pour nous, alors que, dans notre course vers “l’autre rive”, nous passons à travers ce monde secoué par l’orage.

     

    3 – Il va venir à moi. Christ marche sur la mer : il domine sur les éléments de la tempête et les contrôle complètement. Nous pouvons lui faire confiance. Si nous sommes aujourd’hui au milieu d’un orage, Christ nous dit : “C’est moi, n’ayez pas peur !” (v. 27).

     

    Jonas, le prophète indiscipliné, s’est aussi trouvé sur un navire secoué par la tempête (Jonas 1. 4). Mais il était dans l’orage parce qu’il avait désobéi à l’Éternel ; les disciples étaient dans l’orage parce qu’ils avaient obéi au Seigneur. L’orage peut être destiné à notre correction, comme dans le cas de Jonas, ou à notre perfectionnement, comme pour les disciples.

     

    Les païens, sur le bateau de Jonas, ont tous crié, chacun à son propre dieu (Jonas 1. 5). Souvent, ce sont les difficultés qui révèlent quel est le “dieu” que les hommes adorent réellement. Les disciples “rendirent hommage” au Seigneur (v. 33).

     

    Souvenons-nous : le Seigneur m’a mis là, il prie pour moi, il est avec moi.

     


    B. Reynolds
    (Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)

     

     

     

     

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    Il ne nous abandonnera pas qu’Il ne nous ait menés à bon port

     

     

     

    Il ne nous abandonnera pas qu’il ne nous ait menés à bon port

     

     

     

    L’Éternel votre Dieu, qui marche devant vous, combattra lui-même pour vous, selon tout ce qu’il a fait pour vous, sous vos yeux, en Égypte, Et dans le désert; où tu as vu que l’Éternel ton Dieu t’a porté, comme un homme porte son fils, dans tout le chemin que vous avez fait, jusqu’à ce que vous soyez arrivés en ce lieu. Deutéronome 1.30-31 

     

    Si le soutien d’un ami est d’un grand réconfort, que dirons-nous alors du secours qui vient de Dieu? Quelle douceur, quel repos pour l’âme qui se confie en Lui! C’est un fait indéniable, le Seigneur a fait de grandes choses pour nous. Qui pourrait décemment prétendre le contraire? Rappelons-nous, nous étions morts dans nos péchés. Nous étions sans Dieu dans le monde, livrés à nous-mêmes dans ce désert. L’avons-nous oublié? Nous n’avions aucun espoir, aucune perspective d’avenir!

     

    Aujourd’hui, tout est bien différent, n’est-ce pas? La lumière a paru dans nos vies. Maintenant, nous connaissons et croyons l’amour que Dieu a pour nous. Voici, Il a donné Son propre Fils pour que le monde soit sauvé par Lui. N’est-ce pas extraordinaire? Notre Dieu n’est-Il pas, au milieu de nous, comme un héros qui sauve? Ceci ne fait aucun doute! Par conséquent, craindrions-nous à présent? Céderions-nous aux angoisses? Il est bien vrai, le monde est ténébreux. Le danger s’y trouve partout. Néanmoins, nous n’avons pas de raison de laisser nos cœurs se troubler. Nous n’avons qu’à suivre le Seigneur Jésus. N’est-Il pas notre bon Berger? C’est une certitude, tout au long du chemin, Il nous conduira fidèlement. Nous pouvons compter sur Lui, toujours. Il ne faillit ni ne déçoit jamais. C’est une réalité, Sa grâce nous suffit!

     

    Se pourrait-Il vraiment que le Seigneur vienne à nous abandonner? Impossible! Délaisserait-Il ceux et celles pour qui Il a offert Sa propre vie? Non, bien évidemment. Ta houlette et ton bâton me rassurent a déclaré le psalmiste à propos du Berger. Certainement, nous pouvons en dire autant! Le Seigneur nous a précédés sur le chemin, veillons à ne pas nous détourner de Lui. Soyons-en absolument persuadés, Il ne nous abandonnera pas qu’Il ne nous ait menés à bon port!

     

     

     

    (Source : unmessagedamour.fr)

     

     

     

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