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    Que Dieu vous dise qui vous êtes !

     

     

     

    Que Dieu vous dise qui vous êtes !

     

     

    « Sa mère l'appela du nom de Yaebets » 1Ch 4.9 

     

    Yaebets signifie « douleur et souffrance ». Pouvez-vous imaginer porter un nom pareil, entrer dans une pièce et entendre : “tiens, voilà souffrance” ? Le pire est qu’elle lui a donné ce nom en disant : « C’est parce que je l’ai enfanté dans la douleur ».

     

    Mais Yaebets refuse de porter cette étiquette et de laisser son nom le définir. Au lieu de se retourner sur son passé et écouter les critiques : « Yaebets invoqua le Dieu d’Israël, en disant : “Si tu me combles de bénédictions et que tu étendes mes limites, si ta main est avec moi, et si tu fais que, loin du malheur, j’échappe à la douleur !” Et Dieu accorda ce qu’il avait demandé » (v.10).

     

    L’étiquette sur une bouteille ne vous informe que de son contenu, forcément limité. Celle que les autres collent sur vous aura toujours un effet réducteur. Si vous les laissez faire, vous finissez par croire que vous n’êtes qu’une bouteille qui ne peut offrir que ce qu’elle contient. Non, seul Dieu peut vous dire qui vous êtes !

     

    Alors faites comme Yaebets, allez directement à la source : Dieu. Il vous a créé(e). Il vous a racheté(e). Il vous a appelé(e). Il vous équipe. Il vous fortifie. Il vous récompense. Si les gens cherchent à vous limiter en vous collant une étiquette, Dieu intervient et dit : « Sois sans crainte, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom : tu es à moi ! » (Esa 43.1). En vérité, Dieu vous aime et vous adopte pleinement, et son approbation prime sur tout autre désaveu !

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Votre valeur est inestimable aux yeux de Dieu

     

     

     

    Votre valeur est inestimable aux yeux de Dieu

     

     

     

    C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Psaume 139-13  

     

    Dernièrement, ma fille de 9 ans a eu une réaction qui m'a fortement interpellé. Dans la voiture,  je lui ai donné un billet de 5 euros pour qu'elle puisse s'acheter un goûter. Quelques secondes plus tard, elle a fait demi-tour et est venue me voir en disant : "Papa,  regarde le billet que tu m'as donné, il est un peu déchiré, je pense que la caissière ne va pas l’accepter !" Avec un grand sourire, je lui ai répondu : "Tu sais ma chérie, ce n'est pas parce que le billet est déchiré qu'il a perdu sa valeur !"

     

    Avez-vous été déchiré(e) ou simplement abîmé(e) par les aléas de la vie ? Votre conscience est-elle marquée par des faits qui vous amènent constamment à vous déprécier ? De nombreuses personnes voient en elles-mêmes ce que les événements de la vie leur ont montré, et pour beaucoup, ce sont des situations négatives dans lesquelles elles ont dévié du droit chemin, pris de mauvaises décisions, subi l'influence de relations corrompues. Il est vrai que rien n'est facile et aucun homme sur terre n'aurait la prétention de dire qu'il a toujours été parfait ! La Bible, d'ailleurs, le déclare : "Non, il n'y a sur la terre point d'homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais." (Ecclésiaste 7.20)

     

    Derrière la personne que vous êtes, il y a une action divine !

     

    Toutefois, il convient de ne pas vous réduire à vos défaites ! Il est important de réaliser que malgré vos faillites, vos échecs, vos manquements, vous avez de la valeur aux yeux de Dieu, votre Créateur : "Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance." (Genèse 1.26) Derrière la personne que vous êtes, il y a une action divine !  Comprenez que Dieu lui-même, avec amour et passion, vous a taillé(e) sur mesure !

     

    Puisse cette vérité vous redonner l'estime de votre personne et vous amener à vous considérer non plus au travers de vos failles, mais sous le miroir de la Parole de Dieu. Écoutez ce que proclame le psalmiste : "Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien." (Psaume 139.14)

     

    Une proclamation pour aujourd’hui :
    Père, je te remercie pour ce que je suis. Je proclame, comme le psalmiste, que je suis une créature merveilleuse et que ma valeur est inestimable à tes yeux !

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Coronavirus : "Ne crains pas petit troupeau"

     

     

     

    Coronavirus : "Ne crains pas petit troupeau"

     

     

     

     

     

    N’aie pas peur, petit troupeau ! Car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume. Luc 12.32 

     

    Alors que je regardais les gens faire la queue au supermarché pour faire des provisions de nourriture, le Seigneur me chuchota à l’esprit : "Ne crains pas, petit troupeau" ! (Luc 12.32)

     

    Dans ce verset, Jésus s’adresse à ses disciples…

     

    Des disciples qui s'inquiètent beaucoup trop "au sujet de la nourriture dont ils avaient besoin pour vivre, ou au sujet des vêtements dont ils avaient besoin pour leurs corps." (Luc 12.22)

     

    Certes, le contexte du Coronavirus est différent. Il est normal de faire preuve de sagesse en faisant le nécessaire pour se protéger pendant cette crise sanitaire. Ce qui l'est moins, en tant qu’enfant de Dieu, c'est de paniquer ou de manifester une perte de confiance en Dieu par des attitudes ou des paroles négatives.

     

    Nous avons un Père aimant qui connaît toutes nos craintes et tous nos besoins !

     

    Dans le même passage, et toujours avec amour, Jésus nous reprend tous ainsi : "Comme votre confiance en lui est faible !" (Luc 12.28)

     

    Mais un peu plus loin, il nous encourage également en disant : "Mais vous, vous avez un Père." (Luc 12.30) Oui, nous avons un Père aimant qui connaît toutes nos craintes et tous nos besoins !

     

    Alors, faisons preuve de sagesse en nous protégeant au maximum. Car me protéger, c'est aussi protéger mon prochain qui est peut-être plus fragile que moi ! Ensuite, plaçons entièrement notre confiance en notre Père qui tient nos destinées entre ses mains. Il connaît chacun de nos jours. (Psaume 139.15-16) Et confessons, tout au long de la journée, qu’il est celui qui pourvoit et qui guérit ! (Philippiens 4.19 et Exode 15.26)

     

    Dans cette situation si délicate pour chacun, nous avons l’occasion d’être différents. Nous avons l'occasion d'agir différemment : 

     

    • De ne pas nous laisser gagner par la peur, mais par la foi. 
    • De ne pas nous laisser gagner par la panique, mais par la confiance en Dieu.

     

    Nous pouvons recevoir la paix de Dieu, qui surpasse tout entendement, et l’exprimer à nos contemporains par nos gestes et paroles. 

     

    Nous sommes vraiment privilégiés. Dans mon verset clé, non seulement Jésus nous rassure, mais il nous rappelle notre grand héritage : "N’aie pas peur, petit troupeau ! Car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume." (Luc 12.32)

     

    Oui, le Seigneur est vraiment notre berger. Il a fait de nous des héritiers du royaume. "Un royaume de prêtres pour servir notre Dieu". (Apocalypse 5.10)

     

    Un encouragement pour aujourd’hui : 

    Dans cette période incertaine, continuons à servir Dieu de tout notre cœur et à faire briller nos lumières !

     

     

     

     

     

    David Nolent
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    L'Eternel Dieu est un soleil et un bouclier - Psaume 84 : 11

     

    L'Eternel Dieu est un soleil et un bouclier - Psaume 84 : 11

     

     

     

     

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    Tout cela est un don

     

     

     

    Tout cela est un don

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Éphésiens 2.1-9 

     

    Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Éphésiens 2.8

     

    Le Café Rendez-vous, à Londres, se distingue par un bel éclairage, des canapés confortables et un arôme de café. Ce qu’on n’y trouve pas, ce sont des prix. Commencé comme entreprise par une Église locale, ce café a été transformé un an après son ouverture. Ses dirigeants avaient le sentiment que Dieu les appelait à faire quelque chose de radical :offrir gratuitement tout ce qui apparaissait au menu. Aujourd’hui, on peut y commander un café, une morceau de gâteau ou un sandwich, sans frais. Il n’y a pas même dans ce lieu de récipient à dons. Tout est servi en cadeau.

     

    J’ai demandé au gérant pourquoi ils étaient si généreux. «Nous essayons simplement de traiter les gens comme Dieu nous traite, m’a-t-il dit. Dieu nous donne, que nous l’en remerciions ou non. Il se montre généreux envers nous au-delà de notre imagination.»

     

    Jésus est mort pour nous sauver de nos péchés et nous réconcilier avec Dieu. Il est ressuscité et il vit maintenant. Tous nos torts peuvent ainsi nous être pardonnés, et nous pouvons recevoir aujourd’hui même une vie nouvelle (Ép 2.1-5). Et l’une des choses les plus étonnantes à ce sujet, c’est que tout cela est gratuit. La vie nouvelle que Jésus nous offre ne s’achète pas. Nous ne pouvons même pas contribuer aux frais (v. 8,9). Tout est un cadeau.

     

    En servant leurs gâteaux et leurs cafés, le Café Rendez-vous donne aux gens un aperçu de la générosité de Dieu. Le Seigneur nous offre la vie éternelle parce que Jésus a payé notre addition.

     

    La vie éternelle est un cadeau attendant d’être reçu.

     

     

     

    Sherdian Voysey
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    L'écharde de Paul et la nôtre (1 à 3)

     

     

     

    L'écharde de Paul et la nôtre (1)

     

     

     

     

    « Il m'a été mis une écharde dans la chair » 2Co 12.7

    Cette « écharde » de Paul fait encore débat chez les spécialistes. Avait-il un problème de vue ? Un trouble d’élocution ? Une tare physique ? Pourquoi la Bible ne le dit-elle pas ? S’il était myope, on dirait volontiers : « Ça ne me concerne pas, j’ai une vision parfaite ». S’il était bègue, les as de l’éloquence ne trouveraient aucun réconfort dans sa parole. S’il était bossu, les gens bien droits ne pourraient pas s’identifier à lui. Si la Bible ne nous dit rien, c’est peut-être pour la raison suivante : peu importe son handicap, le même Dieu qui a permis à Paul de vaincre son écharde nous accordera le même privilège. Qui ou quoi est votre « écharde dans la chair » ? À quelle situation « piquante » faites-vous face jour après jour ? Vous pouvez avoir une relation « épineuse » avec quelqu’un, ce qui exige une dose de grâce, d’amour et de prière supplémentaires. Pierre écrit : « Croissez dans la grâce et la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ » (2P 3.18). Nous avons tous notre écharde que Dieu adapte à nos besoins. Pourquoi ? Pour que nous « grandissions dans la grâce et la connaissance de notre Seigneur Jésus ». Dieu s’intéresse davantage à notre caractère qu’à notre confort. Si nous prions pour des fardeaux plus légers, il peut aussi nous accorder un dos plus solide. L’hymniste écrit : « Il donne plus de grâce quand les fardeaux s’alourdissent, il donne plus de force quand les tâches augmentent, pour ajouter l’affliction, il ajoute sa miséricorde, pour multiplier les épreuves, il multiplie la paix ».

     

     

     

    L'écharde de Paul et la nôtre (2)

     

                          

     

    « Pour que je ne sois pas enflé d'orgueil » 2Co 12.7

    La Bible ne nous dit rien sur l’écharde de Paul, mais Paul nous dit pourquoi Dieu l’a permise : « Pour que je ne sois pas enflé d’orgueil ». Le succès grandissant peut mener à un excès de fierté et une indépendance accrue vis-à-vis de Dieu. Avez-vous remarqué que lorsque tout va bien, se tenir près de Dieu est parfois difficile ? On a tendance à croire que la bonté de Dieu est la conséquence de la nôtre à son égard. Attention ! Dieu peut utiliser ce qu’il veut pour notre bien et sa gloire. Dans sa sagesse et sa patience, il permet des choses qu’on imagine destinées à nous blesser, mais il retourne la situation en notre faveur. Voici comment Dieu agit : il équilibre bénédictions et fardeaux. Le Psalmiste dit : « Béni soit le Seigneur chaque jour ! Il nous prend en charge, ce Dieu-là est notre salut » (Ps 68.19). Si Dieu se contentait d’empiler des bénédictions dans vos mains, vous finiriez par tomber en avant. Et s’il chargeait sans cesse votre dos de fardeaux, vous tomberiez à la renverse. Il répartit bénédictions et fardeaux pour que vous restiez debout. Il est si facile de perdre l’équilibre. On est tellement absorbés par la joie céleste qu’on néglige cet appel à être sel de la terre et lumière du monde. On s’implique tellement dans l’œuvre du Seigneur qu’on néglige de passer du temps avec le Seigneur de l’œuvre. On est si fortement engagés dans l’Église qu’on prive notre famille de l’amour et de l’attention dont elle a besoin. Voilà pourquoi Dieu nous ramène à l’équilibre à l’aide d’une écharde.

     

     

     

    L'écharde de Paul et la nôtre (3)

     

     

     

    « Ma puissance s'accomplit dans la faiblesse » 2Co 12.9

    Paul écrit : « Trois fois j’ai supplié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les privations, dans les persécutions, dans les angoisses, pour Christ ; en effet quand je suis faible, c’est alors que je suis fort » (v.8–10). Paul n’a pas la réponse espérée jusqu’à ce qu’il cesse de prier et se mette à écouter. À force de vouloir souffler à Dieu ce qu’il devrait faire pour nous, on ne l’entend pas dire ce qu’il veut faire en nous. Si un problème perdure, peut-être est-il temps d’arrêter de parler et de tendre l’oreille. Dieu a donné des leçons à Paul au moment opportun, dans les difficultés. Les mauvaises nouvelles des temps difficiles s’avèrent donc au final être bonnes : on apprend plus de Dieu dans le fond d’une vallée qu’au sommet d’une montagne. C.S. Lewis explique comment Dieu utilise la souffrance pour communiquer avec nous. « Dieu chuchote dans nos moments de joie, parle à notre conscience, mais crie au milieu de nos souffrances. » Avant que Dieu ne parle, Paul voulait juste être débarrassé de son problème. Mais après, il a réalisé qu’il avait trouvé quelque chose de meilleur et de plus grand : une force surnaturelle réservée aux moments difficiles quand on réalise que la présence de Dieu est plus grande que nos problèmes et son but plus élevé que nos peines.

     

     

    Bob Gass

     

    L'écharde de Paul et la nôtre (1 à 3)

     

     

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    Pour que vous abondiez en espérance - Romains 15 : 13

     

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    Grande porte, grand défis

     

     

     

    Grande porte, grand défis

     

     

     

     

    « Une porte s'est ouverte toute grande à mon activité, et les adversaires sont nombreux » 1Co 16.9 

     

     

    Rien n’est vraiment grand avant d’avoir surmonté ce qui semblait impossible. Paul écrit : « Je resterai néanmoins à Éphèse jusqu’à la Pentecôte ; car une porte s’est ouverte toute grande à mon activité, et les adversaires sont nombreux » (v.8–9). Les grandes occasions s’accompagnent toujours de grands défis, et chacun demande plus de foi et de ténacité. Réfléchissez : si réussir un exploit était facile, tout le monde le ferait. Mais alors ce ne serait plus un exploit mais une banalité.

     

    Pour devenir papillon, la chenille doit sortir du cocon. Et le cocon est si important dans le processus que la chenille elle-même le tisse. Ne serait-il pas plus simple pour elle d’y rester bien au chaud dans le confort ? Au moment où elle bataille pour en sortir, il est probable que l’idée doit lui traverser l’esprit ! Mais dans son for intérieur, elle sait le prix de la liberté. Voler et découvrir exigent de lutter, grandir et percer. Il n’y a pas d’autre moyen !

     

    Pourquoi Jésus a‑t-il envoyé ses disciples dans une tempête mettant leur vie en danger ? Pour leur apprendre à lui faire confiance en toutes circonstances. Avant son proche départ, il a voulu préparer leur avenir.

     

    Butez-vous sur un obstacle aujourd’hui ? Au lieu de vous plaindre et demander à Dieu de vous l’épargner, prenez-le pour ce qu’il est : une préparation. N’oubliez pas que plus vous serez prêt(e), plus vous serez béni(e) de l’autre côté. Donc, si Dieu vous ouvre des portes, préparez-vous à des défis, c’est un passage obligé.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

    Grande porte, grand défis

     

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    Gardez l'espérance

     

     

     

    Gardez l'espérance

     

     

     

     

    Regarde vers le ciel, et compte les étoiles, si tu peux les compter… Telle sera ta postérité. Genèse 15.5 

     

    Alors qu’Abraham reproche à Dieu de ne pas lui avoir donné de postérité (Genèse 15.3), Dieu l’invite à ne pas regarder à l’impossibilité physique d’avoir des enfants (impossibilité due autant à l’âge de Sara – quatre-vingt-dix ans – qu’à l’âge d’Abraham – cent ans –), mais à regarder vers le ciel !

     

    Pas très réaliste comme conseil, me direz-vous ! En effet, mais c’est le conseil de Dieu ! 

     

    Il est des situations dans la vie où la réalité des choses nous renvoie un message désespérant. Les mots qui nous viennent à l’esprit, lorsque nous regardons aux montagnes de difficultés, sont alors : 

     

    • Il n’y a pas d’issue…
    • Il n’y a rien à faire…
    • C’est sans espoir…

     

    Regarder vers le ciel, c’est s’attendre au miracle.

     

    Peut-être est-ce votre situation en ce moment. Vous êtes comme les Israélites devant la mer Rouge. Le désert à droite et à gauche, l’ennemi qui arrive par l’arrière et la mer infranchissable devant vous. Il n’y a pas d’issue. Mais la Parole de Dieu est envoyée à ce peuple terrorisé : "Regardez la délivrance que l’Éternel va vous accorder en ce jour." (Exode 14.13) Regarder vers le ciel, c’est regarder à Dieu et compter sur son intervention !

     

    Nous retrouvons cette situation où l’impossible humain devient une opportunité pour Dieu dans le récit de la multiplication des pains. Il était impossible de nourrir une foule immense de cinq mille hommes avec seulement cinq pains et deux poissons. Mais il est écrit : "Jésus levant les yeux vers le ciel, rendit grâces… Tous mangèrent et furent rassasiés." (Marc 6.41-42) Jésus a regardé vers le ciel, il a prié, et l’impossible est devenu possible !

     

    De même, devant le tombeau de Lazare, Jésus pria en levant les yeux en haut (Jean 11.41) et Lazare sortit vivant du tombeau !  

     

    Regarder vers le ciel, c’est s’attendre au miracle. 

     

    La Bible nous rapporte encore l’histoire de ce grand monarque nommé Nebucadnetsar qui, plongé dans la folie, a levé les yeux vers le ciel : "Je levai les yeux vers le ciel, et la raison me revint. J'ai béni le Très-Haut, j'ai loué et glorifié celui qui vit éternellement, celui dont la domination est une domination éternelle, et dont le règne subsiste de génération en génération." (Daniel 4.34) Voilà diverses situations désespérées, mentionnées dans la Bible, où la solution est venue d’en haut, du Père des lumières, celui qui dit et la chose arrive. 

     

    Un conseil pour ce jour :

    Trouvez dans ces exemples la voie à suivre. Priez en tournant vos regards vers le Seigneur. Levez vos yeux au-delà de vos difficultés. Ne laissez pas le contexte difficile, dans lequel vous êtes, engloutir votre espoir. Regardez vers le ciel et attendez-vous au miracle de Dieu.

     

     

     

    Paul Calzada
    (source : TopChrétien)

     

     

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    L’agenda de Dieu

     

     

     

    L’agenda de Dieu

     

     

     

     

     

    La quinzième année du règne de l’empereur Tibère, Ponce Pilate était gouverneur de la Judée […]. C’est alors que la parole de Dieu fut adressée à Jean, fils de Zacharie, dans le désert. Luc 3.1-2 

     

    Il y a bien des évènements dans ma vie que je ne comprends pas. Pourquoi Dieu a-t-il permis telle épreuve ? Pourquoi cet espoir déçu ? Pourquoi ce problème de santé, ce licenciement ? Pourquoi ?…

    Les informations historiques du verset ci-dessus ne nous disent pas grand-chose, à nous lecteurs du 21ème siècle. Elles portent pourtant une vérité importante. Dieu est le souverain, il a créé le monde et il le gère selon un agenda parfait. Nous essayons de maîtriser le temps qui passe inexorablement avec nos plannings de ministres sur des smartphones ultra-connectés. Et pourtant le temps passe.

    Jours, semaines, mois, années… Et après ?

    Dieu, lui, n’est ni en retard dans son emploi du temps, ni oublieux. Son agenda est simplement parfait. Que c’est réconfortant !

    Dieu avait décidé qu’à un moment précis son plan de salut se mettrait en place. Jean-Baptiste, puis Jésus sont venus au moment parfait que LUI avait fixé.
    Que Dieu nous permette de croire que nos vies sont dans sa main bienveillante pour nous confier à LUI !

     

    Matthieu Gangloff
    (Source : vivreaujourdhui.com) 

     

     

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