• Notre besoin de pardon (1 et 2)

     

    Notre besoin de pardon (1 et 2)

     

     

     

    Notre besoin de pardon (1)

     

     

     

    Je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché. Jérémie 31. 34

    On lui apporta un paralysé couché sur un lit. Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : Bon courage, mon enfant, tes péchés sont pardonnés. Matthieu 9. 2

     

    Qui n’a pas besoin d’un pardon qui efface le passé ? Qui n’aspire pas à une vie en paix avec Dieu et qui se poursuive dans l’avenir ?

     

    Des secrets enfouis qui obsèdent, des actes coupables commis en toute connaissance de cause et dont on est profondément honteux, restent ancrés dans la mémoire… Qui peut en libérer ? Vont-ils nous accompagner jusque dans l’au-delà ?

     

    Jésus Christ est le seul qui puisse répondre à ce besoin de pardon, de paix, d’éternité. Sa mort sur la croix a effacé les péchés. Lorsqu’il pose son regard sur ces choses qu’il semble impossible d’oublier, qu’on n’arrive pas à se pardonner, il dit : “Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme l’écarlate, ils seront comme la laine” (Ésaïe 1. 18). “Je ne me souviendrai plus de leur péché” (Jérémie 31. 34). “Bienheureux celui dont la transgression est pardonnée” (Psaume 32. 1). “Il n’y a… maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus” (Romains 8. 1). Et “le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur” (Romains 6. 23).

     

    Oui, Dieu pardonne ! Mais il faut reconnaître – lui avouer – ce que l’on a fait (1 Jean 1. 9). Dieu peut alors dire : Tu as fait cela, c’est effacé. “Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché” (1 Jean 1. 7).

     

     

     

     

    Soif de la vie éternelle (2)

     

     

     

    Celui qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle. Jean 3. 36

    Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. 1 Jean 5. 12

     

    Quand on est adolescent, la vie paraît très longue. Mais elle semble courte quand on a la cinquantaine. Et quand on dépasse soixante-dix ans, on s’aperçoit que le temps nous est compté. Est-il possible qu’il n’existe rien d’autre que cette vie ? Au plus profond de nous-mêmes, nous avons le sentiment que non, et la Bible le confirme (Ecclésiaste 3. 11).

     

    La vie éternelle nous est donnée lorsque nous croyons en Jésus. Elle ne commence pas à notre mort. Elle est donnée avant la mort, aujourd’hui. Après la mort, impossible de la recevoir. La vie éternelle se poursuit à toujours, au-delà de la mort de notre corps, en la compagnie du Seigneur qui nous aime et que nous aimons.

     

    La Bible parle de la vie éternelle comme d’un don de Dieu, accessible uniquement “en Jésus Christ notre Seigneur”. “Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur” (Romains 6. 23).

     

    La vie éternelle ne peut pas se résumer à une succession infinie d’années. La vie éternelle est indépendante du temps, et existe à la fois dans, en-dehors et au-delà du temps. Pour cette raison, si nous avons cru au Seigneur Jésus, nous n’avons pas à attendre la vie éternelle. Nous l’avons dès l’instant où nous mettons notre foi en Christ. Nous l’avons maintenant et pour toujours. “La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ” (Jean 17. 3).

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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