• Ne baissez jamais les bras (1 et 2)

     

     

    Ne baissez jamais les bras ! (1)

    “Vous avez besoin de persévérance pour accomplir la volonté de Dieu...” Hébreux 10.36 

    Harriet Beecher Stowe a écrit : “Quand vous vous retrouvez dans une situation désespérée, le dos au mur et que vous vous sentez incapable de faire le moindre pas en avant, surtout ne baissez pas les bras. C’est peut-être le moment précis où les circonstances vont commencer à changer et le vent à tourner.” Dieu a promis qu’Il ne vous abandonnerait jamais, même si les difficultés vous donnent l’impression d’être tout seul à vous battre. Lorsque Paul et Silas ont été jetés au fin fond d’une cellule insalubre et sombre, ils n’ont pas hésité à chanter à la gloire de Dieu ! 

    C’est ce qu’on appelle endosser un vêtement de louanges pour remplacer un esprit abattu ! (Esaïe 61.3). Dites-vous bien que le meilleur moyen d’attirer l’attention de votre Père céleste c’est de Lui exprimer votre reconnaissance pour Ses promesses à votre égard. Lisez attentivement ce poème écrit par un écossais du nom de William Murray Angus à la fin du XIX° siècle, peu avant d’émigrer au Canada où il vécut le reste de sa vie :

    “Quand les difficultés s’amoncellent comme cela arrive parfois,
    quand la route que vous parcourez semble de plus en plus rude à grimper,
    quand vos ressources s’amenuisent et que les dettes s’accumulent,
    quand vous êtes incapable de sourire et ne pouvez que soupirer,
    quand le fardeau des soucis ne fait que s’alourdir, f
    aites une pause si nécessaire, mais ne baissez surtout pas les bras ! [...]

    Le but est souvent plus près que ne l’imagine un homme fourbu et près de s’évanouir ; le coureur qui abandonne est souvent à deux doigts de la coupe du vainqueur ; il se rend compte trop tard, quand l’aube se lève, combien proche était la couronne tant désirée. Le succès c’est simplement l’envers de l’échec, c’est le rayon de soleil à travers les nuages du doute mais vous ne savez jamais quand il va percer enfin. La victoire n’est jamais aussi proche que quand vous la sentez inaccessible, aussi continuez à vous battre, même lorsque les coups continuent de pleuvoir. Quand les difficultés semblent insurmontables, ne baissez surtout pas les bras !”

     

     

     

    Ne baissez jamais les bras ! (2)

    “Courez donc de manière à remporter le prix.” 1 Corinthiens 9.24 

    Dans la Grèce antique les courses de marathon n’avaient pas lieu dans des stades, mais sur des terrains difficiles et caillouteux, semés d’embûches. Le but était d’imiter les circonstances de la première “course” mythique d’un soldat grec parti de Marathon pour annoncer aux habitants d’Athènes la victoire que leur armée venait de remporter sur les Perses. Paul compare notre vie en tant que chrétien à une course de longue haleine, sur une route difficile, et pas à un sprint sur une piste bien lisse ! L’important est de parcourir la distance jusqu’au bout, sans jamais perdre de vue la lointaine ligne d’arrivée. Pourquoi Moïse parvint-il à “tenir” ferme pendant ces quarante années difficiles passées au désert, en butte aux jérémiades de ses compatriotes ? Parce “qu’il gardait les yeux fixés sur la récompense future” (Hébreux 11.26). 

    Connaissez-vous l’histoire de Wilma Rudolph ? A quatre ans elle fut atteinte de polio et incapable de marcher. Ses parents étaient très pauvres et avaient 22 enfants à élever. Pourtant sa mère fit tout son possible pour aider Wilma à marcher à nouveau, contre l’avis des médecins. Quatre fois par jour elle massait les jambes de sa petite fille. A huit ans Wilma était parvenue à marcher avec l’aide d’une attelle orthopédique. Trois ans plus tard elle se mit à jouer au basket avec ses frères, pieds nus et sans attelle ! Au lycée, elle entra dans l’équipe d’athlétisme et fit de tels progrès sur les pistes qu’elle fut sélectionnée pour les jeux olympiques de Melbourne, en 1956, où elle remporta une médaille de bronze. A ceux de Rome, en 1960, elle remporta deux médailles d’or en courses individuelles. Plus tard, lors du relais 400 fois cent mètres, elle se foula la cheville, mais continua malgré tout à courir jusqu’au bout, en dépit de la souffrance, et son équipe remporta une nouvelle médaille d’or ! Persuadée que Dieu avait une autre mission à lui confier, plus importante que gagner des médailles d’or, elle abandonna ensuite la compétition et fonda une association pour encourager les jeunes à se discipliner pour ne jamais abandonner. Quel exemple de persévérance malgré des difficultés apparemment insurmontables ! Sa parole pour vous aujourd’hui est “courez afin de remporter le prix de la victoire” !

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

     

     

    « Les quatre bougies du petit bergerVous qui cherchez Dieu, que votre coeur vive - Psaume 69 : 32 »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :