•  

    Jésus, mon espérance

     

    Jésus, mon espérance

     

     

    … Connaître l'amour du Christ qui surpasse toute connaissance. Éphésiens 3. 19
    La paix de Dieu… surpasse toute intelligence. Philippiens 4. 7

     

    C'est Jésus seul mon espérance,

    Mon chant, ma force et ma lumière.

    Il est l'appui dont j'ai besoin

    Dans les tempêtes ou les déserts.

    Sommet d'amour, profonde paix

    Quand Jésus calme mes frayeurs.

    Mon réconfort, mon assurance

    Sont dans l'amour de Jésus Christ.

    C'est Jésus seul, né dans la chair,

    Dieu dans le corps d'un faible enfant.

    Don de l'amour, don de justice,

    Méprisé par ceux qu'il sauvait.

    Mais sur la croix Jésus souffrit,

    Maudit pour moi, pour mes péchés.

    Et, dès ce jour, pour moi la vie

    Est dans la mort de Jésus Christ.

    Je ne vis plus chargé de fautes,

    je n'ai plus peur devant la mort.

    Du premier cri au dernier souffle

    Jésus est maître de ma vie.

    Ni le Malin, ni les humains,

    Rien de sa main ne m'ôtera.

    Il reviendra, il me prendra:

    Bientôt, Jésus, je te verrai.

     

     

    K. Getty, S. Townend – traduction M. Varidel

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Un secret

     

     

    Un secret

     

    Je vais vous dire un secret....

    Pour entendre un oiseau,
    cessez d'écouter l'avion.

    Pour entendre une petite flûte,
    cessez d'écouter la grande batterie.

    Pour entendre l'amour,
    cessez d'écouter la haine.

    Pour entendre le murmure de Dieu,
    cessez d'écouter les vacarmes du monde.

    Et quand vous aurez appris à reconnaître ces voix,
    vous pourrez entendre 
    l'oiseau au cœur d'un aéroport,
    la flûte au cœur d'un grand orchestre,
    l'amour au cœur d'une guerre
    et Dieu au cœur de tout être. 

     

    Shafique Keshavjee

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    1 commentaire
  •  

    Hymne à la vie

     

     

    Hymne à la vie

     

     

    Si pour un instant Dieu m'offrait un morceau de vie, 
    je profiterais de ce temps le plus possible …

    Je suppose que je ne dirais pas tout ce que je pense, 
    mais je penserais à tout ce que je dis.

    Je donnerais une valeur aux choses, 
    pour ce qu'elles signifient.

    Je dormirais peu, je rêverais plus, 
    je crois que chaque minute passée les yeux fermés 
    représentent soixante secondes en moins de lumière.

    Je marcherais quand les autres s'arrêtent, 
    je me réveillerais quand les autres dorment.

    Je donnerais des ailes à un enfant, 
    mais je le laisserais apprendre à voler seul. 
    J'enseignerais aux vieux 
    que la mort ne vient pas avec l'âge mais avec l'oubli.


    J'ai appris tant de choses des hommes …

    J'ai appris que tout le monde 
    veut vivre au sommet de la montagne, 
    sans savoir que le véritable bonheur 
    c'est dans la manière de l'escalader.

    J'ai appris que quand un nouveau-né serre fort de son petit point, 
    pour la première fois, la main de son père, il le retient pour toujours.

    J'ai appris qu'un homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut 
    que pour l'aider à se lever.
     


    Dis toujours ce que tu sens, fais ce que tu penses.
    Il y a toujours un lendemain, 
    et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des choses : 
    mais si jamais je n'ai plus que ce jour, 
    j'aimerais dire à tous ceux que j'aime combien je les aime.
     

     

    Gabriel Garcia Marquez
    Lettre d'adieu (extraits)
     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La force de la prière

     

     

    La force de la prière

     

     

    Je ne suis pas un homme de lettres ou de sciences,
    mais je prétends humblement être un homme de prière.


    C’est la prière qui a sauvé ma vie ;
    sans la prière j’aurais depuis longtemps perdu la raison.
    Si je n’ai pas perdu la paix de l’âme, malgré toutes les épreuves,
    c’est que cette paix vient de la prière. 


    On peut vivre quelques jours sans manger, mais non sans prier.
    La prière est la clé du matin et le verrou du soir. 


    La prière, c’est cette alliance sacrée entre Dieu et l’homme
    pour obtenir d’être délivré des griffes du prince des ténèbres.
    Nous devons choisir : nous allier aux forces du mal ou, au contraire, aux forces du bien. 


    Voilà mon témoignage personnel :
    que chacun tente l’expérience et il trouvera que la prière quotidienne ajoute
    quelque chose de neuf à sa vie, quelque chose qui n’a d’équivalent nulle part ailleurs.
     

     

    Gandhi

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Un silence qui me libère

     

     

    Un silence qui me libère

     

    « Seigneur, accorde-moi non pas le silence 
    qui me rend prisonnier de moi-même 
    mais celui qui me libère et m'ouvre des espaces nouveaux, 

    non pas le silence du corps épuisé par les paradis artificiels 
    mais celui de l'âme qui respire au seuil de ton Royaume, 

    non pas le silence de la peur des autres et du monde 
    mais celui qui me rend proche de tout homme et de la création, 

    non pas celui de l'égoïsme froid, indifférent et hautain 
    mais celui qui enracine, fortifie et purifie la tendresse du cœur, 

    non pas le silence de l'absence vide, du monologue solitaire 
    mais celui de la rencontre, de l'intimité en ta Présence, 

    non pas le silence de la lâcheté ou de la résignation 
    mais celui qui prépare au combat pour la vérité, 

    non pas le silence des exclus, des sans-voix 
    mais celui qui nourrit la force des peuples qui se lèvent, 

    non pas le silence de l'homme qui fuit 
    mais celui de l'homme qui Te cherche, 

    non pas le silence de l'homme qui rumine ses échecs 
    mais celui qui réfléchit pour en découvrir les causes, 

    non pas le silence de la nuit du désespoir 
    mais celui qui attend la lumière de l'aurore, de l'espérance, 

    non pas le silence de la rancune, de la haine, de la vengeance 
    mais celui de l'apaisement et du pardon, 

    non pas le silence du bavard, rempli de mots, de lui-même 
    mais celui du cœur qui écoute le murmure de ton Esprit, 

    non pas le silence envahi par trop de questions sans réponses 
    mais celui de l'émerveillement et de l'adoration, 

    non pas le silence de l'oubli, du tombeau, de la mort 
    mais celui où la matière se charge des énergies du Ressuscité 
    dans l'attente d'une vie nouvelle dans ta Lumière. 
    Amen.

     

     

    Père Michel Hubaut

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Arrêtons-nous… le temps d’aimer

     

    Arrêtons-nous… le temps d’aimer



    Par delà l’éclat trafiqué
    D’un faux Noël préfabriqué
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Par delà les petits souliers
    D’un pauvre Noël maquillé
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Par delà les soucis d’argent
    Par delà le deuil d’un parent
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Par delà les cris et les pleurs
    Par delà l’angoisse et la peur
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Par un regard à nos voisins
    Par un sourire, comm’ça. pour rien
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Pour recréer et retrouver
    Le vrai Noël que vous savez
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Pour que nos yeux soudain pétillent
    A la clarté d’une bougie
    Arrêtons-nous… le temps d’aimer.

    Le temps de L’aimer Lui
    Qui veut en cette nuit
    Apaiser notre vie ;

    Le temps de L’aimer Lui
    Qui, dans un cœur à cœur
    Veut nous dire… veut te dire :

    Arrête-toi…. le temps de m’aimer
    Arrêtons-nous… le temps de nous aimer

     

    Marie-Claude Pellerin

     

     

    Arrêtons-nous… le temps d’aimer

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Il nous faut partir

     

    Il nous faut partir !

     

     

    Il nous faut partir avec seulement cette lanterne, promesse d’une grande joie pour tout le peuple, et sa ronde flaque de lumière, compagne signifiante pour nos pas après pas. 


    Il nous faut partir vers l’Enfant nouveau-né enfoui, toujours, quelque part dans les mangeoires de nos amertumes et de nos démissions, dans les mangeoires d’apocalypse de notre univers.
     


    Il nous faut partir et trouver intimement le nouveau-né, l’Enfant, dans sa fragilité dévorante de Vie ; ce qu’il y a de bien, de vrai, de juste, d’aimant en nous saigne tellement de nos fermetures et de nos petitesses.
     


    Il nous faut trouver l’Enfant enfoui, ce levain des mangeoires, soulevant les timides possibles et devenant pain d’avenir rompu pour la multitude, jour après jour.
     


    Il nous faut repartir en hâte, dans les espaces de nuit et de faim, ingénieux de lumière et de pain, parce que nous avons entendu et vu, contemplé et touché l’Enfant au regard d’Espérance plus fort que la mort.
     

     

    Guy Dermond, SDB 

     

     

     

    Car un enfant nous est né, un fils nous est donné,

    Et la domination reposera sur son épaule ;

    On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix

    Esaïe 9 : 6

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

    Seigneur

     

     

    Seigneur !

     

     

    Jésus est ton nom.
    Tu es mon Seigneur
    Et mon sauveur.
    Ô ! Que tu es bon.
    Je t'ai demandé
    Sans beaucoup d'ardeur
    De venir réchauffer
    Mon si petit cœur.


    Et toi, Ô mon Roi !
    Tu es venu chez moi
    Tu m'as donné Ta joie
    Tu m'as rempli de paix.
    L'Amour qui est en toi
    M'a vraiment comblé.
    Seigneur !

    Je veux te redire Merci.
    Ô, mon sauveur !
    Je t'aime et te le redis :
    Seigneur, un grand Merci.

     

     

    Michel Sommer

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    1 commentaire
  •  

    Vous avez dit « Espérance »

     

    Vous avez dit "Espérance"

     

     

    Quand le monde qui nous entoure nous fait peur, 

    l’espérance chrétienne ne nous dit pas 

    de rester là à pleurnicher parce que tout va mal, 

    ni de sourire bêtement parce que tout irait bien. 

     

    Elle ne nous invite pas à attendre 

    que Dieu détruise ce monde-là 

    pour en construire un autre; 

    elle nous pose une question très simple: 

    comment faire de tout cela 

    une occasion d’aimer davantage? 

     

     

    Adrien Candiard

     

     

     

    *   *   *
           

     

     

    C'est ici mon commandement:

    Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés

    Jean 15 : 12

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La Bible et le téléphone portable.

     

     

    La Bible et le téléphone portable.

     

     

    Pouvez-vous imaginer ce qui se passerait si nous traitions la Bible de la même manière que nous traitons notre téléphone portable ? 

     

    …Si nous transportions la Bible dans notre porte-documents, dans notre mallette, à la ceinture ou dans la poche de notre veste ?


    … Si nous y jetions un coup d’œil plusieurs fois par jour ?


    … Si nous retournions la chercher quand nous l’avons oubliée à la maison ou au bureau ?


    … Si nous l’utilisions pour envoyer des messages à nos amis ?


    … Si nous la traitions comme si nous ne pouvions plus vivre sans elle ?


    … Si nous l’emmenions en voyage, au cas où nous aurions besoin d’aide ou de secours ?


    … Si nous y mettions la main en cas d’urgence ?



     

    Contrairement au téléphone portable, la Bible a toujours du réseau.


    Nous pouvons nous y connecter dans n’importe quel endroit.


    Nous n’avons pas besoin de nous soucier du manque de crédit, parce que 


    Jésus a déjà payé la facture, et les crédits sont illimités.



     

    Encore mieux : la communication n’est jamais coupée, et la batterie est chargé pour la vie entière.


 

     

    Numéros d’urgence


    Si vous êtes triste, composez * Jean 14.


    Si les gens parlent contre vous, composez * Psaume 27.


    Si vous êtes énervé, composez * psaume 51.


    Si vous êtes inquiet, composez * Matthieu 6, 25-34.


    Si vous êtes en danger, composez * Psaume 91.


    Si Dieu vous semble loin, composez * Psaume 63


    Si votre foi a besoin d’être fortifiée, Composez * Hébreux 11.


    Si vous êtes solitaire et apeuré, Composez * Psaume 22.


    Si vous êtes dur et critique, composez * 1 Corinthiens 13.


    Pour connaître le secret du bonheur, composez * Colossiens 3,12-17


    Si vous vous sentez triste et seul, composez * Romains 8,31-39


    Si vous désirez la paix et le repos, composez * Matthieu 11,25-30


    Si le monde vous semble plus grand que Dieu, composez * psaume 90.



     

    Notez ces numéros dans votre agenda ! 
Ils seront peut-être importants pour vous à un moment de votre vie !!!



     

    Et passez–les à d’autres ; il se peut qu’un de ces numéros d’urgence sauve une vie !!!

     

    Auteur inconnu

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

     

    La joie du don

     

     

    La joie est prière,
    la joie est force,
    la joie est amour.

     

    Dieu aime celui qui donne avec joie.
    La meilleure manière de montrer notre gratitude
    envers Dieu et envers les gens,
    c'est d'accepter tout avec joie.

     

    Ne laissez jamais le chagrin vous noyer
    au point d'en oublier la joie du Christ ressuscité.
    Nous aspirons tous au ciel où est Dieu,
    mais nous avons le pouvoir de nous trouver
    dès maintenant dans ce ciel :
    il suffit d'être heureux avec lui,
    en l'instant présent.

     

    Mais être heureux avec lui, maintenant,
    cela veut dire :
    aimer comme il aime,
    aider comme il aide,
    donner comme il donne,
    servir comme il sert,
    sauver comme il sauve,
    être avec lui vingt-quatre heures par jour,
    le toucher sous son déguisement de misère,
    dans les pauvres et dans ceux qui souffrent.

     

    Un coeur joyeux est le résultat normal
    d'un coeur brûlant d'amour.
    C'est le don de l'Esprit,
    une participation à la joie de Jésus
    vivant dans l'âme.

     

    Gardons dans nos coeurs
    la joie de l'amour de Dieu
    et partageons cette joie
    de nous aimer les uns les autres,
    comme il aime chacun de nous.

     

    Que Dieu nous bénisse. Amen.

     

     

    Mère Teresa

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique