• Le joug du Seigneur Jésus-Christ

     

    Le joug du Seigneur Jésus-Christ

     

     

     

    Le joug du Seigneur Jésus-Christ

     

     

     

     

    Le joug est une lourde pièce de bois servant à atteler une paire d'animaux de trait, généralement des bœufs. Le joug est posé sur la tête des animaux et les oblige à avancer l’un à côté de l’autre, tirant ensemble une charge. Il est le symbole de la soumission et du service et, au sens figuré, être sous le joug de quelqu’un signifie être soumis à lui pour le servir.

     

    Jésus a dit : « Prenez mon joug sur vous et apprenez de moi, car je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes. Car mon joug est facile à porter et mon fardeau est léger » (Matthieu 11. 29-30).
    Il peut être surprenant que Jésus parle en même temps de “joug” et de “repos” car ces deux mots sont apparemment contradictoires. Mais le Seigneur Jésus parle de SON joug. N’est-Il pas, Lui Jésus, le serviteur parfait, celui qui est venu non pour être servi mais pour servir… (Marc 10. 45) ? N’est-Il pas l’exemple suprême de la soumission ? L’épître aux Hébreux nous dit que, quoique étant Fils, Il a appris l’obéissance (Hébreux 5. 8). En effet, Jésus le Fils de Dieu, étant le Créateur Souverain et le Trés-Haut, s'est fait homme ; il a dû apprendre l’obéissance ; « étant fait semblable aux hommes, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix » (Philippiens 2. 7-8).
    « Apprenez de moi » nous dit-Jésus : Il est le modèle suprême. Toutefois, pour prendre sur soi le joug du Seigneur Jésus facile à porter, il y a une condition indispensable : venir à Lui par la foi. Juste avant l’invitation à prendre son joug, Jésus dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Matthieu 11. 28).

     

    Chers lecteurs, si vous êtes encore écrasé par le pesant fardeau de vos péchés, ne l’ayant pas encore déposé au pied de la croix où Jésus s’en est chargé Lui-même, venez à Jésus dès maintenant ! Vous vous fatiguez peut-être à vouloir vous débarrasser vous-même de ce fardeau qui pèse sur votre conscience en faisant des œuvres ou en essayant de vous améliorer ou encore en assistant aux services religieux, etc..., mais tout est vain si vous n’êtes pas venu au Seigneur Jésus par la véritable foi en Lui. Jésus seul peut donner le repos à l’âme tourmentée parce qu’Il a porté Lui-même, à la croix, le fardeau de nos péchés dont Il a subi pour nous le Jugement divin. « Certainement, lui, a porté nos souffrances, et s’est chargé de nos douleurs … il a porté le péché d'un grand nombre » (Esaïe 53. 4, 12)

     

    Après avoir reçu le pardon divin et, par conséquent le repos de la conscience, le croyant en Jésus doit traverser ce monde où il rencontre bien des difficultés, des épreuves, des circonstances difficiles… Le Seigneur Jésus parle alors d’un autre repos, celui de l’âme, que l’on trouve en prenant son joug sur soi. Combien il est plus facile de traverser les épreuves lorsque nous savons que le Seigneur Jésus nous soutient, nous donne la force dont nous avons besoin et ne permettra pas que nous soyons éprouvés au-delà de ce nous pouvons supporter (1 Corinthiens 10. 13). Combien il est plus facile pour le croyant de savoir que tout ce qui lui arrive est permis du Seigneur et que "sa volonté est bonne et agréable et parfaite" (Romains 12. 2b), de savoir « que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains 8. 28).
    Combien le joug est facile et le fardeau léger si nous restons près de Jésus, sous son joug, suivant ses traces (1 Pierre 2. 21b), marchant comme Lui a marché (1 Jean 2. 6) tout en apprenant de Lui qui est débonnaire et humble de cœur !

     

    Devant l’épreuve, la maladie et la mort qui, pour l'incrédule, est le roi des terreurs (Job 18. 14), comment réagit celui ou celle qui, n’ayant pas la foi en Jésus Christ, n’a pas d’espérance ? La Parole de Dieu nous exhorte à ne pas être affligés comme les autres qui n’ont pas d’espérance (1 Thessaloniciens 4. 13). Ceux qui ont mis leur pleine confiance en Jésus savent que la mort est pour eux l’entrée dans le repos en attendant la résurrection pour être introduits dans la gloire éternelle. Chaque croyant sous le joug du Seigneur peut dire : « Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi ; ta houlette et ton bâton me rassurent » (Psaume 23. 4).

     

     

    (Source : levangile.sauve.overblog.com)

     

     

     

     

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