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    Ma vie dans la main de Dieu

     

    Ma vie dans la main de Dieu

     

    “Ô Éternel, je me suis confié en toi; j’ai dit: Tu es mon Dieu. Mes temps sont en ta main”. Psaume 31. 14, 15 

    “Voici, tu m’as donné des jours comme la largeur d’une main, et ma durée est comme un rien devant toi. Certainement, tout homme qui se tient debout n’est que vanité”. Psaume 39. 5

     

    "Mes temps sont dans ta main ; délivre-moi de la main de mes ennemis et de mes persécuteurs !" La Bible, Psaume 31:16

    Mes temps, c’est-à-dire les diverses circonstances de ma vie, sont dans la seule main de Dieu. Pour sa durée comme pour les événements qui la remplissent, ma vie ne dépend que de Lui, jusqu’à la fin, non des hommes. Je ne voudrais pas que mes temps soient dans la main de qui que ce soit d’autre, même pas de moi-même!

    Comme David, l’auteur du Psaume 31, je veux me remettre en sa main: “En ta main, je remets mon esprit; tu m’as racheté, ô Éternel, Dieu de vérité!” (v. 5). Ce verset indique la confiance absolue en Dieu au milieu de circonstances adverses. L’apôtre Pierre exprime la même pensée dans une exhortation: “Que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leur âme, en faisant le bien, à un fidèle créateur” (1 Pierre 4. 19).

    Ma sécurité est de savoir et de croire que Dieu tient dans sa main toutes les circonstances de ma vie: “L’Éternel achèvera ce qui me concerne” (Psaume 138. 8). Ma destinée est prévue dans les plans divins. Mais ma responsabilité est de préparer mon avenir éternel en mettant ma confiance en Jésus Christ.

    Nous faisons tous des plans pour organiser notre vie, mais Dieu sait ce qui est bon pour moi. Aussi, savoir et croire que ma vie est dans la main de Dieu me garde de vouloir prendre en main tout seul ma destinée et de me rebeller si le plan de Dieu ne correspond pas au mien.

    Chaque moment de ma vie doit être bien utilisé. Tant d’obstacles, tant de choses peuvent prendre mon temps! L’apôtre Paul exhorte à racheter le temps, à saisir l’occasion “parce que les jours sont mauvais” (Ephésiens 5. 16; Colossiens 4. 5). Cela implique non seulement de ne pas le gaspiller, mais de le mettre à profit en toute occasion, avec sagesse, pour faire le bien et témoigner de Jésus Christ, quel que soit le prix.

     

    P.a.S

     

    (Source : la-bible.info)

     

    Ma vie dans la main de Dieu

     

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    Dieu vous réserve encore mieux

     

    Dieu vous réserve encore mieux

     

    « Il ne refuse pas le bonheur à ceux qui mènent une vie parfaite » Ps 84.12, PDV

    Lorsque Dieu sait qu'une chose est bonne pour vous, il dit : « Oui », Dans le cas contraire, il dit : « Non ».

    Pourquoi Dieu vous dirait-il « Non » ? Peut-être parce que ce n'est pas le bon moment, ou parce qu'il a quelque chose de meilleur pour vous. Quand vous vous rendez compte de ce qui aurait pu vous arriver si Dieu n’était pas intervenu, vous êtes reconnaissant. Ne refusez pas l’amour de celui qui vous tient entre ses mains pour vous protéger.

    La Bible dit : « Fais de l'Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. Remets ton sort à l'Éternel, confie-toi en lui, et c'est lui qui agira. [...] Garde le silence devant l'Éternel, et attends-toi à lui » (Ps 37.4-7). En revoyant sa vie, l'épouse de Billy Graham a dit : « Si Dieu avait dit “Oui” à toutes mes prières, j'aurais été plusieurs fois mal mariée ». Un jour vous remercierez peut-être Dieu pour ce qui ne vous plaît pas aujourd’hui. Plus vous gagnez en maturité spirituelle, plus vous prenez conscience de l’immense sagesse de Dieu, et plus vous apprenez à lui faire confiance. Le Psalmiste écrit : « L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien » (Ps 23.1). Quel tableau : Dieu conduit, nourrit, protège et garde ! Comme un maître-nageur, pour vous sauver, Dieu fera tout, quitte à vous embarrasser devant vos amis, ou à vous casser une côte ou deux. C'est parce qu'il vous aime trop pour vous laisser vous égarer dans ce que vous croyiez si bon pour vous. Retenez ceci : Dieu vous réserve encore mieux !

     

    Bob Gass 

     

     

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    Mes paroles ne disparaîtront pas - Matthieu 24 : 35

     

    Mes paroles ne disparaîtront pas - Matthieu 24 : 35

     

     

     

     

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    Des projets de paix pour votre vie

     

     

    "Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance." Jérémie 29.11

     
    Pouvez-vous citer trois personnages de la Bible qui étaient tellement déprimés qu'ils demandèrent à Dieu de prendre leur vie ?

    Quand Jonas a enfin compris le but de Dieu pour sa vie, sa dépression a disparu.


    Réponse : Moïse, Élie et Jonas. Chacun d'eux avait sombré dans la dépression, mais pour des raisons différentes ; la dépression est toujours le symptôme d'un problème plus profond.

    Tel un voyant lumineux sur votre tableau de bord, la dépression doit attirer votre attention ; elle vous avertit que quelque chose ne va pas. Le véritable problème n'est pas ce que vous ressentez, mais pourquoi vous ressentez cela. Voici trois des causes les plus courantes de la dépression.

    1. L'épuisement (le problème de Moïse). Lorsque vous tentez de maintenir un rythme de vie trépidant semaine après semaine, en dépit de votre fatigue physique et émotionnelle, la dépression vous guette. Il en va de même si vous essayez de vous mettre à la place de Dieu et de vouloir contrôler tout et tout le monde. Dans le cas de Moïse, la solution a été d'apprendre à déléguer (Nombres 11.10-17).

    2. La peur (le problème d'Élie). Votre corps garde le compte de toutes les angoisses que vous ravalez. Au lieu de vous focaliser sur votre dépression, demandez-vous : "De quoi ai-je peur ? Qu'est-ce qui me fait souci ?" Réglez ce problème et votre déprime disparaîtra, s'il en est la cause. Pour Élie, l'antidote a consisté à croire que Dieu gérait ce qui échappait à son contrôle (1 Rois 19.1-18).

    3. La frustration (le problème de Jonas). Lorsque vous ne voyez aucun but derrière les événements de votre vie, que tout vous semble arbitraire, sans espoir ou injuste, c'est la voie ouverte à la dépression. Une vie sans raison d'être et sans perspective est déprimante. C'est pourquoi Dieu a remédié à la dépression de Jonas en l'aidant à voir le tableau d'ensemble. La mise en perspective est un remède puissant. Quand Jonas a enfin compris le but de Dieu pour sa vie, sa dépression a disparu.

    La vie vous apparaît-elle parfois comme une foire d'empoigne incessante ? Demandez à Dieu de vous ouvrir les yeux pour que vous puissiez discerner son dessein pour vous.

    Un encouragement pour aujourd'hui :
    Voici ce que Dieu, qui vous a créé, dit à votre sujet : "Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance" (Jérémie 29.11).

      

    Rick Warren

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Le Seigneur est le rocher perpétuel - Esaïe 26 : 4

     

    Le Seigneur est le rocher perpétuel - Esaïe 26 : 4

     

     

     

     

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    Dieu veut toujours vous protéger !

     

    Dieu veut toujours vous protéger !

     

    “Il ne permit à personne de les opprimer...” 1 Chroniques 16.21 

    Jusqu’où iriez-vous pour protéger votre enfant, pour empêcher qu’il souffre ? Multipliez ceci à la puissance infinie et vous comprendrez peut-être combien vous comptez aux yeux de Dieu. Nabucodonosor s’empara des vases sacrés qui se trouvaient dans le temple de Jérusalem et les plaça dans un temple païen à Shinar (Daniel 1.1-2). Après lui son fils Belshatsar devint roi et, une nuit, au cours d’un festin très arrosé, il fit apporter par ses “serviteurs les vases d'or qui avaient été enlevés du Temple, de la maison de Dieu à Jérusalem ; et le roi, ses grands, ses femmes et ses concubines y burent” (Daniel 5.3). S’ils s’étaient amusés à boire dans n’importe quelle autre coupe, cela n’aurait eu que peu d’importance, sans doute, mais Dieu avait trop investi dans ces vases sacrés pour les laisser en abuser ainsi impunément. 

    Cette même nuit Belshatsar fut tué et son royaume détruit, à cause du principe biblique exprimé dans ce verset : “Il ne laissa personne les opprimer, Il fit des reproches à des rois à leur sujet : Ne touchez pas à ceux qui ont reçu Mon onction” (1 Chroniques 16.21-22). En tant qu’enfant de Dieu racheté par Lui, vous êtes l’objet de Son amour et de Sa protection. N’oubliez jamais cette vérité. Peut-être devrez-vous vous battre sur une terre étrangère ou vivre et travailler dans des circonstances difficiles ; peut-être devrez-vous souffrir pour votre foi, mais comprenez ceci : Dieu a trop investi en vous pour permettre à quiconque de vous abattre. Chaque fois que Satan essayera de le faire, Dieu interrompra ses réjouissances pour lui dire catégoriquement : “Ce vase ne t’appartient pas, ne le touche pas, cela M’a pris trop de temps pour lui apprendre comment prier, J’ai passé trop d’heures à lui apprendre comment surmonter ses difficultés. Maintenant il a appris comment résister à la pression des épreuves. Il a déjà trop souffert pour Mon nom pour que Je te laisse maintenant l’écraser. Bas les pattes ! Il M’appartient !” Réjouissez-vous, Dieu veut aujourd’hui encore vous protéger.

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

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    Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme - Hébreux 6 : 19

     

    Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l'âme - Hébreux 6 : 19

     

     

     

     

     

     

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    Au cœur de nos incompréhensions

     

      

    Psaumes 22/1-12

    Introduction:

    La lecture du psaume 22, nous confronte à l'incompréhension qui parfois se trouve dans nos cœurs. Les sentiments qui y sont exprimés par David sont ceux que nous partageons tant de fois. Il s'agit de sentiments qui sont parfois exprimés mais qui sont aussi trop souvent contenus et gardés secrets dans le fond de nos cœurs.
    En effet, nous sommes tiraillés par la pensée de savoir que penserait nos frères et sœurs dans la foi s'ils apprenaient que dans notre cœur se livre par moment une lutte sans merci où s'oppose l'incompréhension en face de la réalité quotidienne que nous vivons et la foi sur laquelle nous nous reposons?
    Alors certains se taisent préférant supporter voir même souffrir intérieurement plutôt que d'avouer, ce qu'ils pensent être "anormal"...
    Malheureusement, il y a dans bien des vies ce que j'appelle des " standards" ou "des stéréotypes" de la foi qui ne laissent que peu de place à l'authenticité spirituelle que Dieu désire pourtant voir s'établir en chacun de nous.

    Parmi ces standards, ces stéréotypes vous retrouverez certaines déclarations avançant qu'un chrétien doit toujours se sentir bien et qu'il ne doit jamais se plaindre ou qu'un chrétien ne devrait jamais se mettre en colère mais plutôt vivre dans une parfaite maitrise de lui-même.
    Il y a aussi le fait de croire qu'un chrétien ne doit jamais penser certaines choses vis-à-vis de Dieu ce qui serait un outrage voir un sacrilège!
    Mais la réalité est tout autre et nous savons très bien que ces théories ne sont que des couches superficielles d'une religiosité qui finit par faire de l'église une "communauté de surface" alors qu'elle se doit d'être une "communauté de profondeur".

    Dieu dans sa sagesse et son objectivité n'a pas désiré retirer ou censurer certains propos dans sa parole pour la rendre plus acceptable en aseptisant certains passages par rapport à leur contenu.
    Quel bonheur et quelle joie d'entendre David exprimer librement et sans retenu les sentiments qui sont dans son cœur. David déclare son incompréhension et le trouble qu'il ressent en face de l'attitude que Dieu a vis-à-vis de lui. Il partage ce qu'il sait de Dieu et ce qu'il sait sur lui même tout en déclarant ne pas comprendre pourquoi Dieu l'abandonne en l'exposant ainsi au regards critiques et moqueurs de ceux qui l'entourent.

    J'ose le dire et l'espérer qu'il y a dans notre monde un espace d'écoute et de compréhension où l'on peut exprimer ses sentiments sans avoir peur d'être jugé, maltraité, abaissé et ridiculisé.
    Arrêtons de croire que Dieu ne peut entendre que certaines choses et qu'il serait hermétique à certaines autres car cela reviendrait à limiter Dieu dans son amour, dans sa compassion et dans l'expression de sa grâce.
    Devant la face du Seigneur tout peut être dit, tout peut être déversé car Dieu ne se bouche pas les oreilles lorsque vous lui partagez vos doutes, vos craintes, vos révoltes, vos faiblesses et vos égarements.
    N'est-ce pas rassurant de pouvoir vivre au sein d'une relation qui ne souffre pas du non dit? Une relation sans retenue? Sans autre convenance que celle qui se doit se dégager ou émaner de la sincérité de notre cœur?
    Y-a-t-il des choses non dites dans votre relation à Dieu?

    Apprenez à mettre des "mots" sur vos "maux"!


    1- Un reproche porté à Dieu !

    Verset 2 et 3: "Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné, et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ?
    Mon Dieu ! Je crie le jour, et tu ne réponds pas; la nuit, et je n'ai point de repos."

    Devant la lecture de ce verset j'aimerais vous poser une simple question:
    Avez-vous déjà fait des reproches à Dieu?
    Attention, je ne parle pas d'une révolte délibérée qui remettrait en question l'existence de Dieu mais d'une réaction qui induite par la souffrance et l'incompréhension vous aurait poussé à reprocher à Dieu sa manière d'agir envers vous.

    Dieu a-t-il toujours répondu à vos questions au moment où vous l'auriez aimé, souhaité, désiré?
    Le sentiment que Dieu n'était plus avec vous n'a-t-il jamais traversé vos pensées?
    Combien de fois au cours de votre existence êtes-vous passé par ces moments où vos prières ne semblaient pas être entendues?

    L'attitude de chacun peut être différente dans les moments difficiles de la vie spirituelle car là où le caractère des uns s'exprime celui des autres les pousse à se renfermer et chacun sans même le vouloir laisse progressivement s'établir la révélation de la nature cachée et profonde de son cœur. C'est alors que dans le cœur de chacun commence à naître deux sentiments terribles et bien connus de tous les êtres humains: la détresse et l'angoisse.

     



    2- La détresse et l'angoisse.

    Lorsque les jours s'écoulent, que le temps passe et que dure l'opposition et les difficultés alors la détresse et l'angoisse s'installent et prennent de plus en plus de place dans nos vies.
    Nous sommes alors aux prises avec les sentiments les plus pénibles et les plus dévastateurs que le cœur de l'homme puisse connaître et endurer.

    C'est à ce moment précis que l'on reconnaît le véritable disciple!
    Le disciple est celui ne cherche pas à fuir les circonstances dans lesquelles il se trouve mais qui recherche sans cesse en Dieu la "solution" et la "leçon" spirituelle qui lui permettront de sortir triomphant!
    David était un familier de l'angoisse et de la détresse. Psaume 25/15-16
    Angoisses et détresses marchent ensemble. De leurs deux mains, elles broient notre cœur, torturent notre âme et nous conduisent par leurs propos incrédules à remettre en question même si elles le pouvaient la réalité la plus palpable et tangible à laquelle nous faisons bien de nous accrocher.
    Un homme a dit un jour une parole à laquelle j'ai attaché mon cœur. Il déclara: "Dans les ténèbres de l'adversité ne remettez jamais en question ce que Dieu vous a dit lorsque vous étiez dans sa lumière!"

    L'angoisse et la détresse cherchent à nous convaincre que notre Rédempteur ne répondra pas, qu'il nous a oubliés, délaissés ou qu'à cause de nos péchés et nos infidélités, il ne peut nous exaucer. A d'autres moments "angoisse" et "détresse" viendront remettre en question vos compétences. Elles vous amèneront à douter de vos bonnes intentions, de votre disposition de cœur et de vos capacités!
    Par des liens savamment tissés de mensonges et de vérités qui représentent l'alliage le pire qui soit, elles tentent d'arracher de votre cœur la foi qui a été déposée et sans laquelle vous demeurerez inefficaces, infructueux et stériles vous faisant sombrer dans l'immobilisme le plus désastreux!

    Dans ces temps de lutte il est essentiel de savoir vers où se tourner!
    Sur qui ou sur quoi pouvons nous prendre appui le temps de retrouver les quelques forces utiles pour parvenir à rester debout sur le pont du navire dans la tempête et l'affrontement jusqu'à la délivrance tant attendue?

    Comme beaucoup, j'ai cherché moi aussi dans toutes les directions et j'ai épuisé toutes les ressources sur lesquelles je pouvais espérer et compter et aucune d'elles ne pouvaient remplir le vide que mon cœur ressentait. Une seule ressource m'a comblé et m'a communiqué une force insoupçonnée et inépuisable.
    Cette ressource ou plus exactement cette "re-source" c'est la Parole bénie!
    Dans cette parole on y retrouve des témoignages qui nous rassurent, on y voit les bontés de l'Éternel se renouveler, les réponses reçues, les délivrances exécutées.

     


    3- Un Dieu qui déçoit ?

    Verset 4 et 6: "Pourtant, tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël.
    En toi se confiaient nos pères; ils se confiaient, et tu les délivrais.
    Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point (déçus.) confus. "

    "Pourtant, tu es le Saint": disait David!
    Cet homme savait, il connaissait les possibilités infinies de Dieu. Il dirigeait ses regards comme nous vers les expériences de ceux qui dans la foi l'avait précédés. Mais il semble néanmoins que pour lui quelque chose n'est pas identique. Nos pères se confiaient en toi et ils n'étaient point déçus...!

    Que veux dire David en s'adressant ainsi à son Dieu?
    Confesse-t-il le fait qu'il soit déçu de Dieu?
    Êtes-vous choqué devant une telle attitude et à l'écoute de tels propos ou avez-vous déjà partagé de tels sentiments?

    Devant les semaines qui passent et toujours pas de réponses...
    Plongé continuellement dans le silence, la souffrance et en face de l'espoir d'une délivrance qui se retrouve encore repoussé d'une autre journée, il est bien difficile à notre âme de ne pas lui laisser remonter ce genre de sentiment...!

     

     


    4- Une trilogie infernale !

    C'est alors que pour nos déstabiliser encore un peu plus "angoisse" et "détresse" appellent à leurs secours "désespoir".
    La trilogie est au complet!
    Nos voilà maintenant équipé soit pour vivre la plus belle des dépressions ou la plus profonde des révoltes qu'un être humain puisse traverser!
    Désespoir est maintenant à l'œuvre utilisant sans relâche la tromperie comme un bras de levier pour nous faire basculer dans le gouffre béant et sans fond de nos incompréhensions.
    Il imbibe alors soigneusement le bout de son poignard et à grands coups, il transperce notre cœur déjà meurtri diffusant le poison du doute qui s'infiltre tranquillement dans notre âme.

    Mais comment réagir devant un tel assaut?
    Quelle attitude observer?
    Ne te sens-tu pas parfois comme piégé par la différence qui existe entre ce que tu confesses de ta bouche et les circonstances par lesquelles tu passes?
    Vas-tu perdre la face? Est-ce là ce que Dieu désire?
    Dieu permettra-t-il un tel affront?

    Il arrive un point ou abasourdies par toutes ces attaques, on accepte finalement de se revêtir du vêtement de la honte qui nous est présenté par l'inquiétude, sœur jumelle de l'angoisse.
    Et avec un rictus de dédain, celle-ci se réjouit de constater notre faiblesse révélée au grand jour.
    Alors arrive finalement cette parole du Verset 7: "Et moi, je suis un ver et non un homme, l'opprobre des hommes et le méprisé du peuple."

    C'est alors que les incrédules, qui nous entourent, découvrent encore plus de raison de nous ridiculiser, de tourner en dérision notre foi nouvellement acquise ou éprouvée par des années de services. Difficile de rétorquer sous cette pluie de coups lorsque l'on a même plus la force de faire semblant!
    Verset 8: "Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils ouvrent la bouche, secouent la tête: Recommande-toi à l'Éternel! L'Éternel te sauvera, il te délivrera, puisqu'il t'aime!"

    Que faire de ces mots?
    Comment réagir devant cette moquerie?

    N'entendez-vous pas dans ces paroles les affirmations dans lesquelles vous devriez pourtant vous confier?

    La dérision tente toujours de tourner la vérité en moquerie!
    Mais pour cela elle doit annoncer néanmoins la vérité!

    Sachez que même les reproches que l'on vous fait seront selon la façon dont vous les recevrez dans votre cœur soit un moyen de puiser des forces spirituelles nouvelles, soit un moyen d'anéantissement!
    Il faut que je puisse au travers de la sagesse que Dieu m'a confiée distinguer un trésor parmi les déchets!
    Il faut que je puisse avec le courage que Dieu m'a donné affronter les circonstances telles qu'elles sont, et non comme je voudrais qu'elles soient.
    Il faut que je puisse avec l'audace que Dieu a mis dans mon cœur dire haut et fort: "je ne te laisserai point partir sans que tu me bénisses" Genèse 32/26.

    Réalisez-vous qu'il s'agit là d'un combat qui en réalité vous oppose à Dieu?
    C'est alors que le pourquoi du silence de Dieu prend alors tout son sens!
    Le Dieu de l'Éternité a veillé personnellement à ce que tu reçoives les soins nécessaires pour t'amener là où tu es rendu maintenant.
    Là où le mystique pense reconnaitre la main de l'adversaire, l'homme spirituel parvient à discerner la main de Dieu.
    Ecoutez un message que j'ai un jour reçu comme une lettre envoyée par Dieu:
    Mon enfant, j'ai un message pour toi.
    Aujourd'hui, laisse-moi te le murmurer à l'oreille pour qu'il puisse auréoler de gloire tout nuage de tempête venant à s'élever et aplanir les lieux rocailleux où tu devras peut être marcher. Il est court! Cinq mots seulement! Mais laisse-le s'enfoncer au tréfonds de ton âme.
    Utilise-le comme un oreiller où reposer ta tête lasse: "Cette chose vient de moi!"
    As-tu déjà pensé à ceci: Tout ce qui te concerne me concerne aussi?
    "Car tu as du prix à mes yeux" (Esaïe 43/4)
    C'est pourquoi je prends un plaisir spécial à te former.
    Je voudrais que tu apprennes quand les tentations t'assaillent et que l'ennemi vient comme un fleuve, que cette chose vient de moi, que ta faiblesse à besoin de ma force et que ta sécurité consiste à me laisser combattre pour toi. Te trouves-tu dans des circonstances difficiles, entouré de gens qui ne te comprennent pas, qui ne s'enquièrent jamais de tes goûts, qui te mettent à l'arrière plan? Cette chose vient de moi.
    Je suis le Dieu des circonstances. Tu n'es pas arrivé là par accident, c'est la même que Dieu voulait te voir. N'as-tu pas demandé à devenir humble? Alors vois, je t'ai placé à l'école où cette leçon est enseignée, ton entourage et tes compagnons ne font qu'accomplir ma volonté.
    As-tu des problèmes d'argent? T'est-il difficile de joindre les deux bouts? Cette chose vient de moi, car je suis celui qui tient les cordons de ta bourse, et je voudrais te voir puiser en moi et dépendre de moi. Ma richesse est sans limites. Je voudrais que tu mettes à l'épreuve mes promesses. Qu'il ne soit pas dit de toi: "Dans cette circonstance tu n'as pas eu confiance en l'Eternel ton Dieu."
    Traverses-tu une nuit de chagrin? Cette chose vient de moi.
    Je suis "l'homme de douleur et habitué à la souffrance".
    J'ai permis que les réconforts terrestres te fassent défaut, pour qu'en te tournant vers moi tu puisses obtenir une consolation éternelle.
    Désires-tu accomplir une grande œuvre pour moi, au lieu de quoi tu t'es trouvé cloué sur un lit de souffrance et de faiblesse? Cette chose vient de moi.
    Je ne pouvais attirer ton attention quand tu étais occupé, et je veux t'apprendre quelques-unes de mes leçons les plus profondes."Ils me servent aussi ceux qui attendent patiemment."
    Certain de mes plus grands ouvriers sont ceux qui sont exclus du service actif pour apprendre à manier l'arme de la prière. En ce jour, je place devant toi ce pot d'huile Sainte.
    Fais en librement usage, mon enfant. Que toutes circonstances survenant, tous mots qui te blessent, toutes révélations de ta faiblesse en soient oints.
    La douleur passera à mesure que tu apprendras à me voir en toutes choses!

     


    5- Discerner la main de Dieu en toutes choses!

    Quelle merveilleuse leçon spirituelle nous apprenons dès que nous réalisons que toutes choses concourent à notre bien puisque derrière toutes choses Dieu se tient en maître.
    Verset 10-12: " Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel, tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, (m'as protégé) dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours!"

    Quelle merveilleuse affirmation David proclame au cœur de son incompréhension!
    Oui celui qui était au tout début de ta vie, alors que tu n'étais que masse informe est encore celui qui veille sur toi, même si tu en doutes parfois.
    Car tes doutes ne changeront rien à cette réalité!
    Notre Dieu demeure la seule personne au monde qui n'abandonnera jamais ses fidèles dans les temps de tourmente.
    Il a parfois laissé les circonstances agir sur notre vie pour nous modeler un cœur capable de réaliser la valeur incomparable de l'amour qui sait se taire pour mieux se faire accepter.
    Car l'amour ne se base pas sur la contrainte mais sur l'engagement volontaire.

    Sache que Dieu c'est engagé à t'aimer il y a bien longtemps.

    Sache mon frère, ma sœur que Dieu n'est pas resté insensible à ce que tu subissais.
    Il a mêlé ses larmes aux tiennes au moment où les coups pleuvaient sur toi, tandis que les mots fouettaient ton cœur et ton âme.
    Lorsque tu criais ton désespoir d'avoir perdu ce à quoi tu tenais le plus, il ne s'est pas bouché les oreilles pour ne point entendre. Il n'est pas resté indifférent à ce que tu endurais!
    À l'instant, il a tout mis en œuvre pour t'apporter une parole de délivrance en souhaitant, que l'amertume qui te submergeait, ne devienne point un obstacle à ta guérison.
    Au cœur de tes incompréhensions même les plus légitimes et qui t'ont même poussé à prononcer des paroles que tu regrettes encore aujourd'hui, il n'a eu qu'un désir celui de faire retentir sa voix pour t'amener à connaître l'étendu de son amour.
    Mais la douleur de ton cœur a laissé parfois la révolte couvrir les douces paroles qu'il murmurait à ton oreille.
    Le Dieu de toute compassion te demande encore de lui faire ou refaire une place dans ta réalité. Car il compte rebâtir tout ce qui a été détruit et ramener à la vie ce qui est mort en toi.
    Car tout ce qu'il ramène à la vie renaît avec bien plus de force et de puissance.
    C'est en agissant ainsi que la gloire de Dieu paraît une évidence et que notre foi prend racine plus profondément. Il forme en toi un cœur de serviteur à l'image de celui qui sur une croix a dit il y a 2000 ans: "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?" (Matthieu 27/46)

    Le Dieu des miracles veut opérer de grands prodigues dans ton existence.
    Alors, fais-lui encore confiance!

    Prière : «Seigneur, mon Dieu d'amour, merci de venir à mon secours lorsque l'Angoisse et la Détresse se mettent ensemble pour me terrasser !
    Par Ta puissance, Tu me rends plus que vainqueur !
    Donne-moi la volonté de persévérer dans les sentiers où tu me conduis, afin que je puisse célébrer l'exaucement de mes prières!»

     

     

     

    Xavier Lavie

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Tout est pour le mieux

     

    Tout est pour le mieux

     

    Il était une fois dans les années 1000 un roi en Inde qui était très bon avec ses sujets. Il n’avait qu’un défaut il se mettait en colère facilement. Il avait un premier ministre qu’il aimait beaucoup, comme un ami. Ce ministre était très pieux et priait très souvent. Le roi aimait chasser à cheval les tigres et autres animaux sauvages qui dérangeaient les villages de son royaume. Un jour il galopait dans la forêt avec son ministre lorsqu’un cobra se trouva sur son passage. Son cheval prit peur, il se cabra et le roi tomba à terre près du serpent venimeux. Le cobra lui mordit le doigt. Aussitôt le poison se répandit dans le doigt du roi. Le roi savait que si le poison arrivait à son cœur il mourrait instantanément. Aussi prit-il son poignard et se coupa le doigt. Le ministre l’aida à faire un pansement. Le roi criait de douleur.

    Le ministre lui disait : « Le Bon Dieu fait les choses toujours pour le mieux. C’est une bonne chose que votre doigt soit coupé Majesté. » « Tais-toi » lui répondit le roi. « Mais si, Majesté c’est une bonne chose que vous ayez un doigt en moins. » « Silence ! » hurla le roi cette fois en colère et comme le ministre continuait de la sorte, lorsqu’ils furent retournés au palais, le roi appela ses gardes et fit mettre le ministre en prison. Trois jours plus tard le roi se promenait à cheval dans la forêt lorsqu’il fut attaqué par une troupe de bandits. Ces bandits amenèrent le roi à leur chef. Ce jour là était le jour où il avait l’habitude d’offrir une vie humaine à leur déesse. Le chef des criminels dit au roi : Tu seras offert ce soir à notre déesse en l’honneur de sa fête. Le roi était bien embêté et désespérait de pouvoir sauver sa vie. Après avoir lavé le roi et l’avoir bien habillé, les voleurs remarquèrent que le roi avait un doigt qui manquait. Ils allèrent trouver le roi et lui dirent : « Nous ne pouvons pas offrir cet homme à la déesse même si c’est un roi, car il est incomplet. » Le chef regarda le doigt manquant du roi et fit signe aux voleurs de libérer le roi car on ne pouvait offrir un animal ou un être humain qui n’était pas complet à la déesse. Alors le roi prit ses jambes à son cou et rentra à toute allure dans son palais. Là il courut à la prison et libéra son ministre en lui raconta ce qui venait de lui arriver. Il remerciait Dieu qu’il ait du couper son doigt sinon il aurait perdu la vie ce jour même. « Dis moi ministre, il y a quand même quelque chose que je ne comprends pas, pourquoi Dieu a-t-il voulu que je te mette en prison, alors que tu avais raison de parler de la sorte ? » demanda le roi. « Eh bien voyez vous Majesté, si j’avais été avec vous aujourd’hui, c’est moi que les voleurs auraient pris. Car si vous êtes incomplet, moi par contre il ne me manque rien du tout, » répondit le ministre."

    Dans la vie, parfois on ne comprend pas ce qui nous arrive pourtant Dieu fait tout pour le mieux pour nous faire progresser le plus vite possible. Lorsque l’on souffre à cause de quelque chose en même temps grâce à cela on apprend aussi quelque chose.

     

    Le mieux pour être heureux c’est d’accepter tout ce qui vient chaque jour, comme venant de Dieu.

     

    Swami Vishwananda

     

    Tout est pour le mieux

     

     

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    Dieu est juste et bon - Psaumes 145 : 17

     

    Dieu est juste et bon - Psaumes 145 : 17

     

     

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    La tendresse de Dieu

     “Il arrache ma vie à la tombe, Il me couvre d'amour et de tendresse.” Psaumes 103.4 

    Bill Bright raconte : “En 1952, en cette veille de Noël, il faisait très froid en Corée et la guerre civile ravageait le pays. Une jeune femme enceinte, sentant que son heure d’enfanter approchait, remontait à la hâte une rue de village. Malgré ses appels à l’aide, les rares passants l’ignoraient. Un couple l’observa quelques instants. “Et le père, tu l’as perdu ? Il est où, maintenant, ton Américain ?” ricana la femme en la poussant du coude avant de s’engouffrer dans une maison bien chaude, sourde aux supplications désespérées de la jeune femme, pliée en deux par les contractions. Cette dernière savait qu’un missionnaire habitait au village voisin, à deux ou trois kilomètres de là. Si elle pouvait y parvenir, son bébé serait sauvé. Mais la neige tombait drue à présent. Comprenant que le bébé allait naître d’un moment à l’autre elle se réfugia sous un pont où le bébé naquit peu avant minuit. Pour le maintenir au chaud elle enleva une partie de ses vêtements et l’enveloppa du mieux qu’elle put avant de le serrer dans ses bras. Au matin le missionnaire bravant la neige se mit en chemin pour délivrer quelques paquets de Noël. Le cri d’un bébé attira son attention et il découvrit ce dernier, serré dans les bras de sa maman, morte de froid pendant la nuit. Il le sauva et l’éleva comme son propre fils. Quand celui-ci eut 10 ans, un jour d’hiver, il décida de lui révéler comment il l’avait trouvé, une veille de Noël dans les bras de sa mère, morte de froid sous un pont. Le garçon se mit à pleurer en apprenant le sacrifice que sa mère avait dû faire pour le maintenir en vie. Le lendemain matin le garçon n’était pas dans son lit quand le vieux missionnaire se leva. 

    Suivant des traces dans la neige jusqu’au pont, il le découvrit, agenouillé dans la neige, complètement nu, ses vêtements pliés à côté de lui. S’approchant de l’enfant il l’entendit répéter entre ses dents qui claquaient : “Maman, c’est ce genre de froid que tu as souffert à ma place ?” Dieu est un Dieu de tendresse. Il n’hésite pas à vous couvrir de Son amour pour vous arracher à la tombe et vous promettre une vie éternelle. Son fils Jésus a quitté un jour la douce chaleur et l’intimité dont Il jouissait auprès de Son Père, dans Son royaume, pour affronter le froid et la cruauté du monde des humains, afin de vous prouver Son amour sans conditions. Pensez-y aujourd’hui !

     

    Bob Gass 

     

     

     

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    Acceptés par Dieu !

     

    « Sa grâce qu'il nous a accordée en son bien-aimé » Ep 1.6

    Rien n'est plus douloureux que d'être rejeté, et rien n'est plus agréable que d'être accepté. Vous comprenez mieux pourquoi tant de gens font tout pour éviter le rejet et gagner l’acceptation des autres. La bonne nouvelle, c’est que Dieu vous a déjà accepté. « Il a voulu que nous devenions ses fils par Jésus-Christ » (Ep 1.5, PDV). Et ce n'est pas réservé à ceux qui semblent le mériter au regard de leurs actions ou de leur haute moralité, c'est pour chaque croyant, un point c'est tout ! Cromwell venait de commander son portrait. Le peintre, pour s'attirer ses faveurs, l'avait peint sans ses évidents défauts. Cromwell s'était fâché. « Je t'ai dit de me peindre, moi, mes verrues et tout le reste ! » Dieu vous accepte, avec tous vos défauts !

    Mais notez bien :
    1) Ça ne veut pas dire qu’il approuve tout. Il accepte les pécheurs, mais jamais leurs péchés. Sa grâce doit nous motiver à renoncer à nos péchés et à vivre pour lui plaire (Tit 2.11-12).
    2) Dieu nous accepte sans condition. Il ne dit pas : « Je t'accepte si tes actions sont pures ». Jérémie le dit ainsi : « Est-ce qu'un léopard peut enlever ses taches ? Non ! Et vous qui avez l'habitude d'agir mal, vous ne pouvez pas agir bien » (Jér 13.23, PDV). L'acceptation de Dieu est inconditionnelle parce qu'il nous est impossible de la mériter.
    3) Dieu nous accepte grâce à Jésus. C'est une « grâce qu'il nous a accordée en son bien-aimé » (Ep 1.6). David accepte Méphibosheth, le boiteux, grâce à Jonathan, son ami (2S 9). Tant que Dieu accepte Jésus et que vous avez confiance en Jésus, vous êtes, vous aussi, accepté.

     

    Bob Gass 

     

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