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    Attendez-vous à de grandes choses de la part de Dieu

     

     

    Attendez-vous à de grandes choses de la part de Dieu

    « Jusqu'ici l'Éternel nous a secourus » 1S 7.12 

    La Bible dit : « Samuel prit une pierre [...], et l’appela du nom de Ében-Ézer, en disant : Jusqu’ici l’Éternel nous a secourus ».

     

    En regardant l’année qui vient de s’écouler, que voyez-vous ? De grands échecs ? Des opportunités gâchées ? Concernant vos échecs, Dieu dit : « Oui c’est moi qui pardonne tes fautes, parce que je le veux bien. Et je ne m’en souviendrai plus » (Esa 43.25, PDV). Concernant les opportunités gâchées, Dieu dit : « Je vous restituerai les années qu’ont dévorées la sauterelle, le grillon, le criquet et la chenille » (Joe 2.25).

     

    Un sage a dit : « Si nous n’apprenons pas de notre passé, nous sommes condamnés à recommencer ». Oui, mais si vous conduisez en regardant toujours dans le rétroviseur, vous finirez dans le fossé. Ne restez pas englué dans votre passé, bon ou mauvais. « Ne dis pas : D’où vient que les jours d’autrefois étaient meilleurs que ceux-ci ? Car ta question ne proviendrait pas de la sagesse » (Ec 7.10). En vieillissant, le danger est de s’intéresser plus au passé qu’à l’avenir. Une lectrice a écrit au directeur d’un quotidien : « Votre journal n’est plus aussi bon qu’autrefois ». Le directeur a répondu : « Mais il ne l’a jamais été ! » Dieu dit : « Je connais les projets que je forme pour vous. Je le déclare : ce ne sont pas des projets de malheur mais des projets de bonheur » (Jé 29.11, PDV).

     

    Dieu a un plan pour vous en cette nouvelle année. Aussi, respectons le passé et préparons-nous pour l’avenir. Relevons nos manches pour travailler en nous attendant à de grandes choses de la part de Dieu.

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

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    Que vais-je garder de cette année écoulée ?

     

    Que vais-je garder de cette année écoulée ?

     

    Je me souviens d'attentes non comblées, de soupirs de lassitude, de paresses égocentriques, de colères étouffées, de paroles trop vite dites et aussitôt regrettées, de nuits rongées d'inquiétude ou de souffrance, de larmes de regrets …


    Tu étais là, Seigneur !


    Je revois ces moments de sérénité, ces temps de rencontres qui gonflent le cœur, ces satisfactions d'un travail bien fait, ces larmes de joie d'un cœur à cœur avec autrui, ce bonheur d'être pardonnée, ces moments de rire et de légèreté, ces instants d'émerveillement…


    Tu étais là, Seigneur !


    J'ai été touchée par des paroles justes au bon moment, par une écoute attentive de mes doutes et mes chagrins, par des regards bienveillants et aimants, par des gestes, des attentions qui me disaient que je comptais, par des paroles de pardon et de grâce après que j'ai blessé, par une présence accueillante, un sourire, un clin d'œil de complicité…


    Tu étais là, Seigneur !


    Ces gestes, ces paroles, ces regards, ces sourires n'étaient autres que les tiens, manifestés par mes frères et mes sœurs.


    Chaque jour de cette année écoulée était habitée par ta présence.
     


    - Présence d'un Dieu qui ne cesse de se révéler, de manifester sa bonté.
    - Dieu source de vie, Dieu de tous les possibles.
    - Dieu grand et saint, qui se fait proche de nous.
    - Dieu qui pose sur nous un regard d'espoir et qui nous redit son amour…
    - Emerveillement… devant ce Dieu toujours prêt à accueillir, à aimer, à bénir…

    Reçois, Seigneur, toute ma reconnaissance et mon amour ! 

     

     

    En partenariat avec www.famillejetaime.com

    Evelyne Frère Datcharry

     

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

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    Libéré de votre passé

     

    Libéré de votre passé

     

    "Si donc c'est le Fils (Jésus) qui vous donne la liberté, alors vous serez réellement libres." Jean 8.36

     

    Nous vivons une époque vraiment intéressante ! Je ne pense pas avoir jamais connu un temps où les gens refusaient d'assumer la responsabilité personnelle de leur vie comme ils le font aujourd'hui. Il semble que la plupart d'entre eux n'aient pas la force de caractère nécessaire pour assumer leur comportement. S'ils ont un problème de quelque ordre que ce soit, il leur est plus facile de rejeter la faute sur une enfance difficile, un parent indigne, une école inappropriée, le manque d'argent, et la liste est longue.

    Refusant d'endosser la responsabilité de leurs attitudes et de leurs comportements mauvais, ils se sentent autorisés à continuer à mal se conduire ! Ils disent en substance : "Si je suis comme ça, c'est à cause de la façon dont j'ai été élevé et je ne peux rien y changer !" Ce raisonnement justifie un comportement où l'on est prisonnier d'événements du passé. Quelle terrible façon de vivre !

    La vérité est que Jésus est mort sur la croix pour que nous parvenions à "gérer" les problèmes comme les dépendances diverses, les effets des relations malsaines et les troubles émotionnels. Il est venu pour nous libérer, quelle que soit l'origine du problème. Il n'est pas nécessaire que nous traînions notre passé comme un boulet tout au long de notre existence.

    Le premier pas vers la liberté consiste à comprendre que ce qu'un autre vous a fait ou ce qui se passe autour de vous ne justifie en aucun cas un comportement malsain. C'est vous, et personne d'autre, qui êtes responsable de vos actes.

    Vous n'êtes pas dans cette situation par hasard. Ce sont vos choix – bons et mauvais – qui vous y ont conduit. Si vous ne menez pas la vie que vous souhaitez, c'est aujourd'hui qu'il faut commencer à y remédier. Dieu ne vous laissera pas dans une situation où vous n'avez d'autre choix que de souffrir suite à des événements de votre passé.


    Une action pour aujourd'hui 
    :
    Ne laissez pas votre passé dominer votre avenir. Comprenez que, lorsque vous acceptez la responsabilité de vos problèmes, vous avez la puissance, en Christ, de faire avancer les choses. Par la grâce de Dieu, vous pouvez commencer aujourd'hui à faire des choix positifs, qui vous libéreront de votre passé.



    Joyce Meyer

     

     

    Libéré de votre passé

     

     

     

     

     

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    Montre-moi

     

    Montre-moi

     

    Un homme s'éloigne, s'arrête, se retourne pour voir la distance parcourue, il se rend compte qu'il n'y a pas de traces dans la neige. Où est-il? D'où vient-il? Où va-t-il? Que se passe-t-il? Soudainement, il se rend compte qu'il se trouve à un point décisif de sa vie, au milieu d'une tempête de neige, quelque part dans un champ. Peu importe d'où il vient, il peut choisir d'aller où il voudra. Tout est à faire, à imaginer, à rêver. Sa présence dans la neige, sans passé, sans futur établi, est le résultat d'une transformation silencieuse. L'homme a marché en ne pensant pas, en ne pensant plus, puis, il s'est retrouvé ici. Nulle part et partout. Cet homme, cette personne, c'est chacun d'entre nous à un moment de notre existence... Comme dans une symphonie bien ordonnée, rien ne s'est signalé, rien ne s'est distingué et cette transformation, si importante, est demeurée invisible. Mais elle a tout de même eu lieu. Une autre année est passée.

    L'année 2013 n'a pas été à votre goût? Effacez les traces dans la neige et débutez l'année 2014 en fonçant vers une destination plus excitante. Vivez au lieu de simplement durer. Le début d'une nouvelle année est l'occasion d'un commencement, lorsque rien n'est joué, lorsque tout est encore possible.

    La nouvelle année, tout comme la première fois, doit être entrevue comme un possible sans souvenirs. Laissez tomber le passé qui vous a retenu ou qui vous retient encore, émancipez-vous, vivez vos rêves au lieu de vivre ceux des autres.

    Vivez.

    Le premier mois de l'année peut devenir le lieu de la première fois en offrant le pivot de l'interprétation de l'œuvre de votre vie. S'il est parfois trop tard pour une dernière fois, il n'est jamais trop tard pour la première fois.

    En continuant d'avancer dans la tempête, le passé disparaît sous la neige, seul le présent est visible, le futur, composé d'incertitude, est à créer, est à-penser. Le présent vous permet de faire des choix maintenant afin que vous puissiez vivre autrement dans le futur.

    Dans la neige, sans traces, au moment présent, plus rien ne compte, tout est à faire. Vous êtes devant un choix : reculer ou avancer? Le statu quo n'existe pas. « Si vous n'êtes pas occupé à naître, c'est que vous êtes occupé à mourir », disait Bob Dylan. Alors, devez-vous reculer vers une incontestable certitude ou avancer dans l'incertitude la plus vague? C'est Oscar Wilde qui avait raison lorsqu'il affirmait que « c'est l'incertitude qui nous charme et que tout devient plus beau dans la brume ». Il faut apprécier l'incertitude parce que, sans le savoir, la certitude est une prison où nous nous sommes enfermés nous-mêmes.

    Alors, plutôt que de demeurer dans cette certitude, dans cette prison, pourquoi ne pas commencer quelque chose plutôt que de poursuivre vers la fin certaine?

    Rejouez le premier coup. Refaites vos débuts. Réapprenez les premières leçons. Tracez une nouvelle ligne d'horizon. Laissez-vous étonner.

    Cessez d'inexister.

    Montrez-vous.

    Bonne année 2014!

    Que la santé vous trouve sur son chemin et que les difficultés et les contrariétés vous soient épargnées.

     

    ( Source : René Villemure)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La bénédiction de Dieu

     

    La bénédiction de l'Eternel est ce qui enrichit, et il n'y ajoute aucune peine " (Proverbes 10.22)

    Pour le nouvel an, je téléphonai à un ami chrétien âgé, lui adressant mes voeux en notre commun Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. Il fit de même à mon égard et ajouta : " que la bénédiction de Dieu repose sur vous ".

    Je ne sais pas trop pourquoi, je lui demandai spontanément : " pour vous, qu'est-ce exactement que la bénédiction de Dieu ? » Il me répondit avec une promptitude qui m'étonna : " la bénédiction de Dieu, c'est sa paix ! "

    Puis il m'expliqua : " je suis âgé, inquiet de nature, avec une santé fragile, le plus important pour moi, c'est d'être gardé dans la paix ".

    En commençant cette nouvelle année, n'avons-nous pas tous besoin, chrétiens âgés ou plus jeunes, de la paix de Dieu dans nos coeurs ?

    Certes, le vieillard « craint ce qui est haut...a peur sur le chemin » (Ecc.12.5). Mais n'y a-t-il pas pour nous tous aussi des appréhensions ?
    Savons-nous ce que nous réservent les jours, les mois de cette nouvelle année ?
    Vais-je trouver du travail ? Comment va se dérouler cet entretien d'embauche ?
    Ma santé ne va-t-elle pas se dégrader ?
    Vais-je réussir cet examen ?
    Comment va se passer cette naissance ?...
    Chacun pourra ajouter ses propres questionnements.

    Oui, nous avons tous besoin de la paix de Dieu. On l'a dit : ce n'est pas la souffrance qui nuit à l'âme, c'est le trouble. Mais comment obtenir la paix ? Le prophète dès longtemps nous l'a dit : " tu garderas dans une paix parfaite l'esprit qui s'appuie sur toi, car il se confie en toi " (Es.26.3)

    Alors nous voulons envisager cette nouvelle année avec courage et foi, en nous appuyant véritablement sur Dieu, en nous confiant en lui. Il connaît nos circonstances, il en a la maîtrise parfaite. Toute la puissance et la grandeur de Dieu sont devant le prophète quand il nous exhorte à la confiance : " confiez-vous en l'Eternel, à tout jamais ; car l’Eternel est le rocher des siècles " (Es.26.4)

    Comme un rocher, l'amour de Dieu est stable, immuable. Appuyons-nous donc sur Lui. Alors sa paix sera notre part, et avec elle toutes les bénédictions qu'elle apporte.

    Extrait de la revue " Plaire au Seigneur "

    En partenariat avec : www.famillejetaime.com

     

     

     

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    La légende de l'arc-en-ciel

     

    La légende de l'arc-en-ciel





    Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu’elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée !


    Elles se vantaient, à haute-voix, chacune étant bien convaincue d’être la meilleure. Le bruit de leur querelle s’enfla de plus en plus.


    Soudain, un éclair d’une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer.


    Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres.


    La pluie prit la parole :


    «Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l’autre, ne savez-vous pas que c’est le grand esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ?


    Il aime chacune d’entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu’il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu’il est avec vous, et comme un signe d’espérance pour demain…» 


    Ainsi, chaque fois que le grand esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l’arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l’apercevons nous devrions nous rappeler qu’il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité.




    Légende amérindienne

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  • La jarre abîmée

     

    La jarre abîmée

     

    Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura deux années, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages.

    Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. De son côté, la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
    Au bout de deux ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.
    - Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser.
    - Pourquoi ? demanda le porteur d'eau. De quoi as-tu honte ?
    - Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts, lui dit la jarre abîmée.
    Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion,
    répondit :
    - Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin.
    Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.
    Le porteur d'eau dit à la jarre :
    - T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant deux ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses.
     
    * * *

    Nous sommes tous un peu abîmés, fissurés ; 

    mais Dieu, si nous le lui demandons, sait faire des merveilles avec nos faiblesses. 

     
     
     
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  • La chenille



    C'est au coeur d'une forêt sauvage que notre petite chenille
    voit le jour. Toute petite, fragile et innocente,
    elle part bien jeune à la découverte de son environnement.
    Sans méfiance aucune elle avance à son rythme et se délecte
    de tout ce que Mère nature lui offre.
    Sous son corps, la terre moelleuse et chaude lui prodigue de
    douces caresses et lorsque les rayons du soleil deviennent
    un peu trop chauds, elle s'en va s'abriter sous l'ombre
    des fleurs. Au matin, la fraîcheur de la rosée la chatouille
    et lui annonce une nouvelle journée.

    Notre petite chenille allait apprendre bien vite que la vie
    n'est pas faite que de quiétude.
    Ce matin là, alors qu'elle repose sur une feuille de fougère,
    une violente rafale de vent la projette sans prévenir sur
    le sol et elle roule et roule encore, se prenant des coups
    les uns après les autres.
    Lorsque le vent se retire enfin, la peur au ventre elle
    reprend ses esprits et se demande ce qu'elle a bien pu
    faire pour mériter ça. Elle ne comprend pas et aucune
    réponse ne vient éclairer ses interrogations.
    Alors que faire d'autre que de continuer à vivre ?

    Elle trouve le courage au fond d'elle-même pour continuer sa route,
    mais elle sait qu'elle n'oubliera jamais cette terrible expérience.

    Néanmoins, elle retrouve la joie de vivre, mais à peine
    a-t-elle récupéré, qu'un nouveau coup dur allait la surprendre.
    Ce jour là, elle était sur la branche d'un mélèze et a juste eu
    le temps de s'engouffrer dans cet étroit orifice qui lui sauva la vie.
    Le bec pointu d'un oiseau avait quand même eu le temps
    de lui lacérer le dos, lui laissant une vilaine blessure.
    Elle n'avait jamais eu aussi peur de sa vie et elle resta
    cloîtrée dans ce minuscule abri durant trois jours.

    La vie continuait, et notre petite chenille se prit
    des coups et des coups. Pourtant elle trouvait toujours les forces
    nécessaires de se relever et d'aller de l'avant, car elle avait
    l'intuition que quelque chose de merveilleux l'attendait et qu'un
    jour elle serait libérée de cette vie douloureuse.

    Un jour elle ressentit une impression très bizarre qu'elle ne
    connaissait pas. Cette sensation lui causa une peur terrible
    et elle se renferma sur elle-même.
    Cela lui donnait le sentiment d'être protégée du monde extérieur.
    Elle n'avait plus le goût à rien et n'attendait rien
    d'autre que d'en finir avec cette souffrance.
    Elle s'abandonna totalement à l'instant présent
    et au courant de la Vie.
    C'est alors que le miracle se produisit.
    La lumière perça son cocon et l'inonda de douceur.
    Elle se sentait légère comme une aile de papillon.

    Ce qu'elle pressentait depuis tant d'années se réalisait à l'instant.
    Toute peur s'était évaporée et le monde lui apparaissait
    soudain harmonieux et vibrant d'amour.
    Elle réalisa que tous ces moments difficiles qu'elle avait
    traversés avec courage, l'avaient amenée vers
    la plus belle des délivrances.

    Elle déploya ses ailes délicatement et s'élança en douceur,
    portée par le souffle silencieux de la Vie.



    Auteur inconnu

     

    La chenille

     

     

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    Deux amis dans le désert

     

    C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
    A un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
    Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:
    « Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle ».
    Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner.
    Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
    Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
    « Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie. »
    Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
    _« Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? »

    L'autre ami répondit :

    _« Quand un ami nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer.
    Mais quand un ami fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ».



    Apprends à écrire tes blessures dans le sable  et à graver tes joies dans la pierre.



    Auteur inconnu

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    Le collier de perles

     

    Le collier de perles 


    Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose!

     


    - Oh! S'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman, je t'en supplie, s'il te plait?'

     


    Vivement, la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui la suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut.

     

     

     

    - $1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et, en un rien de temps, tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras sûrement des sous de ta grand-maman aussi.

     

     

     

    Aussitôt que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon...elle calcula 17 cents. Après le dîner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et, ensuite, elle est allée chez la voisine Mme Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents?

     

     

     

    À son anniversaire, sa grand-maman lui donna un autre dollar et, enfin, elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier.

     

     

     

    Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir Madame et grande fille. Elle les portait partout, à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit!

     

     

     

    Les seules fois qu'elles les enlevaient, c'était pour nager ou  prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient  trempées, elles tourneraient peut-être son cou au vert.

     

     

     

    Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et, à chaque soir, quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire.

     

     

     

    Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda à Jenny:

     

    - Est-ce que tu m'aimes?

     

    - Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime.

     

    - Alors, donne-moi tes perles.

     

    - Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse, le cheval blanc de ma collection, celle avec la queue rose.  Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'as offerte. C'est ma préférée.

     

    - C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit

     

    Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot.

     

     

     

    Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa

     

    De Jenny lui demanda encore:

     

     

     

    - Est-ce que tu m'aimes?

     

    - Papa, tu sais que je t'aime.

     

    - Alors, donne-moi tes perles.

     

    - Oh papa, pas mes perles. Mais, tu sais, tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai reçue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.

     

    - C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.

     

    Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot.

     

     

     

    Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit.

     

    Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue.

     

     

     

    - Mais qu'as-tu Jenny? Qu’est-ce qui se passe?

     

    Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvrit, le collier de perles y était.  Avec une voix tremblante elle lui dit:

     

    - Voilà papa, c'est pour toi.

     

     

     

    Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sortit de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et le lui donna.

     

     

     

    Il les avait depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor.

     

     


     




    Comme lui, Dieu attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplacer par un trésor magnifique.

     


    Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarrassiez?

     

     

     

    Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaires et vous font mal ?

     

    Des habitudes, des activités auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de s'en débarrasser?

     

     

     

    Parfois, c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose...

     

     
    Dieu ne prendra jamais quelque chose auquel vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux!

     

     

    Les plus beaux cadeaux arrivent quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.


    Auteur inconnu

     

     

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    Le petit garçon et les ballons

    Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus, blancs, noirs, jaunes...


    Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.


     
    -  "Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut que les autres ?"


    Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon  dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit : "Regarde"


    Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent, montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement  ils sont hauts.


    -
    "Tu as vu ?"

    - "Oui"

    - "Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ?"


    - "Oui Monsieur"


    - "Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes. L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur. Non, l'important, c'est ce qu'il y a en eu.  C'est ce qu'il y a en toi qui fera toute la différence dans ta vie."





    Auteur inconnu

     

     

     

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    Les trois portes de la sagesse

     

    Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage.

    " Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie ", demanda le Prince.

    " Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant, je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. "

    Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le Chemin de la Vie.

    Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire:

     " CHANGE LE MONDE "

    " C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas. " Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent. Bien des années passèrent.

    Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande:

    " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas ".

    " C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. " Et il disparut.

    Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire:

     " CHANGE LES AUTRES "

    " C’était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration. " Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.

    Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :

     " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que le révélateur ou l’occasion. C’est en moi que prennent racine toutes ces choses. "

    " Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu’ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t’enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. " Et le Vieil Homme disparut.

    Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots:

     " CHANGE-TOI TOl-MEME "

    " Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire, " se dit-il. Et il entama son 3ème combat Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda:

    " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser. "

    " C’est bien, dit le Sage. "

    " Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t- il jamais? Quand trouverai-je le repos? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. "

    " C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. " Et il disparut.

    Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait:

    " ACCEPTE-TOI TOl-MEME. "

    Le Prince s’étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu’il avait franchi la porte la première fois, dans l’autre sens. " Quand on combat on devient aveugle, se dit-il. " Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu’il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s’aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:

    " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c’est me condamner à ne jamais être en accord avec moi- même. J’ai appris à m’accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. "

    " C’est bien, dit le Vieil Homme, c’est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3e porte. "

    A peine arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut:

    " ACCEPTE LES AUTRES "

    Tout autour de lui il reconnut les personnes qu’il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu’il avait aimées comme celles qu’il avait détestées. Celles qu’il avait soutenues et celles qu’il avait combattues.

    Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l’avait tellement gêné et contre quoi il s’était battu.

    Il rencontra à nouveau le Vieux Sage qui lui demanda:

     " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, répondit le Prince, qu’en étant en accord avec moi-même, je n’avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d’eux. J’ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. "

    " C’est bien, " dit le Vieux Sage. C’est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

    Arrivé de l’autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut:

    " ACCEPTE LE MONDE "

    Curieux, se dit-il, que je n’aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu’il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l’éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C’était pourtant le même monde qu’autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.

    " Qu’as-tu appris sur le chemin ? "

    " J’ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n’est ni triste ni gai. Il est là; il existe; c’est tout. Ce n’était pas le monde qui me troublait, mais l’idée que je m’en faisais. J’ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. "

    " C’est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. " Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l’habita. " Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence ". Et le Vieil Homme disparut.



    Auteur inconnu

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